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Cela commença exactement comme cela finit. Un coup de sifflet. Strict, impératif. Le match était fini. Lucien était enfin entré dans cette équipe qu’il badait depuis si longtemps. Depuis cinq mois qu’il avait pris sa licence pour participer aux entrainements des mardis et jeudis soirs.
La sueur ruisselait de partout, dans le dos, les yeux, cheveux collés, la température en ce mois de Mars était, il est vrai, exceptionnellement chaude. En d’autres circonstances Lucien s’en serait préoccupé ; le changement climatique revenait comme l’antienne d’un monde obnubilé par son nombril, il était impossible de ne pas s’y référer. Mais là …
Là, il avait enfilé le maillot rouge et bleu. Pas le maillot d’entrainement, un maillot avec un numéro dans le dos ! Il avait enfilé les bas qu’on lui avait prêtés et il avait pris place dans la ligne d’attaque qui s’était formée le long de la ligne médiane puisque c’était leur équipe qui donnait le coup d’envoi. Il n’avait pas eu le temps de se poser des questions, une heure avant le coup d’envoi on l’avait appelé ; épidémie de gastro, à son poste il n’y avait plus personne. Plus personne.
- Oui bien sûr, il avait prévenu qu’il n’avait pris la licence que pour s’entrainer avec l’équipe, bien sûr, convenait son interlocuteur stressé au bout du fil. Mais là ? Personne, il n’y avait plus personne pour occuper le poste ! S’il pouvait dépanner … venir au stade … dans une heure … ne pas oublier les crampons, le short, on lui prêterait les bas et il aurait le 13, le maillot 13, deuxième centre … Ce serait ses premiers pas en match … Jo l’aiderait, il jouait premier centre …
Etourdi, affolé, absolument impréparé il avait soufflé OK je viens, avait bourré ses affaires dans son sac et était arrivé au stade dans un état second.
Une bourrade dans le dos, des cris de joie, l’équipe se congratulait. On avait gagné. Moche. Mais gagné. Lucien prit place dans la file qui s’était formée pour saluer les joueurs de l’équipe adverse, serrer la main ou donner l’accolade, comme ça venait, surtout comme on avait croisé ou pas le gars d’en face, qu’on avait dû se fritter avec lui ou pas.
Le souffle avait du mal à revenir, le coup qu’il avait pris aux côtes se rappelait à son bon souvenir mais qu’importe. Une tape fraternelle sur le 13 d’en face, il n’y avait pas eu de mauvais gestes entre eux … Leur sourire facile de ceux qui se sont affrontés, sans haine ni vice.
Tiens le gars s’était arrêté, il lui souriait franchement, il lui parlait même ?
- Hein ?
- T’es un footeux toi !
- Un footeux ?
- Ce ballon que j’avais fait tomber. Tu es arrivé, tu l’as poussé du pied, entre mes jambes ! Au foot c’est un petit pont !
Et il rit franchement.
Lucien secoua la tête, pas aussi amusé, oui le ballon était passé entre les jambes du gars mais il était sorti en touche aussi vite. Un coup pour rien.
La vérité c’est qu’il aurait dû se coucher dessus, essayer de se relever avec ou attendre que ses partenaires arrivent pour s’en emparer. Mais plonger dans les jambes du 13 d’en face, il ne l’avait pas fait. Il avait eu le réflexe de pousser le ballon du pied mais …
Le gars lui souriait toujours.
- Ca aurait pu marcher. T’as pas eu le rebond pour toi.
Ils se donnèrent l’accolade et passèrent au suivant …
La sueur ruisselait de partout, dans le dos, les yeux, cheveux collés, la température en ce mois de Mars était, il est vrai, exceptionnellement chaude. En d’autres circonstances Lucien s’en serait préoccupé ; le changement climatique revenait comme l’antienne d’un monde obnubilé par son nombril, il était impossible de ne pas s’y référer. Mais là …
Là, il avait enfilé le maillot rouge et bleu. Pas le maillot d’entrainement, un maillot avec un numéro dans le dos ! Il avait enfilé les bas qu’on lui avait prêtés et il avait pris place dans la ligne d’attaque qui s’était formée le long de la ligne médiane puisque c’était leur équipe qui donnait le coup d’envoi. Il n’avait pas eu le temps de se poser des questions, une heure avant le coup d’envoi on l’avait appelé ; épidémie de gastro, à son poste il n’y avait plus personne. Plus personne.
- Oui bien sûr, il avait prévenu qu’il n’avait pris la licence que pour s’entrainer avec l’équipe, bien sûr, convenait son interlocuteur stressé au bout du fil. Mais là ? Personne, il n’y avait plus personne pour occuper le poste ! S’il pouvait dépanner … venir au stade … dans une heure … ne pas oublier les crampons, le short, on lui prêterait les bas et il aurait le 13, le maillot 13, deuxième centre … Ce serait ses premiers pas en match … Jo l’aiderait, il jouait premier centre …
Etourdi, affolé, absolument impréparé il avait soufflé OK je viens, avait bourré ses affaires dans son sac et était arrivé au stade dans un état second.
Une bourrade dans le dos, des cris de joie, l’équipe se congratulait. On avait gagné. Moche. Mais gagné. Lucien prit place dans la file qui s’était formée pour saluer les joueurs de l’équipe adverse, serrer la main ou donner l’accolade, comme ça venait, surtout comme on avait croisé ou pas le gars d’en face, qu’on avait dû se fritter avec lui ou pas.
Le souffle avait du mal à revenir, le coup qu’il avait pris aux côtes se rappelait à son bon souvenir mais qu’importe. Une tape fraternelle sur le 13 d’en face, il n’y avait pas eu de mauvais gestes entre eux … Leur sourire facile de ceux qui se sont affrontés, sans haine ni vice.
Tiens le gars s’était arrêté, il lui souriait franchement, il lui parlait même ?
- Hein ?
- T’es un footeux toi !
- Un footeux ?
- Ce ballon que j’avais fait tomber. Tu es arrivé, tu l’as poussé du pied, entre mes jambes ! Au foot c’est un petit pont !
Et il rit franchement.
Lucien secoua la tête, pas aussi amusé, oui le ballon était passé entre les jambes du gars mais il était sorti en touche aussi vite. Un coup pour rien.
La vérité c’est qu’il aurait dû se coucher dessus, essayer de se relever avec ou attendre que ses partenaires arrivent pour s’en emparer. Mais plonger dans les jambes du 13 d’en face, il ne l’avait pas fait. Il avait eu le réflexe de pousser le ballon du pied mais …
Le gars lui souriait toujours.
- Ca aurait pu marcher. T’as pas eu le rebond pour toi.
Ils se donnèrent l’accolade et passèrent au suivant …
L'on sent parfaitement l'atmosphère, le combat sportif, le sain affrontement de joueurs, pour la gagne mais dans le respect du jeu.
J'ai bien aimé le texte et l'emploi du petit pont, très subtil. Bravo
J'ai bien aimé le texte et l'emploi du petit pont, très subtil. Bravo
Je me disais que je t'avais lu assez récemment dans le registre sportif : oui, dans ton Post orgasmum II. Et dans Conv & Bad, évidemment ! Mais le sport comme trame d'un exercice, ça, ça doit remonter à bien plus loin, si ça a déjà été là. C'est un registre dans lequel tu es à l'aise, ça roule sous l'oeil à la lecture, on est heureux d'accompagner Lucien au stade, même si on le plaint un brin. Tiens, en passant, je ne connais pas le verbe "bader" employé dans ce sens (cinquième phrase) ? Le coup du petit pont marche au poil ! Premiers pas qui ne seront pas les derniers, alors, pour le numéro 13 ?
On a l'impression d'y être, avec l'esprit d'équipe, cette petite discussion d'après match avec un adversaire, ça nous rafraîchit les naseaux. J'ai pas trop connu ça, mais mon frère aîné oui, au foot entre 14 et 17 ans, puis au rugby entre 18 et 25 ans. C'est fluide et sympa, à l'opposé de mon pensum de fin du monde...
Rugby vs football :-) Le petit pont, ça me parle !
De quoi égratigner encore un peu les dubitatifs du rugby, qui n'y comprennent rien, comme moi ! :-) !
Alors on transpire avec Lucien, le pauvre, avec le stress de la compétition et ses premiers pas ! Tu ne l'as pas épargné !
Il fera mieux la prochaine fois, parce qu'après avoir subi une telle pression, j'espère qu'ils le reprendront au prochain match !
De quoi égratigner encore un peu les dubitatifs du rugby, qui n'y comprennent rien, comme moi ! :-) !
Alors on transpire avec Lucien, le pauvre, avec le stress de la compétition et ses premiers pas ! Tu ne l'as pas épargné !
Il fera mieux la prochaine fois, parce qu'après avoir subi une telle pression, j'espère qu'ils le reprendront au prochain match !
Bader 2. Dans le Midi de la France, rester bouche bée, oisif ; rêvasser.
Je ne connaissais pas ce sens avant de venir du côté des Alpes. D'ailleurs je ne l'emploie guère ...
Je ne connaissais pas ce sens avant de venir du côté des Alpes. D'ailleurs je ne l'emploie guère ...
Ah super ! J'aime bien cette façon de voir , enfin de lire, les matchs ! :-)
En fait j'ai eu une impression de clarté dans le jeu, les doutes du jeune novice, ses craintes, et surtout son coup de pied sur le ballon (ovale le ballon, j'ai du mal à comprendre qu'on puisse shooter aussi loin dans les poteaux!) sous le petit "pont" entre les jambes du joueur adverse ce qui m'a beaucoup fait rire !
Et puis enfin j'ai mieux compris ce qu'il fallait faire, plonger dans les jambes et se jeter au sol pour cacher précautionneusement son ballon et..attendre que les partenaires arrivent pour leur donner !!! voilà ! Et voilà pourquoi ils arrivent tous sur le joueur pour lui prendre son ballon aussi bien d'un côté comme de l'autre ! Par contre je ne sais toujours pas comment ils y arrivent à le prendre si le joueur est couché dessus :-)
Arriver à faire un texte aussi clair sur un match de rugby chapeau! Et avec humour...Merci
En fait j'ai eu une impression de clarté dans le jeu, les doutes du jeune novice, ses craintes, et surtout son coup de pied sur le ballon (ovale le ballon, j'ai du mal à comprendre qu'on puisse shooter aussi loin dans les poteaux!) sous le petit "pont" entre les jambes du joueur adverse ce qui m'a beaucoup fait rire !
Et puis enfin j'ai mieux compris ce qu'il fallait faire, plonger dans les jambes et se jeter au sol pour cacher précautionneusement son ballon et..attendre que les partenaires arrivent pour leur donner !!! voilà ! Et voilà pourquoi ils arrivent tous sur le joueur pour lui prendre son ballon aussi bien d'un côté comme de l'autre ! Par contre je ne sais toujours pas comment ils y arrivent à le prendre si le joueur est couché dessus :-)
Arriver à faire un texte aussi clair sur un match de rugby chapeau! Et avec humour...Merci
Bader 2. Dans le Midi de la France, rester bouche bée, oisif ; rêvasser.
Je ne connaissais pas ce sens avant de venir du côté des Alpes. D'ailleurs je ne l'emploie guère ...
Moi non plus je l'ai jamais entendu !
En lisant le titre j'ai sourit car je me doutait que "petit pont" ça n'allait pas parler de voiries.
Jamais réussit à en placer un de petit pont mais m'en suis pris quelques uns.
J'ai bien aimé cette ferveur du gosse qui est "sélectionné" dans sa passion.
Tu contribue à changer ma vision plutôt négative du foot.
Vision étriqué où je vois surtout le côté supporter beauf devant la tévé la bière à la main ou pire les supporters
plus hooligans réacts(le GUD et consorts étaient pas mal actifs dans les milieux footeux) jusqu'à en oublier la les valeurs propres au sport.
Comprenez moi bien j'ai jamais vraiment aimé le foot à pratiquer comme à regarder.
En joueur je me suis "fritté" pas mal de fois, gamin j'avais réguliérement l'arcade sourcillière en sang pour ma propension à lever la jambe trop haut,
si bien que je me suis rabattu sur le poste de goal où j'étais pas trop mauvais.
Parce qu'éviter le foot en France pour les garçons c'est impossible, que ce soit à l'école ou dans les entreprises un dictat qui va même jusqu'au loto sportif...
Mais sur une vrai taille de terrain ou même un demi-terrain un ballon en peau de vache ça fait mal à arrêter.
Et la gratitude des coéquippiers fait place à de l'hostiilité dès qu'on se prend un but, parce que c'est souvent notre faute jamais le talent en face, bon on était des gosses donc pas étonant non plus.
Pratiquant pendant 10 ans d'un sport individuel(jusqu'à finir médaille d'argent face au champion de France junior de Judo en régional) j'ai toujours trouvé les sports collectifs un peu faiblard comme le côté jeu quand les arts martiaux apprenent une compétence pratique, la self-defence et la gestion du stress face à une agression.
Dans l'entraînement des arts martiaux l'adversaire est avant tout partenaire et le but est de progresser ensemble.
Comme tu l'indique c'est pas impossible dans les jeux d'équipe mais c'est pas la norme non plus.
La compétition j'ai pas vraiment aimé et ça dénature pas mal d'aspects pour bien des raisons.
Être spectateur ça a jamais été vraiment mon truc non plus.
Et puis j'ai appris qu'il existe des neurones "miroirs" qui font que en observant une action l'humain l'assimile à son compte(en résumé).
Là je suis en plein dedans parce que depuis janvier j'ai commencé un entraînement quotidien.
J'intégre dans mon entraînement de temps en temps en variant les exercices des mouvements basiques glanés dans des vidéos.
Tistou tes textes vont finir par vaincre mes à prioris péjoratifs sur le foot, certes sans pour autant aimé ni regarder.
Je revendique mon droit à pas aimer le foot, difficile dans un pays obnibullé et où la norme est de supporter son équipe, ville où sa nation voire même une raison d'exclusion sociale ou pire.
Bon sans parler avoir un temps habité à côté d'un stade d'une grande ville où de Néron auquel on attribue(faussement il me semble) son truc sur le pain et le jeu,
un opium du peuple et façon de galvaniser les débordements sociaux dans une activité stérile et clanique.
Vécu à côté du stade de l'ancien stade de Nice avant celui refait par l'entreprise Accord(Auchan et la grande "famille" catho intégriste que j'ai hélas connu en tant qu'employé et ayant employé au sortir de son mandat un certain délinquant multi-récidiviste nommé Sarkozy)
et même à Marseille où la secte OM est omniprésente.
On peut rajouter un gigantesque écran publicitaire et le développement de compétitions dans des condittions absurde et scandaleuse,même si c'est la même pour tous les sports en haut niveau de compétition, en tout cas dès qu'il y a beaucoup l'argent il y a des hontes.
Comme organiser au Brésil un événement investissant des milliards dans l'orgnaisation en détruisant des bidonvilles et chassant ses habitants parce que ça ferait tâches au niveau international. Ma logique absurde serait d'utiliser l'argent pour nourrir et loger mieux les habitants, mais bon c'est une logique absurd et c'est pas ce que veulent les sponsors: un écran qui diffuse leur propagande pour blanchir leur images entachées par des méthodes douteuses, voire de nations au régimes pas vraiment enviables(Qatar, Saoudie, Russie ou plutôt GazProm, c'est en quelque sorte un impérialisme ou au moins sa vitrine).
Aimer regarder le foot c'est aussi encourager cela involontairement.
Le fanatisme du foot et des bagnoles une démonstration, parmi d'autres, de ce qui ne va pas dans le consumérisme et le capitalisme outrancier.
Mais c'est bien de revenir à certaines valeurs bénéfiques du sport et le foot ce n'est probablement pas que cela et l'ennui que ça m'inspire.
Regarder que le milieu pro(avec ce que ça donne comme image les salaires des footbaleurs célébres et comme notion de résusite aux afficionados) c'est regarder par le petit bout de la lorgnette, bien que tu revienne à l'esentiel.
Hélas non entaché d'entreprises qui font travailler les enfants comme Nike et la liste est longue.
Jeune ou moins jeune n'importe quel sport c'est avant tout les amateurs et pas les têtes d'affiches et compétitions de haut niveau.
Tu a évité de trop passer pour un tract de propagande de la FIFA en n'omettant pas certains écueils inhérents à la compétition et l'aspect clanique.
Pas fan mais je nie pas les qualités et on sent la ferveur du passionné et que c'est bien pensant.
Le texte sur le rugby était mieux pour moi parce que dérangeant ta comparaison entre sexualité et victoire sportive. Après faut aimer les crampons dans la face, même si c'est moins répandu qu'à une autre époque ça existe quand même le non fair play, chez les pros comme les autres.
Une chose assez galvaudé sur les réseaux sociaux(la bien pensance) mais quand on y songe quand il n'y a pas la bien pensance que reste t-il?
Son contraire ou au mieux le cynisme, mes ennemis beaucoup plus que le foot et les footeux et le dictat populaire de devoir l'apprécier.
Je suis morte de rire car j'ai la nette impression que Magicite n'a pas vu que Tistou décrivait et commentait du..rugby :-)))
Je me trompe peut-être, mais commençant par connaitre un peu (tout petit peu) le mode de penser de Magicite, les digressions ne lui font pas peur :-))
Je me trompe peut-être, mais commençant par connaitre un peu (tout petit peu) le mode de penser de Magicite, les digressions ne lui font pas peur :-))
De mon temps Magicite aurait eu "cs" dans la marge de sa copie. Peut-être encore maintenant ?
"cs" pour contre-sens.
Hey Magicite, le numéro 13 ne t'a pas interpellé ? Ni le fait que Lucien aurait dû plonger sur le ballon, et aurait dû attendre que ses partenaires arrivent pour s'en emparer ?
Bon, oui, je n'ai pas été explicite, je n'écris pas une fois le mot rugby mais compte tenu du contexte CDM, du fait que je sois passablement monomaniaque actuellement (actuellement ?), je pensais que c'était clair.
Le contre-sens est d'autant plus douloureux que "se faire traiter" de footeux pour un rugbyman, c'est ... comment dire ... ?
"cs" pour contre-sens.
Hey Magicite, le numéro 13 ne t'a pas interpellé ? Ni le fait que Lucien aurait dû plonger sur le ballon, et aurait dû attendre que ses partenaires arrivent pour s'en emparer ?
Bon, oui, je n'ai pas été explicite, je n'écris pas une fois le mot rugby mais compte tenu du contexte CDM, du fait que je sois passablement monomaniaque actuellement (actuellement ?), je pensais que c'était clair.
Le contre-sens est d'autant plus douloureux que "se faire traiter" de footeux pour un rugbyman, c'est ... comment dire ... ?
Le numéro 13 j'avais pas compris, je pensais qu'il était remplaçant mais bon comme j'y connais rien au foot ni au rugby(en plus il y a différents nombre de joueurs possible et chacun à rien à voir).
En effet la plupart de mes notes à l'école en français j'avais la note divisé par 2 pour hors sujet, pas mal de 11/20 , j'aurais peut-être eu 22/20 sinon donc.
Bon tant mieux alors, le rugby c'est pas le foot.
"Le contre-sens est d'autant plus douloureux que "se faire traiter" de footeux pour un rugbyman, c'est ... comment dire ... ?"
Ok alors je comprends mieux le texte. L'autre s'est donc foutu de sa gueule.
J'étais resté sur le titre et persuadé que c'est de foot que ça parlait. Bon il y a pas mal de choses en commun: un ballon et le fait de devoir marquer des points mais ça s'arrête là.
Mes excuses, j'aurais au moins appris que le foot c'est pas du rugby, pas encore de destruction de bidonvilles ni d'esclaves qui meurent pour construire les stades, ni autant de blessures qu'au foot américain.
Des gens civilisé les rugbymen donc et ce qui me manquait c'était le côté délirant/ironie dans ton texte.
Maintenant je vois que c'était moi qui était mal comprenant.
En effet la plupart de mes notes à l'école en français j'avais la note divisé par 2 pour hors sujet, pas mal de 11/20 , j'aurais peut-être eu 22/20 sinon donc.
Bon tant mieux alors, le rugby c'est pas le foot.
"Le contre-sens est d'autant plus douloureux que "se faire traiter" de footeux pour un rugbyman, c'est ... comment dire ... ?"
Ok alors je comprends mieux le texte. L'autre s'est donc foutu de sa gueule.
J'étais resté sur le titre et persuadé que c'est de foot que ça parlait. Bon il y a pas mal de choses en commun: un ballon et le fait de devoir marquer des points mais ça s'arrête là.
Mes excuses, j'aurais au moins appris que le foot c'est pas du rugby, pas encore de destruction de bidonvilles ni d'esclaves qui meurent pour construire les stades, ni autant de blessures qu'au foot américain.
Des gens civilisé les rugbymen donc et ce qui me manquait c'était le côté délirant/ironie dans ton texte.
Maintenant je vois que c'était moi qui était mal comprenant.
Alors c'est vrai que ça pourrait paraître sport et réactions de gamin mais en l'occurrence c'est peu ou prou ce qui m'est arrivé et j'avais largement dépassé les 20 ans !
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