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Il est doux le vent qui, à l'aube d'un sourire,
Effleure mes sourcils et balaye mon spleen.
Le froid brisait, cruel, mon allure marine;
Ô étoile cuivrée! couve-moi de tes spires!
À l'heure où la mouette a l'aile qui chavire,
Je me souviens du jour : c'était sur le grand quai.
Tu étais châle blanc, je tenais un bouquet
De roses bleu-rivage et un mot doux à dire.
Le chêne s'enracine en poussant un grand cri,
Ma mémoire trébuche et j'invoque l'Esprit
Ce vent avait un nom gravé sur une stèle.
Mon corps n'est qu'un moulin que le vent froid dentèle.
Effleure mes sourcils et balaye mon spleen.
Le froid brisait, cruel, mon allure marine;
Ô étoile cuivrée! couve-moi de tes spires!
À l'heure où la mouette a l'aile qui chavire,
Je me souviens du jour : c'était sur le grand quai.
Tu étais châle blanc, je tenais un bouquet
De roses bleu-rivage et un mot doux à dire.
Le chêne s'enracine en poussant un grand cri,
Ma mémoire trébuche et j'invoque l'Esprit
Ce vent avait un nom gravé sur une stèle.
Mon corps n'est qu'un moulin que le vent froid dentèle.
Juste oublié de dire que ce poème est inachevé
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