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Grand soleil sur la pompe de l’essence
A m’y perdre ébloui en trouvant autre chose que moi
Elles m’émeuvent et m’embrouillent comme un acrotéleuton,
L fut ma lettre, la joie de la jolie Laëtitia poésie juvénile
L’autre Mélodie musique lunaire quand je plongeait au fond
Et celle brutale de franchise qui veut m’attraper quand je me fuit
ma belle sont des mots qui vont bien ensemble.
Julia joua de moi, Clarisse multipliant les affaires à la recherche de son père, d’y perdre sa peine de la perte. Anne-Lise qui partit sans comprendre, douceur sauvage de Lucie, Marylin mon amie aimée qui me compris que trop et moi pas assez...inconnues fugaces, noms de fleurs et parfums qui passent, sourires de regards croisés qui fige la lumière sur la pellicule de l’âme aux sels d’argents mystérieux, or plus vif et fuyant que le métal bouillant coulant d’un creuset de la forge.
À toutes les saisons, vous ferez de moi un dieu et un fou, esclave de supplier que vous brûliez mon cœur d’été fiévreux de vos eaux intimes naïades, de vos sèves dryades, de vos hauts airs sylphes et de vos rires se gaussant de moi, grenouille sur un nénuphar au milieu du lac, nymphes!
A m’y perdre ébloui en trouvant autre chose que moi
Elles m’émeuvent et m’embrouillent comme un acrotéleuton,
L fut ma lettre, la joie de la jolie Laëtitia poésie juvénile
L’autre Mélodie musique lunaire quand je plongeait au fond
Et celle brutale de franchise qui veut m’attraper quand je me fuit
ma belle sont des mots qui vont bien ensemble.
Julia joua de moi, Clarisse multipliant les affaires à la recherche de son père, d’y perdre sa peine de la perte. Anne-Lise qui partit sans comprendre, douceur sauvage de Lucie, Marylin mon amie aimée qui me compris que trop et moi pas assez...inconnues fugaces, noms de fleurs et parfums qui passent, sourires de regards croisés qui fige la lumière sur la pellicule de l’âme aux sels d’argents mystérieux, or plus vif et fuyant que le métal bouillant coulant d’un creuset de la forge.
À toutes les saisons, vous ferez de moi un dieu et un fou, esclave de supplier que vous brûliez mon cœur d’été fiévreux de vos eaux intimes naïades, de vos sèves dryades, de vos hauts airs sylphes et de vos rires se gaussant de moi, grenouille sur un nénuphar au milieu du lac, nymphes!
Ouah! si c'est auto et perso je ne peut émettre un jugement voir même un commentaire. C'est entre toi et toi et y mettre sont grain de sel bien pensant, bourgeois et voyeur ne pourrait qu'être une intrusion.
Ouah! si c'est auto et perso je ne peut émettre un jugement voir même un commentaire. C'est entre toi et toi et y mettre sont grain de sel bien pensant, bourgeois et voyeur ne pourrait qu'être une intrusion.
ok merci de ce "non" commentaire alors
Je pensais Spirit l'icône des pulps moins timoré. Ravi d'avoir pu choquer je regrette d'avoir enlevé des mots plus crus(ou même salaces) à la lecture de ton "non" commentaire. D'autres choses que je voulais mettre ne rentrait pas non plus dans ce texte, ou plutôt j'ai pas trouvé comment. Par exemple pour exprimer que je suis bien qu'invonlontairement assez souvent un goujat j'ai mis une grençouille au milieu de "son" lac.
Pour info je suis parti sur l'idée d'acrostiche après avoir feuilleté les correspondannces entre Sand et Musset(imaginaires ou réelles d'ailleurs) donc forcément ça ne pouvait pas être timoré.
Quant au reste ne croyez pas les écrivains leur but est de raconter des histoires, les pires parmi eux pour pervertir la réalité sont les poètes incapables d'être aussi clairs qu'un manuel de machine à laver c'est pour dire.
Bon je retourne à mon voyeurisme, je lis l'enfance de Tetsuko Koyanagi, autobiographie d'une gamine à l'école primaire dans le Japon des années 40. Je doit finir pour vite commenter car ce livre a peu de commentaire et mérite plus de voyeurs.
Sarcasme mis à part tout commentaire me va et m'aide tant qu'on me compare pas à du Frédéric Dard ou Guillaume Musso que j'abhorre pour des raisons diamétralement opposées.
Hmmm si seulemetnt j'avais pu placer :"Héphaistorgasme, LibidiZeus, coquillages nacrés d'Aphrodites" mais pour ça il fallait développer et ça devenait compliqué même si ça collait à la forme expérimentale recherchée et peut-être à l'origine des nymphes.
OUF !
Mais ce n'était en rien une critique négative, je suis désolé si tu l'ai pris comme tel. J'ai bien aimé ton texte mais je l'ai trouvé tèlement personnel que je trouvais illégitime pour moi de mettre ma vision dans ton monde
Mais si tu veux un commentaire je trouve que la structure est troublante et que le fond ne se comprend pas facilement sans en avoir les clefs (que tu possédes), l'ensemble n'en reste pas moins agréable et vivant.
Je préfere commentaire à critique qui implique un jugement de valeurs, pour moi, c'est pour cela que je prèfere employer ce terme.
Je ne voulais pas froisser les feuilles de ta création.
Mais ce n'était en rien une critique négative, je suis désolé si tu l'ai pris comme tel. J'ai bien aimé ton texte mais je l'ai trouvé tèlement personnel que je trouvais illégitime pour moi de mettre ma vision dans ton monde
Mais si tu veux un commentaire je trouve que la structure est troublante et que le fond ne se comprend pas facilement sans en avoir les clefs (que tu possédes), l'ensemble n'en reste pas moins agréable et vivant.
Je préfere commentaire à critique qui implique un jugement de valeurs, pour moi, c'est pour cela que je prèfere employer ce terme.
Je ne voulais pas froisser les feuilles de ta création.
Je dirais "passablement abscons" ! Pour ne pas dire furieusement abscons. J'ai l'impression que Spirit a davantage pris pied, moi je nage encore.
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