Je déambule dans le froid tel un pantin,
Laissant des marques de pas erratiques dans la neige.
Me voilà désormais revenant son rendez-vous clandestin.
Je n?avais pas compris tout de suite son manège.
Sa voix envoûtante avait des échos cristallins.
Ses phrases défilaient dans ma tête en cortège.
Tel un marin je confondais une sirène et un lamantin.
Une rencontre était nécessaire pour que mon c?ur s?allège.
Nous nous étions donnés rendez-vous cette soirée.
Je me sentais comme devant affronter une armée,
Jamais, au grand jamais, je n?avais eu un tel trac.
Après la croisée de nos regards tout s?était accéléré ensuite,
Nous nous sommes enlacées dans le vent qui claque,
L?amour souvent nous avons fait dans ce gîte.
Laissant des marques de pas erratiques dans la neige.
Me voilà désormais revenant son rendez-vous clandestin.
Je n?avais pas compris tout de suite son manège.
Sa voix envoûtante avait des échos cristallins.
Ses phrases défilaient dans ma tête en cortège.
Tel un marin je confondais une sirène et un lamantin.
Une rencontre était nécessaire pour que mon c?ur s?allège.
Nous nous étions donnés rendez-vous cette soirée.
Je me sentais comme devant affronter une armée,
Jamais, au grand jamais, je n?avais eu un tel trac.
Après la croisée de nos regards tout s?était accéléré ensuite,
Nous nous sommes enlacées dans le vent qui claque,
L?amour souvent nous avons fait dans ce gîte.
Magnifique tranche de vie Sibylline !
Hou la la c'est du vécu ça Olivier !
Bravo
Bravo
Le copie/colle était bizarre, je recommence
Je déambule dans le froid tel un pantin,
Laissant des marques de pas erratiques dans la neige.
Me voilà désormais revenant son rendez-vous clandestin.
Je n'avais pas compris tout de suite son manège.
Sa voix envoûtante avait des échos cristallins.
Ses phrases défilaient dans ma tête en cortège.
Tel un marin je confondais une sirène et un lamantin.
Une rencontre était nécessaire pour que mon coeur s'allège.
Nous nous étions donnés rendez-vous cette soirée.
Je me sentais comme devant affronter une armée,
Jamais, au grand jamais, je n'avais eu un tel trac.
Après la croisée de nos regards tout s'était accéléré ensuite,
Nous nous sommes enlacées dans le vent qui claque,
L'amour souvent nous avons fait dans ce gîte.
Je déambule dans le froid tel un pantin,
Laissant des marques de pas erratiques dans la neige.
Me voilà désormais revenant son rendez-vous clandestin.
Je n'avais pas compris tout de suite son manège.
Sa voix envoûtante avait des échos cristallins.
Ses phrases défilaient dans ma tête en cortège.
Tel un marin je confondais une sirène et un lamantin.
Une rencontre était nécessaire pour que mon coeur s'allège.
Nous nous étions donnés rendez-vous cette soirée.
Je me sentais comme devant affronter une armée,
Jamais, au grand jamais, je n'avais eu un tel trac.
Après la croisée de nos regards tout s'était accéléré ensuite,
Nous nous sommes enlacées dans le vent qui claque,
L'amour souvent nous avons fait dans ce gîte.
Magnifique tranche de vie Sibylline !
Oui, oui, sûrement!
En tout cas, toi, elle ne t'a pas lâché, ta muse. Olivier a l'air d'avoir un petit problème de pieds ou alors, c'est que je n'ai pas saisi. J'y retourne
Magnifique tranche de vie Sibylline !
Une page d'Histoire !
il y avait un nombre de pieds imposé?
Hé Olivier alors ton lamantin, c'etait une sirène ou un phoque ?
il y avait un nombre de pieds imposé?
Non, le nombre que tu voulais, mais normalement, il aurait fallu le même à chaque vers.
Ce n'est pas grave, remarque.
Hé Olivier alors ton lamantin, c'etait une sirène ou un phoque ?
C'est un phoque dont le chant rappelle celui des sirènes
Les masques et les simulacres, pâles pantins
Tourbillonnnent , falots en un halo de neige
Clairs fantômes d'opale, en ballet clandestin,
Pales d' hélicoptères, évanescents manèges
Fréquences immobiles d'un scherzo cristallin
Flocons, sons assourdis, harmonies en cortège
Chanteront tous en choeur, sirènes et lamantins.
Pour qu'enfin le marin de son fardeau s'allège.
O qui dira combien en ces tristes soirées
Où exilé en ville, plus encore qu' à l'armée
Il tâchait d'oublier, en jouant au tric trac
Avec de faux amis qu'il oublia ensuite
Tandis que des danseurs s'égrenait le clic-clac ...
Il rêvait de la mer comme on attend son gite
Tourbillonnnent , falots en un halo de neige
Clairs fantômes d'opale, en ballet clandestin,
Pales d' hélicoptères, évanescents manèges
Fréquences immobiles d'un scherzo cristallin
Flocons, sons assourdis, harmonies en cortège
Chanteront tous en choeur, sirènes et lamantins.
Pour qu'enfin le marin de son fardeau s'allège.
O qui dira combien en ces tristes soirées
Où exilé en ville, plus encore qu' à l'armée
Il tâchait d'oublier, en jouant au tric trac
Avec de faux amis qu'il oublia ensuite
Tandis que des danseurs s'égrenait le clic-clac ...
Il rêvait de la mer comme on attend son gite
Tu sais, quand, ce n'est pas mal du tout ce que tu as fait SJB, avec les rimes qu'on avait...
Tu sais, quand, ce n'est pas mal du tout ce que tu as fait SJB, avec les rimes qu'on avait...
Tu sais, quand même, ce...
Hé Olivier alors ton lamantin, c'etait une sirène ou un phoque ?
C'est un phoque dont le chant rappelle celui des sirènes
Ha ? j'ai cru que le lamantin c'était le chant du phoque !
Superbe, Mae!!! Vraiment bien fait.
C'est fameux Mae-West !
Les 8 premiers vers c'est du Beaudelaire !
Après c'est encore très bon : c'est du Mae West ;-)
Les 8 premiers vers c'est du Beaudelaire !
Après c'est encore très bon : c'est du Mae West ;-)
moi j'aime beaucoup celui de SJB : j'espère que ce n'était pas de Salomé qu'il parlait , sinon, je ne donne pas cher de sa tête ..
Le Beau delaire?
Oui l’on se donnerait rendez-vous à Pantin
Peut-être à Blanche où nos pas dans la neige
Dessineraient les traces d’un bonheur clandestin
en long en large en rond, enfin tout un manège
Et l’on s’enlacerait dans l’air frais cristallin
En regardant valser les flocons en cortège
Engourdis, un peu gauches comme des lamantins
Sous le ciel d’encre noire que les étoiles allègent
Toi en en costume trois pièces, moi en robe de soirée
Sur mes tallons aiguilles, je ne suis guère armée
J’ai bien peur de tomber, comme ça tout à trac
Tu me rattraperais, tu m’embrasserais ensuite
Et ce serait l’amour et sa clique et toute sa claque !
On chercherait un hôtel, une auberge, un gîte
Peut-être à Blanche où nos pas dans la neige
Dessineraient les traces d’un bonheur clandestin
en long en large en rond, enfin tout un manège
Et l’on s’enlacerait dans l’air frais cristallin
En regardant valser les flocons en cortège
Engourdis, un peu gauches comme des lamantins
Sous le ciel d’encre noire que les étoiles allègent
Toi en en costume trois pièces, moi en robe de soirée
Sur mes tallons aiguilles, je ne suis guère armée
J’ai bien peur de tomber, comme ça tout à trac
Tu me rattraperais, tu m’embrasserais ensuite
Et ce serait l’amour et sa clique et toute sa claque !
On chercherait un hôtel, une auberge, un gîte
Au loin frissonnait un funeste pantin
Dont le coeur affaibli vibrait sous la neige
Passager éphémère d'un rêve clandestin
Perdu dans le tourbillon des manèges
La lune lui offrait un regard cristallin
Ses pensées se perdaient en un immense cortège
Son souffle résonnait du cri des lamantins
Laissant s'enfuir l'espoir qu'une main ne l'allège
Triste destin mourant à l'ombre d'une soirée
Le ciel avait déployé ses étoiles en armée
Le silence attendait le signal avec trac
Oter la vie, la reprendre et ensuite
Se détourner, s'en aller, après l'ultime claque
Se servir des nuages pour y trouver son gîte.
Dont le coeur affaibli vibrait sous la neige
Passager éphémère d'un rêve clandestin
Perdu dans le tourbillon des manèges
La lune lui offrait un regard cristallin
Ses pensées se perdaient en un immense cortège
Son souffle résonnait du cri des lamantins
Laissant s'enfuir l'espoir qu'une main ne l'allège
Triste destin mourant à l'ombre d'une soirée
Le ciel avait déployé ses étoiles en armée
Le silence attendait le signal avec trac
Oter la vie, la reprendre et ensuite
Se détourner, s'en aller, après l'ultime claque
Se servir des nuages pour y trouver son gîte.
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