Désolé, j'ai pas pu m'empêcher... ;-))
J'allais commencer quelque chose du genre :
"Tels les Samouraïs, les Merveilles du Monde, les Piliers de la Sagesse,... nous étions sept."
Mais mon inspiration ne m'a pas porté plus loin. Ou plutôt, j'ai commencé à baguenauder du côté des douze salopards; des quarante voleurs, des cent-un dalmatiens, des mille et une nuit... Mieux valait en rester là.
Las ? Ben non, c'est toujours bien, ces petites rencontres. Et je ne me lasse pas des gestes avides de Blue en fin de soirée.
Ce qu'il s'est dit ? Bah, comme d'habitude : du mal des absents (des noms ! des noms !), qui n'avaient qu'à être présents. Des Douglas père et fils, dont la fossette héréditaire est inconnue de la jeune génération. On a même un peu causé de littérature entre les crevettes grises et le plat de résistance.
Je me souviens vaguement m'être engagé à descendre jusqu'à Paris (voire cent km plus loin) pour y prendre livraison d'une cargaison de petits Miquets. Mr et Mrs Ludmilla, j'ignore encore à quel moment je pourrai faire ça.
Et puis je suis retourné chez moi sur mon fidèle destrier, non sans un détour par la Place du Jeu de Balle où se trouvaient d'autres amis, pour y boire un dernier ( si, si, juré, le dernier) verre.
Hasta luego !
"Tels les Samouraïs, les Merveilles du Monde, les Piliers de la Sagesse,... nous étions sept."
Mais mon inspiration ne m'a pas porté plus loin. Ou plutôt, j'ai commencé à baguenauder du côté des douze salopards; des quarante voleurs, des cent-un dalmatiens, des mille et une nuit... Mieux valait en rester là.
Las ? Ben non, c'est toujours bien, ces petites rencontres. Et je ne me lasse pas des gestes avides de Blue en fin de soirée.
Ce qu'il s'est dit ? Bah, comme d'habitude : du mal des absents (des noms ! des noms !), qui n'avaient qu'à être présents. Des Douglas père et fils, dont la fossette héréditaire est inconnue de la jeune génération. On a même un peu causé de littérature entre les crevettes grises et le plat de résistance.
Je me souviens vaguement m'être engagé à descendre jusqu'à Paris (voire cent km plus loin) pour y prendre livraison d'une cargaison de petits Miquets. Mr et Mrs Ludmilla, j'ignore encore à quel moment je pourrai faire ça.
Et puis je suis retourné chez moi sur mon fidèle destrier, non sans un détour par la Place du Jeu de Balle où se trouvaient d'autres amis, pour y boire un dernier ( si, si, juré, le dernier) verre.
Hasta luego !
C’est la foire du livre et nous sommes à Bruxelles
Blue la belle sorcière a sonné le clairon
Pour ceux là, réunis, la soirée sera belle
Autour d’un bon repas, c’est une tradition
Plus question de pseudo plus question de s’écrire
On se voit pour du vrai c’est la douce euphorie
On s’apostrophe on parle on s’étouffe de rire
On est, ça va sans dire, entre amis et amies.
Et puis quand vient l’aurore il faut se dire adieu
« Adieu ? non, au revoir car nous nous reverrons »
Et tant pis pour ceux là qui sont restés chez eux
Le rapport de Bluewitch est leur consolation.
Le seul vrai poète parmi nous.
R.E.S.P.E.C.T.
Comme il est frais ce petit vent de Belgique qui fait regretter encore plus ma défection liée à des événements indépendants de ma volonté, évidemment !
Merci Blue pour ce joli commentaire qui donne envie de participer à nouveau aux agapes bruxelloises,. le nombre des participants diminue mais la qualité ne baisse pas alors à l'année prochaine, si rien ne me retient à Besançon ! Je vais noter la date dès qu'elle sera connue et prévenir mon entourage qu'à cette date, je suis déjà engagé....!.
Merci Blue pour ce joli commentaire qui donne envie de participer à nouveau aux agapes bruxelloises,. le nombre des participants diminue mais la qualité ne baisse pas alors à l'année prochaine, si rien ne me retient à Besançon ! Je vais noter la date dès qu'elle sera connue et prévenir mon entourage qu'à cette date, je suis déjà engagé....!.
On n'a plus vu Patman depuis notre retour, vous l'avez achevé avec votre dernier verre?
On n'a plus vu Patman depuis notre retour, vous l'avez achevé avec votre dernier verre?
Pas de panique, j'ai survécu au dernier verre, je suis juste un peu sous la vague au boulot, de retour très bientôt c'est promis !!!
On n'a plus vu Patman depuis notre retour, vous l'avez achevé avec votre dernier verre?
Pas de panique, j'ai survécu au dernier verre, je suis juste un peu sous la vague au boulot, de retour très bientôt c'est promis !!!
N'oublie pas de commander ton livre pour la lecture commune. :-D
J'allais commencer quelque chose du genre :
"Tels les Samouraïs, les Merveilles du Monde, les Piliers de la Sagesse,... nous étions sept."
Tu as oublié les 7 nains et les 7 mercenaires ou pire encore, les péchés capitaux !!!!
Avec un peu de retard, voici donc mon compte-rendu de l'escapade bruxelloise 2024.
J'avoue avoir longtemps pensé qu'elle n'aurait pas lieu cette année du fait de l'ambiance un brin tendue (c'est le moins qu'on puisse dire) qui régnait sur le CL depuis quelques semaines. Les temps semblaient plus propices aux empoignades qu'aux embrassades, mais c'était sans compter sur la détermination de notre Bluewitch nationale et l'optimisme à tout crin de Septularisen. Nous fûmes donc finalement 7 à nous retrouver à Bruxelles en ce jour ensoleillé. Certes, peu nombreux, mais le cénacle était de qualité, et l'écrin pour nous recevoir était parfait.
Mon emploi du temps ne m'a malheureusement pas permis d'arriver la veille, c'est donc samedi dans l'après-midi que je débarquais dans la capitale de l'Europe. Juste le temps de déposer mes affaires à l'hôtel et faire quelques emplettes et il était déjà l'heure d'aller rejoindre les Céliens au Plattesteen où j'arrivais le premier. Le temps d'échanger quelques mots avec Nadine Monfils, auteure prolifique qui venait là se sustenter après une dure journée de dédicaces à la Foire du Livre, je réussis à "choper" une table sur la terrasse (un exploit tant il y avait de monde) et quelques instants plus tard à peine Ludmilla et Mr Ludmilla arrivaient (et cette année je les ai reconnus !). C'était très vite ensuite Septularisen et sa charmante fille qui nous rejoignaient puis notre Bluewitch. Comme toujours dans ces cas là, c'est le régional de l'étape qui arriva le dernier, chevauchant son éternelle bicyclette, ce cher Minoritaire bien sûr.
L'apéritif était commandé et échange de livres il y eu, le mien trouvant preneur cette année. Nous rentrâmes dès lors dans ce joli estaminet qu'est le Plattesteen (je n'y était pas venu depuis des lustres) pour nous installer à la table qui nous était réservée. L'avantage des petits comités, c'est que l'on peut parler avec tout le monde et donc cette année, j'ai pu échanger avec Ludmilla et Blue beaucoup plus que l'an passé. Une carte de cuisine typiquement belge eu vite fait de nous faire saliver et, gourmandise oblige, nous décidâmes que ce serait entrées et plats de résistance (sous le fallacieux prétexte d'accompagner Mr Ludmilla qui voulait absolument découvrir les croquettes aux crevettes).
Nous dîmes du mal des absents (mais pas trop) et nos discussions tournèrent essentiellement sur la littérature, ce qui nous amena à la New Romance que nous évoqua Septularisette entre deux bouchées de croquettes de crevettes grises... Qu'est ce donc que cela se demanda Blue ? Et de fil en aiguille, l'idée saugrenue nous vint d'organiser une lecture commune d'un livre de Colleen Hoover. A dire vrai, à ce moment là je me débattais avec une frite récalcitrante et j'ai pensé qu'on parlait d'aspirateur... On parla de Guy Goffette, poète récemment disparu, de quelques vieux souvenirs de la Maison du Livre, de la fossette de Kirk Douglas et du fils Michaël, des versions de "Because de night" par Bruce Springsteen et Patti Smith, des Géants d'Ath,bref, ce fut éclectique, comme toujours.
Déjà, la terrasse c'était vidée. Dans la salle les serveurs commençaient à empiler les chaises, nous faisant comprendre qu'il était bientôt l'heure de nous en aller. Le temps passe si vite lorsque l'on est en bonne compagnie...
L'heure des comptes, l'instant crucial, le moment tant attendu et, une fois de plus, une sorcière bleue qui d'un coup de baguette magique nous calcule ça au centime près. Nous étions tellement admiratifs que nous lui avons dédicacé l'addition!
Minuit sonnait. On se retrouva sur le trottoir. Mino enfourcha son biclou, Blue repartit vers sa jolie campagne athoise. Nous n'étions plus que 5. Direction le Greenwich pour un dernier verre mais hélas, il était fermé ! C'est donc le bar/restaurant voisin qui nous accueillit pour ce verre ultime que nous sirotâmes une bonne heure en nous replongeant dans une belle discussion autour de Simenon, de Jules Verne et d'Henri Vernes entre autres. Il était 1h30 du matin quand je m'effondrais finalement dans mon lit, fatigué mais content.
A l'année prochaine à Bruxelles....
Quel beau récit, merci Patman !
C’est comme si on y était et ça fait plaisir de voir que tout s’est bien passé. A l’année prochaine… espérons !
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