Aujourd’hui le temps est bien triste. A moins que ce ne soit moi… Il fait gris et il pleut. Pas une pluie franche, non ! Un crachin dégueulasse qui mouille tout, lentement, à l’usure. Je ne fais rien et n’ai envie de rien faire. Toujours faire. C’est la règle. Mais non. Aujourd’hui je ne fais rien. J’ai le droit, j’ai la bonne excuse. Je suis triste. Triste. Quel mot horrible. Il racle la gorge et blesse les oreilles, avec ses sons taillants. Horrible et pourtant il n’y en a pas d’autre, non, aucun. A moins que je ne le connaisse pas. Ne rien faire en étant triste, quelle horreur. Horreur, celui est joli, de mot et je ne sais pas pourquoi. C’est bien moi ça. Expliquer ce qui n’est pas agréable, mais se taire lorsqu’il s’agit d’exprimer ce qui l’est. De tout façon rien ne sera bon aujourd’hui, puisque la tristesse est là et qu’elle est la bienvenue, puisque je ne compte pas la repousser, ni la combattre. Elle a droit à une place, elle est bien avec moi, fière et fidèle. Seul avec ma tristesse je vais donc marcher, de long en large, puis de large en long, en fumant. Mais fumer, ce n’est pas faire, ce n’est que fumer, comme d’habitude. L’habitude… N’en parlons plus. Je ne parle pas d’ailleurs. Pas le moindre mot. Depuis quand je le sais pas. Deux jours peut-être, ou bien quatre, ou bien mille ! Oui, hein ? Pourquoi pas ? Mille jours, trois ans, sans parler, dans le calme. Le calme. Je me répète. Mes idées se mélangent, se cognent, sans lien ni sens. Je n’ai pas le moindre contrôle, elles vont là ou le vent les porte : nulle part. Le hasard fait bien les choses quand même. Il m’offre l’harmonie. Triste avec les voisins qui rient et le soleil qui chauffe, rien de plus ignoble. Mieux vaut noyer la tristesse dans la tristesse. C’est plus efficace. Ca peut même être agréable d’avoir les idées noires. L’esprit est vif, affûté, prêt à bondir sur la moindre aspérité, à l’analyser, à la disséquer, pour mieux l’avaler, la digérer, et la chier quelques jours plus tard sur une feuille de papier.
Charmant ! Que de poésie… La vie est belle qu’ils disent ! Non… On n’est pas là pour s’amuser. L’amusement, c’est un neuroleptique, un calmant dont on a tous besoin, rien de plus. S’il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que la vie, c’est du sérieux, et que ceux qui la prenne à la rigolage y perdent, et ne l’honorent pas. La vie. Je déteste cette expression, et encore plus ceux qui lance des « la Vie ceci », « La Vie cela » à tort et à travers. Ils m’énervent. Comme s’ils savaient ce que c’était, la vie. Moi, je ne le sais pas, et je m’en fous. A quoi bon chercher à comprendre puisqu’on l’oubliera tous un jour. Je ne veux pas me faire bouffer par des vers. Je suis claustrophobe, un cercueil, ça me plait pas. Je préfèrerais pourrir dans mon salon, tranquillement, en musique, sur un gros canapé. Mais tout ça c’est des conneries. Tout le monde s’en fout, encore plus ceux qui s’amusent, ceux qui passe leur vie à s’amuser, pour cacher la misère. Parce qu’au fond, il n’y a rien de plus misérable que ça… Tout ça justement commence à m’ennuyer. Chier sur du papier ou lire la merde des autres, en parler parfois et y penser souvent pour quoi au final ? Et bien je vais me le dire pourquoi : pour être immortel, pour pourrir dans les bibliothèques bourgeoises, pour l’éternité. Juste préparer ça, pendant longtemps, pendant tout mon temps. Et dieu sait s’il est court mon temps, quelques poignées d’heures gracieusement offertes par je ne sais qui ou quoi. Une misère en somme… alors je me dépêche, il faut faire vite, pour arriver haut, pour effleurer l’absolu qui n’existe pas. Une supercherie. Une immense supercherie, toute dorée, flambant neuve. Mais je vais la baiser moi la vie ! Je vais la baiser pour mieux faire l’amour après, pour mieux jouir, plus longtemps. Pour toujours même ! Parce que s’il y a bien un anesthésiant plus fort que les autres, c’est bien l’amour. Le cul même ! Ça, ça vous tient en vie, en laisse les deux pieds dans la terre ! Ça fait passer le temps, ça offre, des bon moments comme ils disent, des plaisirs. Des petits plaisirs qu’ils auront vite fait de transformer en montagne, pour mieux supporter, pour ne pas voir. Parce qu’il y en a beaucoup qui ne voient pas. Ceux sont les pires. Ils Aiment, ils Rient, Ils Chantent et font des enfants, et puis ils crévent comme des chiens, entourés de pleureuses qui auront vite fait de les transformer en héros, en Hommes Biens, pour l’honneur. Les aveugles. Je ne leur en veux pas, ils me font de la peine à vivre la tête baissée, écrasée sous le poids de leur bonheur illusoire ou bien celui de leur misère. Dommage pour eux, ils n’ont pas tirés les bonnes cartes en début de partie. La faute à papa, maman, ou au bon dieu pour mieux faire passer la pilule. De toute façon, tout ça, c’est des conneries, je l’ai déjà dis. Tout le mode s’en fout, et moi, ça me fatigue.
Ces idées me m’épuisent. Il n’y a plus de place dans ma boite. J’étouffe, il me faut de l’air. De l’air en bouteille, une bouteille brune à moitié vide de Glennfidish 15 ans d’age, pour passer à autre chose. Pour faciliter le transit, pour passer à la nuit, et faire de beaux rêves. Oui, ça, j’en veux, des beaux rêves, pour arriver jusqu’à demain. Demain. Toujours la même histoire. Toujours demain, et encore un jour de moins pour chier et faire de beaux rêves.
Charmant ! Que de poésie… La vie est belle qu’ils disent ! Non… On n’est pas là pour s’amuser. L’amusement, c’est un neuroleptique, un calmant dont on a tous besoin, rien de plus. S’il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que la vie, c’est du sérieux, et que ceux qui la prenne à la rigolage y perdent, et ne l’honorent pas. La vie. Je déteste cette expression, et encore plus ceux qui lance des « la Vie ceci », « La Vie cela » à tort et à travers. Ils m’énervent. Comme s’ils savaient ce que c’était, la vie. Moi, je ne le sais pas, et je m’en fous. A quoi bon chercher à comprendre puisqu’on l’oubliera tous un jour. Je ne veux pas me faire bouffer par des vers. Je suis claustrophobe, un cercueil, ça me plait pas. Je préfèrerais pourrir dans mon salon, tranquillement, en musique, sur un gros canapé. Mais tout ça c’est des conneries. Tout le monde s’en fout, encore plus ceux qui s’amusent, ceux qui passe leur vie à s’amuser, pour cacher la misère. Parce qu’au fond, il n’y a rien de plus misérable que ça… Tout ça justement commence à m’ennuyer. Chier sur du papier ou lire la merde des autres, en parler parfois et y penser souvent pour quoi au final ? Et bien je vais me le dire pourquoi : pour être immortel, pour pourrir dans les bibliothèques bourgeoises, pour l’éternité. Juste préparer ça, pendant longtemps, pendant tout mon temps. Et dieu sait s’il est court mon temps, quelques poignées d’heures gracieusement offertes par je ne sais qui ou quoi. Une misère en somme… alors je me dépêche, il faut faire vite, pour arriver haut, pour effleurer l’absolu qui n’existe pas. Une supercherie. Une immense supercherie, toute dorée, flambant neuve. Mais je vais la baiser moi la vie ! Je vais la baiser pour mieux faire l’amour après, pour mieux jouir, plus longtemps. Pour toujours même ! Parce que s’il y a bien un anesthésiant plus fort que les autres, c’est bien l’amour. Le cul même ! Ça, ça vous tient en vie, en laisse les deux pieds dans la terre ! Ça fait passer le temps, ça offre, des bon moments comme ils disent, des plaisirs. Des petits plaisirs qu’ils auront vite fait de transformer en montagne, pour mieux supporter, pour ne pas voir. Parce qu’il y en a beaucoup qui ne voient pas. Ceux sont les pires. Ils Aiment, ils Rient, Ils Chantent et font des enfants, et puis ils crévent comme des chiens, entourés de pleureuses qui auront vite fait de les transformer en héros, en Hommes Biens, pour l’honneur. Les aveugles. Je ne leur en veux pas, ils me font de la peine à vivre la tête baissée, écrasée sous le poids de leur bonheur illusoire ou bien celui de leur misère. Dommage pour eux, ils n’ont pas tirés les bonnes cartes en début de partie. La faute à papa, maman, ou au bon dieu pour mieux faire passer la pilule. De toute façon, tout ça, c’est des conneries, je l’ai déjà dis. Tout le mode s’en fout, et moi, ça me fatigue.
Ces idées me m’épuisent. Il n’y a plus de place dans ma boite. J’étouffe, il me faut de l’air. De l’air en bouteille, une bouteille brune à moitié vide de Glennfidish 15 ans d’age, pour passer à autre chose. Pour faciliter le transit, pour passer à la nuit, et faire de beaux rêves. Oui, ça, j’en veux, des beaux rêves, pour arriver jusqu’à demain. Demain. Toujours la même histoire. Toujours demain, et encore un jour de moins pour chier et faire de beaux rêves.
Ce texte n'est pas définitif puisque je l'ai écrit il y a une heure, mais j'ai eu envie de le balancer quand même... s'il vous plait, je lancerai la version définitive le jour voulu...
Eh bien ton texte me déplaît... Souverainement. Pourquoi : les "idées" remuées, brassées, ne sont pas les miennes, donc forcément... et de plus elles ont déjà été touillés par bien d'autres et mieux. Je souhaite juste (pour toi !) qu'il s'agisse d'un pur exercice d'écriture-fiction sinon, je te plains, beaucoup. Quel âge as-tu déjà ? Ah oui.
Forme : bien écrit, même si c'est un gros paquet, un amalgame compact jeté à la lecture comme une m... Il y a quelques grossièretées qui auraient pu être évitées car elles n'apportent rien, ou alors il faudrait en mettre bien plus car peu, ça choque je trouve.
Alors comme on dit parfois comme pour s'excuser, mais ce n'est surtout pas une excuse : voilà, c'était mon avis à moi, tout personnel. Aux autres.
Forme : bien écrit, même si c'est un gros paquet, un amalgame compact jeté à la lecture comme une m... Il y a quelques grossièretées qui auraient pu être évitées car elles n'apportent rien, ou alors il faudrait en mettre bien plus car peu, ça choque je trouve.
Alors comme on dit parfois comme pour s'excuser, mais ce n'est surtout pas une excuse : voilà, c'était mon avis à moi, tout personnel. Aux autres.
Salut Lfrobin,
Ben c’est pas guai tout ça…
Sinon quelques réflexions
— J’ai beaucoup de mal à le prendre au sérieux ce texte tant il trimballe des idées toutes faites, faites toutes exprès pour contester d’autres idées toutes faites…
— Cette tentation, celle de se répandre en pathos sur la page, je la connais par cœur pour toujours lutter contre, parce que m’est avis à moi que c’est de l’énergie gaspillée, foutue en l’air, et que c’est dommage quand on connaît le potentiel de carburant que ça représente. Oh bien sûr, comme gazoline c’est du brut, n’empêche qu’une fois raffinée, une fois éliminés les « Tiens, si je me pleurais dessus. » Les « Si je tentais de faire percevoir à quel point je suis, exceptionnel, particulier, à quel point je souffre. », les « À quel point je suis unique, différents, que j’ai compris moi ! », ben il t’en reste quand même quelques litres pour causer vrai.
Parler de soi, sans ennuyer ou gêner l’autre et la chose la plus difficile en écriture parce que simplement, elle requiers une dimension universelle, elle tente de chercher chacun et peut y réussir si, et seulement si, on sait s’oublier soi, c’est-à-dire qu’il faut donner, offrir aux lecteurs une peau qu’il puisse endosser, c’est-à-dire pas la sienne, pas la tienne non plus, mais bien quelque part entre. Ici tu n’offre rien, pas un angle de vue que je puisse partager, une idée que je puisse comprendre… Bon, je ne sais pas si je suis très clair. Pour simplifier, la prochaine fois, commence par le 15 d’âges, vide la bouteille, jette pelle mêle tes idées sur la feuille, froisse-là, jette-là à son tour, réinstalle toi et pense qu’au delà de ce que tu racontes, il y a un lecteur, que ce n'est pas forcément un abruti.
Tu verras, c’est fou comme ça change la donne d'un coup.
Ben c’est pas guai tout ça…
Sinon quelques réflexions
— J’ai beaucoup de mal à le prendre au sérieux ce texte tant il trimballe des idées toutes faites, faites toutes exprès pour contester d’autres idées toutes faites…
— Cette tentation, celle de se répandre en pathos sur la page, je la connais par cœur pour toujours lutter contre, parce que m’est avis à moi que c’est de l’énergie gaspillée, foutue en l’air, et que c’est dommage quand on connaît le potentiel de carburant que ça représente. Oh bien sûr, comme gazoline c’est du brut, n’empêche qu’une fois raffinée, une fois éliminés les « Tiens, si je me pleurais dessus. » Les « Si je tentais de faire percevoir à quel point je suis, exceptionnel, particulier, à quel point je souffre. », les « À quel point je suis unique, différents, que j’ai compris moi ! », ben il t’en reste quand même quelques litres pour causer vrai.
Parler de soi, sans ennuyer ou gêner l’autre et la chose la plus difficile en écriture parce que simplement, elle requiers une dimension universelle, elle tente de chercher chacun et peut y réussir si, et seulement si, on sait s’oublier soi, c’est-à-dire qu’il faut donner, offrir aux lecteurs une peau qu’il puisse endosser, c’est-à-dire pas la sienne, pas la tienne non plus, mais bien quelque part entre. Ici tu n’offre rien, pas un angle de vue que je puisse partager, une idée que je puisse comprendre… Bon, je ne sais pas si je suis très clair. Pour simplifier, la prochaine fois, commence par le 15 d’âges, vide la bouteille, jette pelle mêle tes idées sur la feuille, froisse-là, jette-là à son tour, réinstalle toi et pense qu’au delà de ce que tu racontes, il y a un lecteur, que ce n'est pas forcément un abruti.
Tu verras, c’est fou comme ça change la donne d'un coup.
Pardon pour les fautes, je suis incorrigible ;-)
Monique, ce n'est effectivement qu'un execice-fiction et cres idées ne sont pas les miennes. J'aime aicrire des choses que je ne pense pas forcément et je ne suis ni dépressif, ni alcolique... exercice célinien si je peux le dire ainsi..
Prends plutôt en compte la critique de Yali, elle est beaucoup plus constructive que la mienne
je ne vois pas ou est le mal à s'amuser, à tricher, à exposer des idées qui soient pas le mienne, à jouer avec des styles que je métrise pas forcement, bref, a changer un peu de routine. il faut dissocier les écrits de la personne qui les a pondu. Il n'empêche que j'ai du reussir quelque chose pour que vous soyez si persuadé qu'il s'agisse d'un texte autobiographique, alors qu'il n'en est rien. sachez que "orage" est un texte (court je sais..) par contre, ou je me livre beaucoup plus, ou ma sensibilité est intacte, véridique. Je m'attendais à des réactions comme les votre, et il y avais un peu de provocation dans tout ça... Je ne sais pas si c'est un mal. Si cela vous dérange, excusez moi d'avoir voulu jouer, j'en suis profondément navré, et je recommencerai plus... Je vous donnerai des textes plus vrai à l'avenir..
Bon, je vais de ce pâs lire vos journaux..
Bon, je vais de ce pâs lire vos journaux..
Non, tu n'as pas compris qu'il importe peu qu'il s'agisse de ton propre ressenti ou de la pure fiction. Dans les 2 cas, c'est la forme qui ne colle pas et Yali l'a bien dit. Il faut accrocher le lecteur en pensant que tu dois l'intéresser de façon qu'il reconnaisse ne serait-ce qu'un petit quelque chose qui lui corresponde et bien choisir ses mots pour ça, pas tout jeter en vrac comme ça.
Ne te décourage surtout pas.
Et pour le conseil de Yali :
Ne te décourage surtout pas.
Et pour le conseil de Yali :
la prochaine fois, commence par le 15 ans d’âge, vide la bouteille, jette pêle-mêle tes idées sur la feuillepréfère un rhum blanc à 55° du père Labbat de Marie-Galante, tu te feras moins de mal...
Message reçu, j'accueille les bras ouverts vos conseils adultes.
Yes I'm lonely wanna die
Yes I'm lonely wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
In the morning wanna die
In the evening wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
My mother was of the sky
My father was of the earth
But I am of the universe
And you know what it's worth
I'm lonely wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
The eagle picks my eye
The worm he licks my bone
I feel so suicidal
Just like Dylan's Mr. Jones
Lonely wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
Black cloud crossed my mind
Blue mist round my soul
Feel so suicidal
Even hate my rock and roll
Wanna die yeah wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
The Beatles, White album : Yer blues.
Yes I'm lonely wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
In the morning wanna die
In the evening wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
My mother was of the sky
My father was of the earth
But I am of the universe
And you know what it's worth
I'm lonely wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
The eagle picks my eye
The worm he licks my bone
I feel so suicidal
Just like Dylan's Mr. Jones
Lonely wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
Black cloud crossed my mind
Blue mist round my soul
Feel so suicidal
Even hate my rock and roll
Wanna die yeah wanna die
If I ain't dead already
Ooh girl you know the reason why.
The Beatles, White album : Yer blues.
Gentiment : essaie de respecter les "règles" de ce site sinon c'est l'anarchie ! Si tu veux poser ce texte, tu vas dans le forum "Musiques & cinéma" en créant un nouveau fuseau, ok ?
Merci
Sans rancune
Merci
Sans rancune
excuse moi, c'est juste parceque je trouvais un lien entre mon texte et celui-ci que je l'ai mis ici...
là, petit, tu essaies de jouer dans la cour des grands ! C'est beau l'ambition
la pretention tu veux dire ! J'ai trop d'admiration pour les beatles pour ne serait-ce que penser a les imiter, sans meme parler de faire aussi bien ! C'est juste que je viens d'ecouter ce morceau et que le theme est a peut prés le même. ça m'a fait sourire...
Content de "rencontrer" une personne qui apprecie les beatles a leur juste valeur !
Content de "rencontrer" une personne qui apprecie les beatles a leur juste valeur !
Je place (je classe) les Beatles parmi les meilleurs mélodistes du monde, et du côté franchouillard, c'est Gainsbourg et Polnareff. Je parle bien de mélodie, pour le reste c'est un autre débat. Tiens, d'ailleurs on n'est pas au bon endroit pour parler de ça, mea culpa.
J'ai bien aimé ton texte Lfrobin c'est un point de vue comme un autre et sûr que beaucoup de gens se sont tenus se genre de propos à certains moments de leur vie. Cela m'est arrivé aussi mais pas souvent et pas longtemps, heureusement et ça fait du bien de temps à autres de ce vider de sa bile.
Moi, ce texte je l'aurais aimé plus extrême, je le touve un tantinet trop simpliste. Te vexe pas, j'explique: le mot chier reviens plusieurs fois, pourtant il y a pas mal de synonymes et puis le langage devrait être plus imagé, exprimer la colère genre: "bordel, tout ce bonheur qu'ils étalent dès le p'tit déj sur leur tartines à la cons puis qu'ils rangent dans leurs tuperwares débiles pour aller bouloter avec plein d'autres crabes.des heures durant... " Je veux dire créer des images quoi!
Moi, ce texte je l'aurais aimé plus extrême, je le touve un tantinet trop simpliste. Te vexe pas, j'explique: le mot chier reviens plusieurs fois, pourtant il y a pas mal de synonymes et puis le langage devrait être plus imagé, exprimer la colère genre: "bordel, tout ce bonheur qu'ils étalent dès le p'tit déj sur leur tartines à la cons puis qu'ils rangent dans leurs tuperwares débiles pour aller bouloter avec plein d'autres crabes.des heures durant... " Je veux dire créer des images quoi!
1) J'apprécie l'effort que tu as fait pour proposer un "Journal" puisque manifestement tu as eu des problèmes de délai.
2) Dans la forme, c'est trop compact, lourd, étouffant. Peut être est-ce recherché d'ailleurs? Mais on a du mal. Du mal à aller au bout. Du mal à rentrer dedans.
3) Dans le fond, je ne puis dire mieux que Yali. D'autant que je m'en prends pour ma gouverne dans ce qu'il dit. Mais il l'avait déja exprimé. Je pense, cela dit, que nos démarches sont différentes car je crois que ce que j'exprimais, on le comprenait, même si c'était très intime, alors que franchement, je n'ai pas compris pour ton texte.
4) Mais on ne va pas se quitter sur une mauvaise note. Tu as démontré une capacité à travailler un texte, he ben on attend la suite. Et n'oublie pas mon adage! Le pire n'est jamais sûr!
2) Dans la forme, c'est trop compact, lourd, étouffant. Peut être est-ce recherché d'ailleurs? Mais on a du mal. Du mal à aller au bout. Du mal à rentrer dedans.
3) Dans le fond, je ne puis dire mieux que Yali. D'autant que je m'en prends pour ma gouverne dans ce qu'il dit. Mais il l'avait déja exprimé. Je pense, cela dit, que nos démarches sont différentes car je crois que ce que j'exprimais, on le comprenait, même si c'était très intime, alors que franchement, je n'ai pas compris pour ton texte.
4) Mais on ne va pas se quitter sur une mauvaise note. Tu as démontré une capacité à travailler un texte, he ben on attend la suite. Et n'oublie pas mon adage! Le pire n'est jamais sûr!
Je n'ai pas eu les mêmes sentiments que Yali, Mo ou Tistou. Ton texte m'a accroché, m'a intéressé... Et ce n'est pas du ressenti?? Chapeau! Tout ce texte imaginé et pourtant, il a fait vibrer une corde en moi... Continue, j'aime bien ton style sans poudre aux yeux.
Hé, Tistou, arrête de voir des journaux intimes partout : il existe des textes en dehors des exercices imposés...
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