Page 1 de 1
Mes amours sont devenues belles, irréelles même. Une âme ancienne est maintenant mon amie. Belle comme un astre de la nuit, chaude comme mille soleils, elle habite mes songes et vit dans mes rêves. C'est Lilith, Reine du soir qui attend le règne de l'obscurité. Son aura parsème ses pas d'étoîles, ses pensées entraînent des mondes. Elle est devenue ce qu'elle a su choisir.
Nous nous sommes rencontrés un soir d'été, la nuit était claire comme un matin de printemps. Plaisir immense et partagé. Ses yeux se sont fondus dans les miens. J'ai ressenti les délices discrets de son âme; des eaux splendides et des sources câlines ont envahi mes esprits.
Ses cheveux sont d'un noir de jais, ses yeux d'un bleu étincellant. Elle me regarde et je vois une une nymphe, elle me parle et j'entends celle qui m'aime, elle s'approche de moi, je baise ses lèvres. Le plaisir dans son immensité nous emporte. La beauté de cet instant devient éternel. J'attends de nos amours une invincible étreinte. De jours en jours et de vies en vies, nos corps s'encorcèlent dans l'infini. Elle aime ce que je suis, j'aime ce qu'elle est.
Les dieux de l'Olympe s'amusent sans trop en rire de nos amours. Je ris, sans me moquer, des leurs.
Ce n'est ni l'oracle de Delphes ni le vol des oiseaux qui m'a donné le chemin de la Beauté et de l'Amour.
C'est le Feu d'une Ame amoureuse.
FLC.
Nous nous sommes rencontrés un soir d'été, la nuit était claire comme un matin de printemps. Plaisir immense et partagé. Ses yeux se sont fondus dans les miens. J'ai ressenti les délices discrets de son âme; des eaux splendides et des sources câlines ont envahi mes esprits.
Ses cheveux sont d'un noir de jais, ses yeux d'un bleu étincellant. Elle me regarde et je vois une une nymphe, elle me parle et j'entends celle qui m'aime, elle s'approche de moi, je baise ses lèvres. Le plaisir dans son immensité nous emporte. La beauté de cet instant devient éternel. J'attends de nos amours une invincible étreinte. De jours en jours et de vies en vies, nos corps s'encorcèlent dans l'infini. Elle aime ce que je suis, j'aime ce qu'elle est.
Les dieux de l'Olympe s'amusent sans trop en rire de nos amours. Je ris, sans me moquer, des leurs.
Ce n'est ni l'oracle de Delphes ni le vol des oiseaux qui m'a donné le chemin de la Beauté et de l'Amour.
C'est le Feu d'une Ame amoureuse.
FLC.
une invincible étreinte.
Ca ne me va pas. Invincible n'est sûrement pas adapté. Il doit y avoir d'autres adjectifs, plus poétiques, plus puissants, plus... ou moins peut être? Mais invincible??
Et encorceler? Je suis allé vérifier pour être sûr. Et non, ce n'est pas un verbe que je ne connaissais pas, plein de promesses. Ensorceler Félix!
Je n'ai pas compté les mots mais je ne suis pas sûr que ton texte ait grandi par rapport aux autres. Le répèterai-je? Ne serait-ce pas obsessionnel? Allez je te le chuchote Félix the Cat (le mien dort au chaud, 5,3 kg, bientôt 1' ans), c'est court!
A bientôt quand même?
Ca ne me va pas. Invincible n'est sûrement pas adapté. Il doit y avoir d'autres adjectifs, plus poétiques, plus puissants, plus... ou moins peut être? Mais invincible??
Et encorceler? Je suis allé vérifier pour être sûr. Et non, ce n'est pas un verbe que je ne connaissais pas, plein de promesses. Ensorceler Félix!
Je n'ai pas compté les mots mais je ne suis pas sûr que ton texte ait grandi par rapport aux autres. Le répèterai-je? Ne serait-ce pas obsessionnel? Allez je te le chuchote Félix the Cat (le mien dort au chaud, 5,3 kg, bientôt 1' ans), c'est court!
A bientôt quand même?
Bonjour Tistou, merci d'avoir commenté ce petit texte (hélas trop court).
Pour invincible étreinte, je comprends ce que tu dis. Je ne peux malheureusement pas rectifier. Quant à encorceler, c'est une faute d'inattention. C'est bien ensorceler que je voulais écrire.
Pour invincible étreinte, je comprends ce que tu dis. Je ne peux malheureusement pas rectifier. Quant à encorceler, c'est une faute d'inattention. C'est bien ensorceler que je voulais écrire.
Comme pour les autres, c'est ce qu'évoque ton texte qui me plait. Le côté intemporel de la sensualité, la touche de surréalisme, l'impulsion qui amène ces lignes. Au même titre, un certain hermétisme en bloque parfois l'accès aussi...
Mais j'aime la musique de ce texte (oui, un peu trop court).
Mais j'aime la musique de ce texte (oui, un peu trop court).
Ben moi je dis qu'après un " Je t'aime" y'a rien de mieux qu'un "Je t'aime ", en attendant le troisième, puis le quatrième… Et ce, jusqu'à ce que Lilith comprenne que le chat, souvent, est dans la lune. Même que c'est là qu'il est le mieux, et pas qu’à moitié, et donc : pas de quartier.
Court, mais bien luné !
Court, mais bien luné !
Autant dans les autres textes, il y avait du mystère, une fuite de la part de Lilith et j'aimais beaucoup, autant là... Désolé, mais je trouve ça un peu gnan-gnan! Il ne manque plus que l'eau de rose et Barbara Cartland! (là, j'exagère un peu, j'avoue)
Bref, je n'ai pas accroché comme à tes anciens textes... Dommage pour moi!
Bref, je n'ai pas accroché comme à tes anciens textes... Dommage pour moi!
Benoît, as-tu seulement lu Barbara Cartland? ;o)
Comme pour les autres, c'est ce qu'évoque ton texte qui me plait. Le côté intemporel de la sensualité, la touche de surréalisme, l'impulsion qui amène ces lignes. Au même titre, un certain hermétisme en bloque parfois l'accès aussi...
Mais j'aime la musique de ce texte (oui, un peu trop court).
Que ce soit hier ou il y a 1000 ans, ce qui parle d'amour ne vieillit pas. Je n'explique pas tout ce que j'ai en tête. J'aime les rêves qui en amènent d'autres. Il y a de fortes chances pour que les musiques qui chantent dans mon esprit soient en harmonie avec les tiennes; tu les aimes.
Bonsoir Yali, ce que tu dis est juste: "Il n'y a rien de mieux qu'un je t'aime". Quant à la lune c'est mon amie. Je vis en même temps que je dors avec. Bonne nuit. FLC.
Autant dans les autres textes, il y avait du mystère, une fuite de la part de Lilith et j'aimais beaucoup, autant là... Désolé, mais je trouve ça un peu gnan-gnan! Il ne manque plus que l'eau de rose et Barbara Cartland! (là, j'exagère un peu, j'avoue)
Bref, je n'ai pas accroché comme à tes anciens textes... Dommage pour moi!
Bonsoir Benoit, tu as raison de dire ce que tu ressens et je te remercie de le faire. Si toi ou d'autres ne disaient jamais rien, que deviendraient ces pages?
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre