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Il était une fois la révolution au sein du monde merveilleux de Walt Disney. Tous les personnages gravitant dans cet univers mirifique, décidèrent d’un commun accord d’organiser un grand tournoi international de tennis. Cette compétition se déroula dans un parc majestueux garni de fleurs toutes plus enchanteresses les unes que les autres. Elles avaient toutes un pouvoir magique et c’était aux visiteurs de découvrir lequel.
Cet endroit n’était autre que la propriété de Winnie l’Ourson le « contemplatif » dont la demeure consistait en un immense château situé près d’une eau de jouvence. Winnie ayant hérité d’une grosse somme d’argent légué par son cousin, avait fait construire dans son jardin trois courts de tennis en quick entourés sur les côtés d’une myriade de ruches. Juge-arbitre du tournoi, il ne participait pas à l’épreuve. En revanche, il prenait un réel plaisir tout en se gavant de miel à voir s’affronter nos héros. Peter Pan tête de série n°2 du tableau masculin ou Esméralda la belle gitane aux boucles d’oreille étincelantes. Il faut dire que le petit ventre bien rond de cet ours très gourmet l’aurait sans doute fortement handicapé pour se mouvoir sur le terrain..
Quoi qu’il en soit, Winnie menait de main de maître ce tournoi. Il avait prévu en plus des matches de tennis en deux sets gagnants une sélection supplémentaire à savoir une épreuve de culture générale sur le tennis. Tous les participants désireux de se qualifier pour les demi-finales devaient répondre à différentes questions ayant trait aux champions de tennis. Avant de se battre sur le court. Par exemple quel joueur français avait battu Wilander en 1983 à Roland Garros ?
Winnie avait préféré ne pas faire payer l’entrée mais avait averti la presse que cet événement allait prendre place dans son domaine personnel. Quelques journalistes annoncèrent ce tournoi, et malgré un temps maussade, les spectateurs vinrent nombreux. Chez les hommes, l’épreuve la plus disputée eut lieu entre l’attachant bossu Quasimodo héros de « Notre Dame de Paris » et Mowgly l’enfant gracile et sauvage du « Livre de la Jungle ». Après le test du questionnaire, Mowgly menait légèrement au score. Mais sur le court de tennis il fut mené tout au long du match. Ce n’est qu’à la fin du deuxième set alors mené 1 set 5/2 40/15 que ce jeune garçon à la face quelque peu simiesque, se mit à changer littéralement de tactique. Jusqu’à présent, il avait utilisé une attitude plutôt passive et basée sur la défense. Et là, il adopta un jeu beaucoup plus offensif décontenançant ainsi son adversaire. Comme si le fait de n’avoir plus rien à perdre, l’avait libéré supprimant en lui toute pression psychologique. Résultat un set partout 3/0 Mowgly. Mais Quasimodo l’orgueilleux bossu nanti d’un caractère très persévérant, était loin d’avoir dit son dernier mot. Tout en s’encourageant constamment du poing, il remonta à 3/3 et mena même 4/3. Un suspens terrible auquel personne ne résista. A 4/4 pas un bruit ne perçait tellement un silence absolu s’élevait dans l’atmosphère. Les spectateurs bouche-bée eurent du mal à retenir leur souffle devant une tension aussi intense.
Pour essayer de bluffer son adversaire, Mowgly tenta au culot quelques services volées mais son audace ne fut pas récompensée. Quasimodo en pleine confiance décocha deux passings qui laissèrent Mowgly pantois. Le bossu plus concentré, plus déterminé l’emporta finalement au tie-break du troisième set sur une double-faute de Mowgly. Ce dernier après avoir serré la main de Quasimodo se comporta en mauvais perdant, refusant une poignée de main à l’arbitre. Sous les huées du public, il prit vite ses affaires et rentra précipitamment à l’hôtel dénigrant toute sollicitation. Quasimodo pour sa part, totalement aux anges, savoura longuement les applaudissements du public. Il ne se fit aucunement prier pour signer des autographes. En salle d’interview, il jubilait. Jamais un sourire aussi éclatant n’avait illuminé son visage. Son regard généralement plutôt triste et teinté de mélancolie respirait l’allégresse et la joie de vivre. L’autre demi-finale en revanche opposant l’espiègle Chat Botté à Peter Pan le félin volant, ne laissa filtrer aucune émotion. Peter Pan battit son adversaire à plate couture sur le score de 6/ 6/1. En finale allaient donc s’affronter l’ennemi du Capitaine Crochet et Quasimodo le bouc émissaire du tyrannique juge Frollo..
Côté féminin, la charmante Esméralda au jeu de jambes époustouflant et au coup droit ravageur, triompha du malingre petit chaperon rouge. Cette petite fille visiblement paniquée ne mit pas une balle dans le court. Elle commit de nombreuses fautes inhabituelles l’empêchant d’opposer quelque résistance que ce soit à Esméralda. Déjà lors du questionnaire, le petit chaperon rouge n’avait pu dissimuler sa peur. Son trac se devinait au léger tremblement de sa voix, lorsqu’elle répondait aux questions. Esméralda consciente de l’état fébrile de son adversaire, en profita pour dès le premier jeu du match mettre la pression. Et poussa rapidement le petit chaperon rouge à la défaite. Quant à la romantique petite sirène Arielle, elle fut vite balayée par la puissance et la régularité de la méchante Cruella héroïne des « 101 dalmatiens ».. Bref les deux demi-finales féminines n’apportèrent que fadeur et déception..
Entre les demi-finales et la finale était prévu un jour de repos que chaque participant exploita du mieux qu’il put. Chacun se mit en quête d’un habile stratagème destiné à vaincre son adversaire. Peter Pan par exemple s’envola vers le ciel afin d’implorer les Dieux pour qu’ils fassent naître lors de sa finale un puissant alizé. Doté d’un jeu très lifté donc très adaptable au vent, Peter Pan posséderait donc un ascendant important sur Quasimodo dont le jeu franc était basé sur l‘attaque. Quasimodo avait imaginé comme subterfuge de demander au maître d’hôtel de mettre au petit déjeuner dans la boisson de Peter Pan, un soporifique aux effets prolongés. Ce petit homme devait ainsi subir la loi de l’endormissement sur le court. Et que dire des ruses employées par les deux héroïnes ? Cruella convoqua ses nombreux amis afin que ceux-ci fassent la claque de manière inélégante. Elles avaient pour mission d’applaudir les fautes d’Esméralda. La gitane fit appel à un magnétiseur en ayant pris soin de lui donner sa photo. Celui-ci devait aux moments où elle était menée lui faire des passes magnétiques et la doper.
En fin de journée, les quatre héros furent pleinement satisfaits de leurs ruses. Mais leur contentement ne les empêcha pas d’être plus ou moins angoissés en fonction de leur tempérament. Le plus décontracté semblait être Peter Pan et la plus émue Esméralda dont le caractère émotif était connu de tous. Après une nuit agitée, les stars du tournoi furent tous sur pied dès l'aube. Pour se préparer et mettre toutes les chances de leur côté. Joggings, échauffements adaptés faisaient partie du programme..
Comme souvent, les femmes débutèrent les premières et tout le premier set vit la domination incontestable de Cruella. Esméralda semblait très gênée par « la claque » organisée par le clan de Cruella. Le mauvais esprit était flagrant... Par moment d’ailleurs, Esméralda jetait un regard haineux vers ces spectateurs et se plaignait violemment à l’arbitre. Ce dernier intervenait de temps à autre mais ne pouvait pas non plus faire la police constamment. Par la suite heureusement, Esméralda finit par s’habituer à l’ambiance et son état psychologique s’améliora. Sa concentration s’intensifia et son comportement en arriva à friser l’imperturbabilité. Une fois plus confiante et plus calme, la jeune femme fit signe discrètement à son ami magnétiseur afin qu’il lui donne plus de punch. Spectaculaire fut l’intervention de cet homme. Esméralda se mit alors à attaquer et à faire de nombreux points gagnants. Résultat deuxième set 6/2 en sa faveur.
Mystère ? Laquelle de ces deux joueuses allait faire preuve de la stratégie la plus élaborée pour l’emporter ? Les dix minutes de repos qu’on leur accorda allaient être primordiales pour que chaque finaliste mette au point de son côté la tactique à adopter. Lorsque la partie recommença, ces dames avaient changé de tenue. Esméralda arborait une tenue bleu clair très sexy, mettant en valeur ses jolies épaules et sa silhouette longiligne. La sorcière portait une jupe blanche arrivant juste au dessus du genou, un polo bleu marine et une casquette bleue ciel. Personne ne put savoir ce qui s’était tramé durant la période de repos, mais le magnétiseur jouait toujours son rôle, et les amis de Cruella aussi. Le troisième set apparut très spectaculaire englobant de nombreux points gagnants et de belles montées au filet. Finalement, la rage de vaincre et surtout l’agressivité de Cruella l’emportèrent sur l’élégance et la grâce d’Esméralda. 7/5 fut le score du dernier set. La gitane ne put d’ailleurs s’empêcher de verser quelques larmes de déception. Mais son attitude générale se révéla très fair-play.
C’était maintenant au tour de ces messieurs de ne pas décevoir le public. Alors que les deux hommes pénétraient sur le court, de fortes bourrasques de vent se mirent à souffler. Quelle chirie! pensa Quasimodo intérieurement. Et pendant tout le match, le vent n’arrêta pas de narguer le bossu. Celui-ci visiblement très nerveux passait son temps à pester contre les conditions climatiques. Une attitude arrangeant bien Peter Pan. Même s’il souffrait d’une certaine mollesse à cause des soporifiques, il était loin d’être aussi handicapé que son adversaire. L’homme volant n’eut donc aucun mal à triompher. Ceci d’autant plus que Quasimodo complètement désarçonné et n’arrivant pas à se calmer, finit par balancer complètement le match. Aucun doute n’était permis; le stratagème de Peter Pan était vraiment supérieur. Le score fut sans appel, 6/ 6/1..
Le soir fut organisée une grande réception et les deux vainqueurs ouvrirent le bal. Cruella semblait avoir oublié pour quelque temps son allure un peu bourrue, et Peter Pan la fit voler dans les airs. . Et que dire de Winnie l’Ourson l’organisateur émérite de ce tournoi. Tellement satisfait du bon déroulement de l’épreuve, cet ours plutôt bon vivant décida de renouveler l’expérience. Les médias approuvèrent son projet et il signa alors un contrat de trois ans avec une grande chaîne de télévision. Ce fut pour lui le début d’une longue carrière..
Agnès Figueras-Lenattier
Cet endroit n’était autre que la propriété de Winnie l’Ourson le « contemplatif » dont la demeure consistait en un immense château situé près d’une eau de jouvence. Winnie ayant hérité d’une grosse somme d’argent légué par son cousin, avait fait construire dans son jardin trois courts de tennis en quick entourés sur les côtés d’une myriade de ruches. Juge-arbitre du tournoi, il ne participait pas à l’épreuve. En revanche, il prenait un réel plaisir tout en se gavant de miel à voir s’affronter nos héros. Peter Pan tête de série n°2 du tableau masculin ou Esméralda la belle gitane aux boucles d’oreille étincelantes. Il faut dire que le petit ventre bien rond de cet ours très gourmet l’aurait sans doute fortement handicapé pour se mouvoir sur le terrain..
Quoi qu’il en soit, Winnie menait de main de maître ce tournoi. Il avait prévu en plus des matches de tennis en deux sets gagnants une sélection supplémentaire à savoir une épreuve de culture générale sur le tennis. Tous les participants désireux de se qualifier pour les demi-finales devaient répondre à différentes questions ayant trait aux champions de tennis. Avant de se battre sur le court. Par exemple quel joueur français avait battu Wilander en 1983 à Roland Garros ?
Winnie avait préféré ne pas faire payer l’entrée mais avait averti la presse que cet événement allait prendre place dans son domaine personnel. Quelques journalistes annoncèrent ce tournoi, et malgré un temps maussade, les spectateurs vinrent nombreux. Chez les hommes, l’épreuve la plus disputée eut lieu entre l’attachant bossu Quasimodo héros de « Notre Dame de Paris » et Mowgly l’enfant gracile et sauvage du « Livre de la Jungle ». Après le test du questionnaire, Mowgly menait légèrement au score. Mais sur le court de tennis il fut mené tout au long du match. Ce n’est qu’à la fin du deuxième set alors mené 1 set 5/2 40/15 que ce jeune garçon à la face quelque peu simiesque, se mit à changer littéralement de tactique. Jusqu’à présent, il avait utilisé une attitude plutôt passive et basée sur la défense. Et là, il adopta un jeu beaucoup plus offensif décontenançant ainsi son adversaire. Comme si le fait de n’avoir plus rien à perdre, l’avait libéré supprimant en lui toute pression psychologique. Résultat un set partout 3/0 Mowgly. Mais Quasimodo l’orgueilleux bossu nanti d’un caractère très persévérant, était loin d’avoir dit son dernier mot. Tout en s’encourageant constamment du poing, il remonta à 3/3 et mena même 4/3. Un suspens terrible auquel personne ne résista. A 4/4 pas un bruit ne perçait tellement un silence absolu s’élevait dans l’atmosphère. Les spectateurs bouche-bée eurent du mal à retenir leur souffle devant une tension aussi intense.
Pour essayer de bluffer son adversaire, Mowgly tenta au culot quelques services volées mais son audace ne fut pas récompensée. Quasimodo en pleine confiance décocha deux passings qui laissèrent Mowgly pantois. Le bossu plus concentré, plus déterminé l’emporta finalement au tie-break du troisième set sur une double-faute de Mowgly. Ce dernier après avoir serré la main de Quasimodo se comporta en mauvais perdant, refusant une poignée de main à l’arbitre. Sous les huées du public, il prit vite ses affaires et rentra précipitamment à l’hôtel dénigrant toute sollicitation. Quasimodo pour sa part, totalement aux anges, savoura longuement les applaudissements du public. Il ne se fit aucunement prier pour signer des autographes. En salle d’interview, il jubilait. Jamais un sourire aussi éclatant n’avait illuminé son visage. Son regard généralement plutôt triste et teinté de mélancolie respirait l’allégresse et la joie de vivre. L’autre demi-finale en revanche opposant l’espiègle Chat Botté à Peter Pan le félin volant, ne laissa filtrer aucune émotion. Peter Pan battit son adversaire à plate couture sur le score de 6/ 6/1. En finale allaient donc s’affronter l’ennemi du Capitaine Crochet et Quasimodo le bouc émissaire du tyrannique juge Frollo..
Côté féminin, la charmante Esméralda au jeu de jambes époustouflant et au coup droit ravageur, triompha du malingre petit chaperon rouge. Cette petite fille visiblement paniquée ne mit pas une balle dans le court. Elle commit de nombreuses fautes inhabituelles l’empêchant d’opposer quelque résistance que ce soit à Esméralda. Déjà lors du questionnaire, le petit chaperon rouge n’avait pu dissimuler sa peur. Son trac se devinait au léger tremblement de sa voix, lorsqu’elle répondait aux questions. Esméralda consciente de l’état fébrile de son adversaire, en profita pour dès le premier jeu du match mettre la pression. Et poussa rapidement le petit chaperon rouge à la défaite. Quant à la romantique petite sirène Arielle, elle fut vite balayée par la puissance et la régularité de la méchante Cruella héroïne des « 101 dalmatiens ».. Bref les deux demi-finales féminines n’apportèrent que fadeur et déception..
Entre les demi-finales et la finale était prévu un jour de repos que chaque participant exploita du mieux qu’il put. Chacun se mit en quête d’un habile stratagème destiné à vaincre son adversaire. Peter Pan par exemple s’envola vers le ciel afin d’implorer les Dieux pour qu’ils fassent naître lors de sa finale un puissant alizé. Doté d’un jeu très lifté donc très adaptable au vent, Peter Pan posséderait donc un ascendant important sur Quasimodo dont le jeu franc était basé sur l‘attaque. Quasimodo avait imaginé comme subterfuge de demander au maître d’hôtel de mettre au petit déjeuner dans la boisson de Peter Pan, un soporifique aux effets prolongés. Ce petit homme devait ainsi subir la loi de l’endormissement sur le court. Et que dire des ruses employées par les deux héroïnes ? Cruella convoqua ses nombreux amis afin que ceux-ci fassent la claque de manière inélégante. Elles avaient pour mission d’applaudir les fautes d’Esméralda. La gitane fit appel à un magnétiseur en ayant pris soin de lui donner sa photo. Celui-ci devait aux moments où elle était menée lui faire des passes magnétiques et la doper.
En fin de journée, les quatre héros furent pleinement satisfaits de leurs ruses. Mais leur contentement ne les empêcha pas d’être plus ou moins angoissés en fonction de leur tempérament. Le plus décontracté semblait être Peter Pan et la plus émue Esméralda dont le caractère émotif était connu de tous. Après une nuit agitée, les stars du tournoi furent tous sur pied dès l'aube. Pour se préparer et mettre toutes les chances de leur côté. Joggings, échauffements adaptés faisaient partie du programme..
Comme souvent, les femmes débutèrent les premières et tout le premier set vit la domination incontestable de Cruella. Esméralda semblait très gênée par « la claque » organisée par le clan de Cruella. Le mauvais esprit était flagrant... Par moment d’ailleurs, Esméralda jetait un regard haineux vers ces spectateurs et se plaignait violemment à l’arbitre. Ce dernier intervenait de temps à autre mais ne pouvait pas non plus faire la police constamment. Par la suite heureusement, Esméralda finit par s’habituer à l’ambiance et son état psychologique s’améliora. Sa concentration s’intensifia et son comportement en arriva à friser l’imperturbabilité. Une fois plus confiante et plus calme, la jeune femme fit signe discrètement à son ami magnétiseur afin qu’il lui donne plus de punch. Spectaculaire fut l’intervention de cet homme. Esméralda se mit alors à attaquer et à faire de nombreux points gagnants. Résultat deuxième set 6/2 en sa faveur.
Mystère ? Laquelle de ces deux joueuses allait faire preuve de la stratégie la plus élaborée pour l’emporter ? Les dix minutes de repos qu’on leur accorda allaient être primordiales pour que chaque finaliste mette au point de son côté la tactique à adopter. Lorsque la partie recommença, ces dames avaient changé de tenue. Esméralda arborait une tenue bleu clair très sexy, mettant en valeur ses jolies épaules et sa silhouette longiligne. La sorcière portait une jupe blanche arrivant juste au dessus du genou, un polo bleu marine et une casquette bleue ciel. Personne ne put savoir ce qui s’était tramé durant la période de repos, mais le magnétiseur jouait toujours son rôle, et les amis de Cruella aussi. Le troisième set apparut très spectaculaire englobant de nombreux points gagnants et de belles montées au filet. Finalement, la rage de vaincre et surtout l’agressivité de Cruella l’emportèrent sur l’élégance et la grâce d’Esméralda. 7/5 fut le score du dernier set. La gitane ne put d’ailleurs s’empêcher de verser quelques larmes de déception. Mais son attitude générale se révéla très fair-play.
C’était maintenant au tour de ces messieurs de ne pas décevoir le public. Alors que les deux hommes pénétraient sur le court, de fortes bourrasques de vent se mirent à souffler. Quelle chirie! pensa Quasimodo intérieurement. Et pendant tout le match, le vent n’arrêta pas de narguer le bossu. Celui-ci visiblement très nerveux passait son temps à pester contre les conditions climatiques. Une attitude arrangeant bien Peter Pan. Même s’il souffrait d’une certaine mollesse à cause des soporifiques, il était loin d’être aussi handicapé que son adversaire. L’homme volant n’eut donc aucun mal à triompher. Ceci d’autant plus que Quasimodo complètement désarçonné et n’arrivant pas à se calmer, finit par balancer complètement le match. Aucun doute n’était permis; le stratagème de Peter Pan était vraiment supérieur. Le score fut sans appel, 6/ 6/1..
Le soir fut organisée une grande réception et les deux vainqueurs ouvrirent le bal. Cruella semblait avoir oublié pour quelque temps son allure un peu bourrue, et Peter Pan la fit voler dans les airs. . Et que dire de Winnie l’Ourson l’organisateur émérite de ce tournoi. Tellement satisfait du bon déroulement de l’épreuve, cet ours plutôt bon vivant décida de renouveler l’expérience. Les médias approuvèrent son projet et il signa alors un contrat de trois ans avec une grande chaîne de télévision. Ce fut pour lui le début d’une longue carrière..
Agnès Figueras-Lenattier
Surprenant ce tournoi de tennis...l'histoire n'est pas vraiment intéressante mais ça se laisse lire( d'ailleurs il se passe quoi au juste? Winnie mange du miel près d'un terrain de tennis..).
Enfin je salue l'idée même si tu pourrais développer une intrigue...par contre je comprends pas du tout l'angle Walt Disney.
Ce génial précurseur de l'animation américaine a crée quelques personnages, pour Quasimodo et Esméralda(œuvre de la compagnie Disney plus récente, après la mort de Walt) ils sont inspiré d'une œuvre de Victor Hugo que je recommande à qui ne connait pas. Mowgli vient d'un livre archi-génial (comme tout ses livres) de Rudyard Kipling, rare auteur britannique de l'époque à avoir critiqué le colonialisme de l'empire britannique. Dans les livres (dits) plus pour jeune public Peter Pan est aussi un livre, tout comme l'histoire des 101 Dalmatiens...Même Winnie l'ourson est un achat devant son succès de la compagnie Disney.
Bref selon moi il aurais été plus intéressant de faire intervenir des personnages vraiment créés par Disney(comme un certain Mickey et toute sa famille) où d'oublier le côté Disney pour les vraies œuvres qui ont été abominablement déformées par la machine mass-media américaine...tout comme l'ont été les 'contes de fées' comme la petite sirène du danois Andersen.
Enfin je salue l'effort même si pour moi(pas vraiment amateur de tennis) l'histoire tombe plutôt à plat et ne décolle pas vraiment.
Au plaisir de relire tes histoires, en espérant un scénario un peu moins abêtissant qu'un mauvais épisode de Winnie l'ourson ;) d'autant que l'écriture et soignée et qu'il y a de l'imagination.
Enfin je salue l'idée même si tu pourrais développer une intrigue...par contre je comprends pas du tout l'angle Walt Disney.
Ce génial précurseur de l'animation américaine a crée quelques personnages, pour Quasimodo et Esméralda(œuvre de la compagnie Disney plus récente, après la mort de Walt) ils sont inspiré d'une œuvre de Victor Hugo que je recommande à qui ne connait pas. Mowgli vient d'un livre archi-génial (comme tout ses livres) de Rudyard Kipling, rare auteur britannique de l'époque à avoir critiqué le colonialisme de l'empire britannique. Dans les livres (dits) plus pour jeune public Peter Pan est aussi un livre, tout comme l'histoire des 101 Dalmatiens...Même Winnie l'ourson est un achat devant son succès de la compagnie Disney.
Bref selon moi il aurais été plus intéressant de faire intervenir des personnages vraiment créés par Disney(comme un certain Mickey et toute sa famille) où d'oublier le côté Disney pour les vraies œuvres qui ont été abominablement déformées par la machine mass-media américaine...tout comme l'ont été les 'contes de fées' comme la petite sirène du danois Andersen.
Enfin je salue l'effort même si pour moi(pas vraiment amateur de tennis) l'histoire tombe plutôt à plat et ne décolle pas vraiment.
Au plaisir de relire tes histoires, en espérant un scénario un peu moins abêtissant qu'un mauvais épisode de Winnie l'ourson ;) d'autant que l'écriture et soignée et qu'il y a de l'imagination.
Bonsoir
Merci d'avoir pris la peine de lire et de commenter.
Merci d'avoir pris la peine de lire et de commenter.
J'ai bien l'impression Agnesfl que c'est ta première contribution sur "Vos Ecrits", de C.L. ? Evidemment bienvenue à toi. L'activité de ce forum Vos Ecrits a pu être plus intense dans le passé, actuellement il est plutôt en mode "Belle au Bois dormant" (pour rester dans le contexte de ton écrit !), essentiellement réveillé lors d'un lancement d'un exercice, en direct ou non.
Bon, revenons au "Tournoi de tennis pas comme les autres". De fait, pas banal le tournoi. Tu sembles très orientée tennis et ton profil le prouve (tu as laissé ton nom au bas du texte), mais aussi Walt Disney. D'où le melting pot réalisé. (tiens il faudrait que j'y pense pour le rugby ... ah oui mais je ne suis pas Disney, zut !)
Une pensée incidente me vient ; tu laisses supposer que chacun sur un court de tennis semble avoir recours à des subterfuges extra-tennistiques pour gagner des matchs ? Quand on entend parler des soupçons de matchs arrangés pour les paris même à niveau moyen, ça laisse à penser ...
Comme Magicite je ne suis bouleversé ni par le tennis ni par Walt Disney mais la réalisation du texte est intéressante ...
Bon, revenons au "Tournoi de tennis pas comme les autres". De fait, pas banal le tournoi. Tu sembles très orientée tennis et ton profil le prouve (tu as laissé ton nom au bas du texte), mais aussi Walt Disney. D'où le melting pot réalisé. (tiens il faudrait que j'y pense pour le rugby ... ah oui mais je ne suis pas Disney, zut !)
Une pensée incidente me vient ; tu laisses supposer que chacun sur un court de tennis semble avoir recours à des subterfuges extra-tennistiques pour gagner des matchs ? Quand on entend parler des soupçons de matchs arrangés pour les paris même à niveau moyen, ça laisse à penser ...
Comme Magicite je ne suis bouleversé ni par le tennis ni par Walt Disney mais la réalisation du texte est intéressante ...
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