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Mélancolie à deux
Baudelaire mon charmant génie
Mon héros de l’astre infini
J’aime me blottir dans tes rêves
Comme une femme en pleine trêve
Avec toi la tristesse est un jeu de go
Envoûtant et plein de bestiaire
Et la mélancolie de Victor Hugo
Rejoint celle de tes arrières
La mélancolie c’est le bonheur d’être triste
Disait Hugo avec le talent du christ
Ces deux chantres sont les diadèmes
De l’obscure douleur humaine
Hugo, Baudelaire dans un carême
Issus de la même gerbe »
Incarnent la beauté des extrêmes
Et les arcanes du « superbe »
Gloire à ces deux troubadours
De la poésie et de ses pourtours
Qu’ils nous ensorcellent à jamais
Dans leurs frénétiques palais
Agnes Figueras-Lenattier
Baudelaire mon charmant génie
Mon héros de l’astre infini
J’aime me blottir dans tes rêves
Comme une femme en pleine trêve
Avec toi la tristesse est un jeu de go
Envoûtant et plein de bestiaire
Et la mélancolie de Victor Hugo
Rejoint celle de tes arrières
La mélancolie c’est le bonheur d’être triste
Disait Hugo avec le talent du christ
Ces deux chantres sont les diadèmes
De l’obscure douleur humaine
Hugo, Baudelaire dans un carême
Issus de la même gerbe »
Incarnent la beauté des extrêmes
Et les arcanes du « superbe »
Gloire à ces deux troubadours
De la poésie et de ses pourtours
Qu’ils nous ensorcellent à jamais
Dans leurs frénétiques palais
Agnes Figueras-Lenattier
Bravo ! C’est un poème très harmonieux, bienvenu sur « vos écrits ».
Une très belle évocation de la mélancolie et bel éloge à Baudelaire et à Victor Hugo.
Comme quoi il est bien vrai qu’un auteur n’est pas mort tant qu’il est lu.
Et de là haut ils doivent se réjouir qu’on parle encore si bien d’eux.
Une très belle évocation de la mélancolie et bel éloge à Baudelaire et à Victor Hugo.
Comme quoi il est bien vrai qu’un auteur n’est pas mort tant qu’il est lu.
Et de là haut ils doivent se réjouir qu’on parle encore si bien d’eux.
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