Lfrobin 09/11/2004 @ 22:52:03
Voilà. Bon. Je monte dans ma voiture et je me dis :
« Merde, quand même, ne pas vouloir le bonheur, c’est étrange tout de même ».
Tant pis. Je tourne la clef. Préchauffage (c’est un diesel...) le voyant s’éteint et je démarre. Vroum.
Je me dis :
« Cracher sur les gens. »
Seconde.
« Cracher sur la société. »
Troisième.
« Cracher sur l’amour. »
Seconde
« Cracher su ma m.. »
Merde, j’ai la bouche sèche. Trop fumé peut-être, va savoir mon petit vieux. De la fumée dans la tête.
Poumons. Noirs. Ouais, ma tête, mes poumon, idem. Noirs.
Détail révélateur. Mon appartement est décoré tout de rouge et jaune. Alternance, balancement entre l’apaisement et l’excitation, couleurs joyeuses par définition. En imaginant qu’il y ait une définition aux couleurs. Symboles à la con. Du noir ? Mon manteau. Un Kenzo, long jusqu’aux genoux, noir. Bizarre.
En fait, j’aime me faire détester. Non, j’aime ne pas me faire aimer. Sélection. Je déteste me faire aimer par des personnes qui ne me comprennent pas, et qui ne savent pas pourquoi elles m’aiment.
« - c’est ça tu crois ?
- Ouais tu dois avoir raison.
- Tu trouves pas ça étrange ?
- Non.
- Merci mon vieux, t’es un as. »
Merde une voiture.
Troisième. Seconde. Première. Les cheveux vers le pare-brise, mes cd tombés par terre.
Pare-brise. Et pourquoi pas paravent ?
« - T’es trop nul, ça existe déjà.
- Ta gueule.»
Oui, mais le bonheur ? Hein ? Faut pas l’oublier non plus. Pourquoi pas après tout ? ça doit bien valoir le reste...
Très compliqué tout ça. Tréééééés con pli qué.
Comprends pas. Ne comprendrais jamais.
Musique. Rock n Roll.
« - Il est bon Cet enfoiré de retraité d’Iggy Pop quand même ! »
Ca, au moins, je le sais, et c’est pas compliqué : t’écoute Fun House, et tu vois bien que c’est excellent. Rassurant.
Osmose. D’ailleurs, je me sens mieux. Heureux ? ben non, je sais pas ce que c’est.
C’est peut-être bien justement ça..
« - va savoir... »
Ne pas connaître le bonheur, ça ne veut pas dire forcément être malheureux, loin de là !
La preuve : quand je vais mal, enfin, quand je suis malheureux, il se passe des trucs spéciaux :
1) Le tabac n’est jamais assez fort.
2) Je ne roule jamais assez vite.
3) La musique n’est jamais assez forte.
4) Le whisky ne brûle jamais assez.
Or là :
1) Le tabac brun m’arrache la trachée.
2) Je vois bien que je roule trop vite.
3) J’ai mal aux oreilles.
4) Je ne bois pas en conduisant.
Merde ! Je me sent bien donc ! Preuve par l’absurde. Serai-je heureux ?
Ben non, ce serait trop facile.
« - et puis arrête de gueuler toi ! » Volume trop fort, je baisse un peu.
Kheu ! Kheu ! Kheu ! rrrgnaa ! pfut !
J jette la clope. J’irai acheter du blond, ça ressemble à rien. La consistance brune, ce n’est peut-être pas pour les fiottes, mais c’est pour les frimeurs lycéens. (Puristes excusez moi).
Oh ! un écureuil ! je ralenti, il ne s’enfuit pas et me regarde avec une noisette dans la bouche.
« - On parle pas la bouche pleine !
- M’en fout je suis heureux moi ! »
Oh le con.
De toute façon, je suis bientôt arrivé. Plus que bientôt. Juste le temps de cligner des yeux.
M’y voilà. Je sonne.
Le bruit de l’interphone, la porte s’ouvre, je monte les escaliers. Je tape a la porte, elle ouvre, je lui donne un bouquet de fleur, et ...
On s’embrasse.
« Vais aller m’acheter un manteau jaune demain »
Conciliabule entre moi et moi même.
« Le bonheur ! Pfeu ! Trop facile ! »
« - Très bien merci. Et toi ? »

Lfrobin 09/11/2004 @ 22:57:51
désolé pour les fautes, surtout pour celle dans le titre, qui n'est "qu'une" faute de frappe.
Mea culpa..

Lyra will 10/11/2004 @ 15:28:24
- On parle pas la bouche pleine !
- M’en fout je suis heureux moi ! »
Oh le con.

Alors ça j'adore ;-)
J'aime beaucoup aussi la fin.
Le texte, j'aime dans l'ensemble, mais(bah oui, désolé) y'a quelque chose qui me dérange, je ressens bien la sensation du personnage , mais c'est plutôt dans la manière de le dire, un peu trop "brute"je n'arrive pas à avoir pitié du personnage, tu me diras, çe n'est peut être pas le but.C'est ma première impression que je te donne, je te préciserais un peu tout ça aprés plusieurs lectures.Autrement pour le 1), 2)...j'aurais bien aimé que ce soit plus "rattaché "au texte, plutôt que faire une liste(je sais pas si tu vois ce que je veux dire) ça me freine un peu.Mais d'un autre côté, ça colle bien avec l'ambience du texte, donc...je suis plutôt partagée.voilà ;0)

Benoit
avatar 10/11/2004 @ 19:05:29
J'en sais trop rien. Le thème, mouais, la façon, pourquoi pas mais l'ensemble, non. Au début, c'est un peu trop :"Je chie sur la société! Na!" Et puis le doute s'installe... J'en sais trop rien, j'ai pas été emballé, il manquait la petite étincelle pour que j'adore...

Lfrobin 10/11/2004 @ 21:30:12
Merci pour vos commentaires auxquels j'adhére complétement.
Sachez juste que c'est une premiére écriture, et que je n'y ai passé q ue 20mn.
A voir aprés retouches.

je prends notes de vos remarques et je me met au trvail...

Balamento 10/11/2004 @ 21:38:47
Pas mal... ;-) Comme d'habitude il y a du fond. La révolte initiale est ennuyeuse (pourquoi est elle là d'ailleurs ?). Le reste est bon pour un premier jet à mon goût -). Tu devrais essayer un truc... pondre un texte, puis le travailler durant une semaine ou une dizaine de jour d'affilés, pas tous les jours, mais quand tu en as le temps ;-) Je sais que tu n'es pas adepte du clavier, mais essaye pour voir... A mon avis, ça vaut le coup (en l'imprégnant d'autres humeurs, peut-être, qu'au moment du jet brut ;-))

Lfrobin 10/11/2004 @ 22:35:00
La révolte du début est là, je ne sais pas moi même pourquoi elle est là. quand j'écris, je commence par n'importe quoi, et ici, je l'ai laissé..
Je vais le travailler et posterai dans ce fuseau la nouvelle version.
merci bala.

Sahkti
avatar 10/11/2004 @ 23:02:09
Détail futile: on s'en fiche de savoir que c'est un diesel! Il préchauffe ce qu'il veut sans se justifier...

A part ça, je trouve que ce n'est pas assez violent. Il serait même assez guignol le gars. Il se plaint, ouaip, mais de quoi? De rien? Il est heureux? On ne dirait pas. Lui-même ne semble d'ailleurs pas très convaincu.
Il se la joue blasé mais ça fait ptit bourge qui veut se la péter révolutionnaire, un "Renaud" bon marché même pas fichu de tenir l'alcool.
Non, c'est pas assez noir, ça ne prend pas aux tripes, ça me ferait même sourire de le voir aussi bancal ce faux héros qui croit savoir ce qu'est la vraie vie.
De la violence, LFrobin, que ça ait l'air crédible!

Lfrobin 10/11/2004 @ 23:41:31
Rien ne te dis que je n'ai pas voulu créer un héro bidon tout naze, histoire de soulever quelques questions essentielles a mes yeux, d'une maniére assez légére.
Je suis en train de retravailler ce texte en ce moment, et l'ambiance évolue avec le reste.
Je ne veux pas faire un texte vilent, ni de mon hero un mec super perspicace, le but étant de creer la perspicacité chez le lecteur, de faire ressortir dans sa tête a lui les résultat de quelques reflexions, forcément plus abouties..

Sibylline 11/11/2004 @ 15:31:27
Bon , moi, je dis : pas mal.
Le titre est mauvais mais un titre, ça se change. En plus, avec la faute d’orthographe, j’ai failli ne jamais cliquer dessus…
Il faudrait que tu te trouves quelqu’un qui te corrige l’orthographe. Tu aurais tort de croire que ce n’est qu’un détail. Ca peut créer un contresens. Embêtant, dans un texte.
Par contre, j’ai bien aimé le timing- passage des vitesses-idées, la puérilité du symbolisme du vêtement, le dialogue avec l’écureuil, le manteau jaune, les fleurs… Pas mal de choses en fait.
Voilà, Robin des bois, tu en fais ce que tu veux, et si tu n’en fais rien, et bien, tu ne me le reproches pas.

Tistou 11/11/2004 @ 15:52:59
Je déteste me faire aimer par des personnes qui ne me comprennent pas, et qui ne savent pas pourquoi elles m’aiment.
C'est amusant ça. Et si c'est ton cas j'espère que ça te passera! Mais c'est vrai que nous vivons dans une société occidentale développée et riche où l'on peut se permettre ce genre de fantaisies! Bourge disait Sahkti. En tant que réaction c'est le qualificatif qu'on pourrait employer.
Sur le texte et sa forme, ... plutôt fouillis j'ai trouvé. Un peu l'auberge espagnole. Des choses qui m'ont paru bien tourné et exprimer du fond. D'autres ...? Plus artificielles, mais c'est peut être le fond qui m'a influencé (et j'en reviens au début de mon intervention)

Kilis 11/11/2004 @ 17:34:18
LFrobin, c'est la première fois je crois, je n'en suis plus très sûre, la seconde peut-être, que j'apprécie vraiment un texte de toi. Vraiment.
C'est très intéressant. Cela m'a fait penser à cette phrase, dans Bagdad Café, de la fille un peu déjantée, la tatoueuse qui se barre de ce lieu car dit-elle elle ne s'y sent plus à l'aise:
Too much harmony, dit-elle.

Bluewitch
avatar 11/11/2004 @ 17:57:40
Hormis le côté petit bourge auquel a fait allusion Sahkti, j'ai aussi trouvé ce texte pas mal, plus ouvert. L'enchaînement d'idées, la prise de conscience non dénuée d'humour, ça file droit, ça sonne bien. La petite faiblesse du personnage, sa remise en question. Et contrairement à Bal, j'aime le côté spontané, jeté sur le clavier (ben oui, papier, ça s'applique pas), sans remodelage.

Lfrobin 12/11/2004 @ 22:35:11
Merci tout le monde pour ces compliments.
Je suis en train de retravailler ce texte et de le rallonger.
Je posterai une version définitive en temps voulus.
Je prends note de vos critiques..

Benoit
avatar 12/11/2004 @ 22:58:55
Merci Lfrobin! On pourra ainsi voir les différences entre un texte brut et un texte retravaillé. Ce sera sûrement intéressant!

Lfrobin 15/11/2004 @ 17:11:29
bon, je ne vais pas poster la version definitive mais une version transitoire. J'y ai passé une paire d'heure dessus. Je trouve l'idée sympa de montrer la construction d'un texte... pas vous ?
Voila la version toujours pas définitive :


Du baume au coeur. Je monte dans ma voiture et je me dis :
« Merde, quand même, ne pas vouloir le bonheur, c’est étrange.». Tant pis.
Je tourne la clef. Préchauffage (c’est un diesel...) le voyant s’éteint et je démarre. Vroum.
Je pense : Mes passe-temps ? Ça :
« Cracher sur les gens. »
Seconde.
« Cracher sur la société. »
Troisième.
« Cracher sur l’amour. »
Seconde. (Un virage)
« Cracher sur ma m... »
J’en ai marre et j’en ai la bouche sèche. Trop fumé peut-être. De la fumée dans la tête.
Poumons : noirs. Ma tête, mes poumons, idem. Noirs.
L’âme noire, bon titre de poème, mais ça ne colle pas. Tout n’est pas noir tout de même. Même pas chez moi. C’est un comble pour ceux qui ne me connaissent pas.
Détail révélateur : problème d’ordre logique. Mon appartement est décoré tout de rouge et jaune. Alternance : balancement entre l’apaisement et l’excitation, couleurs joyeuses par définition en imaginant qu’il y ait une définition aux couleurs. Pas sûr. On peut en discuter.
Du noir ? Mon manteau et c’est tout. Un Kenzo, long jusqu’aux genoux, noir. Très beau soit dit entre parenthèse.
Bizarre. Pourquoi cette obsession alors ? Ce n’est pas mon fond quand même...
Non, ça, je le sais, mon fond est plutôt jovial, demandez le à mes amis...
Oui, mais les autres ? Mes non-amis. Ceux que l’on appelle « connaissances ».
Terme générique : impersonnel.
J’aime m’en faire détester. Non, j’aime ne pas m’en faire aimer, et ce n’est pas tout à fait la même chose. Je déteste me faire aimer par des personnes qui ne me comprennent pas, et qui ne savent pas elles-mêmes pourquoi elles m’aiment. La suite, c’est une question d’ampleur.
Les gens n’aiment ni le noir ni la bivalence. Généralité a la con : c’est pratique, le noir.
« - c’est ça tu crois ?
- Ouais tu dois avoir raison.
- Tu trouves pas ça étrange ?
- Non.
- Merci mon vieux, t’es un as. »
Une voiture en face et la route est étroite. Freinage violent.
Troisième. Seconde. Première. Les cheveux vers le pare-brise, mes cd tombés par terre.
Pare-brise. Et pourquoi pas paravent ?
« - T’es trop nul, ça existe déjà.
- Ta gueule.»
Oui, mais le bonheur dans l’histoire, hein ? Faudrait pas l’oublier non plus. Pourquoi pas après tout ? Ça doit bien valoir le reste... C’est peut-être même mieux allez savoir. On n’est sûr de rien dans ce bas monde.
Il me semble que tout cela est très compliqué... Tréééééés con pliqué.
Comprends pas et ne comprendrais jamais. Auto-analyse qu’ils disent ? Comme si c’était facile, et comme si on connaissait tous le mode d’emploi... Ça ne s’achète pas en pharmacie que je sache ! Passons.
Changeons d’ambiance. Un peu de musique : Rock n Roll.
« Putain qu’il est bon ce vieux retraité d’Iggy Pop ! »
Ca, au moins, je le sais, et c’est pas compliqué. Pas besoin de mode d’emploi : tu écoutes Fun House, et tu vois bien que c’est excellent.
Chaque cri un message, guitare impulsive (grosse consommation de cordes je pense). Rassurant : je le tiens dans ma main. Je connais. Je maîtrise. J’ai. Je.
Osmose. D’ailleurs, je me sens mieux. Heureux ? Ben non, je ne sais pas ce que c’est.
Quoi que ça pourrait bien être justement ça après tout. L’osmose. Harmonie ? Non, trop grand pour moi.
« Va savoir... »
Mais attention ! Ne pas connaître le bonheur ne veut pas dire forcément être malheureux, loin de là !
La preuve : quand je vais mal, enfin, quand je suis malheureux, il se passe des trucs spéciaux.
Je réagis d’une autre manière. Je dis « je », mais ce sont plutôt mes sens qui changent.
Phénomènes :
1) Le tabac n’est jamais assez fort.
2) Je ne roule jamais assez vite.
3) La musique n’est jamais assez forte.
4) Le whisky ne brûle jamais assez.
Or là :
1) Le tabac brun m’arrache la trachée.
2) Je vois bien que je roule trop vite.
3) J’ai mal aux oreilles.
4) Je ne bois pas en conduisant.
Merde ! Je me sent bien donc ! Preuve par l’absurde : serais-je heureux ?
Ben non, ce serait trop facile, et le facile, ça n’existe pas : juste une création de l’esprit pour permettre a chacun de maîtriser quelque chose.
« Et puis arrête de gueuler toi ! » Volume trop fort, je baisse un peu.
Kheu ! Kheu ! Kheu ! rrrgnaa ! Pfut ! Crachat qui file dans le vent et s‘écrase sur la chaussée.
Je jette ma clope : j’imagine le petit feu d’artifice sur la chaussée. J’irai acheter du blond. La consistance brune, ce n’est peut-être pas pour les fiottes, mais c’est pour les frimeurs lycéens. (Puristes excusez moi). Contenance. Une prison parmi tant d’autre, parmi tous les besoins :
Tu dois avoir de la contenance – Me dit la petite Voix.
Première : une petite forme sur le bord de la route qui gigote. Brun clair, Une grande queue pour sa taille...
Un écureuil ! Je ralenti et il ne fuit pas. Il me regarde, une noisette dans la bouche.
Kiiii ! Kiiii !
« - On parle pas la bouche pleine !
- M’en fout je suis heureux moi ! »
Oh le con !
Ca y est. J’ai le cafard. « Je suis heureux moi ». Facile à dire lorsqu’on ne sait pas de quoi on parle. Moi aussi je peux le dire. Regardez :
« Je suis heureux, moi aussi »
Stop : je ne vais pas m’étendre sur le sujet, je n’aurai pas le temps. Et puis je doute de l’utilité de discourir sur ce genre d’états d’âme. Espérer un coup de baguette magique ? Donné par Madame-La-Bien-Gentille-Compassion ? Je n’y crois plus depuis longtemps.
De toute façon, je suis bientôt arrivé. Pas le temps je disais... Juste le temps de cligner des yeux puis ce sera troisième seconde première frein à main, je tourne la clef claque la portière et verrouillage centralisé.
Je cligne des yeux et m’y voilà. Je sonne.
Le bruit de l’interphone, la porte s’ouvre, je monte les escaliers. Je tape à la porte et elle ouvre. Caché derrière mon long manteau noir, je lui donne un bouquet de fleur rouge (passion) et jaune, et on s’embrasse. Passionnel.
En même temps, ce petit conciliabule avec moi même :

« Vais aller m’acheter un manteau jaune demain »
« Le bonheur ! Pfeu ! Trop facile ! »
Réponse à sa question :
« - Très bien merci. Et toi ? »
Il fait chaud chez elle.






Merci de m'avoir relu...

Benoit
avatar 15/11/2004 @ 18:47:35
C'est difficile pour moi de faire une critique sur un texte que je connais déjà... Juste une petite remarque : je préférais l'entame du premier texte. C'est tout ce que je dirais.

Sahkti
avatar 16/11/2004 @ 13:44:41
Je préfère le premier essai, c'est plus fluide, moins saccadé. Ici, ça devient une succession de mots et de phrases qui s'empilent pas toujours très harmonieusement, ça parait confus par moments.

Tistou 16/11/2004 @ 14:32:53
C'est courageux de se remettre à revoir un texte. Tu l'as fait, je me suis dit allez, je relis. Imprimé les 2 textes et relu côte à côte.
Plutôt d'accord avec SAHKTI. Le 2ème n'amène rien par rapport au premier. Ca donne l'impression qu'on a passé un rabot pour gommer quelques aspérités mais globalement ça donne moins de nerf. A la relecture toutefois, je serais moins négatif qu'à ma première critique. Je n'ai pas dit enthousiaste!

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