J'attends avec impatience l'avis des membres de CL sur ce livre.
Je sais qu'il a déjà été publié par France Loisirs, mais ne paraîtra (ex. Fnac ou Amazon) que le 19/08/2004 chez d'autres libraires.
Pour ma part, je l'ai lu il y a déjà quelque temps, en espagnol, et j'aimerais savoir ce que vous en pensez.
Merci
Je sais qu'il a déjà été publié par France Loisirs, mais ne paraîtra (ex. Fnac ou Amazon) que le 19/08/2004 chez d'autres libraires.
Pour ma part, je l'ai lu il y a déjà quelque temps, en espagnol, et j'aimerais savoir ce que vous en pensez.
Merci
Andaluz, merci d'avoir fait la critique de ce livre. Je ne l'ai vue que trop tard mais je viens de terminer ce livre en le voyant en librairie. Or, il se fait que ce qui touche à cette guerre me concerne très fort. Mon professeur de français et d'espagnol avait fait partie des brigades internationales et il nous avait assez bien parlé de ce qui s'était passé là-bas.
En outre, à quatorze ans, mon libraire favori en avait aussi fait partie et me parlait d'Hemingway, de Malraux et de Koestler qu'il avait rencontré là-bas. Par la suite il est devenu l'ami intime de Sartre et de de Beauvoir avec qui il s'est rendu en Chine à deux reprises fin des années cinquante et tout début des années soixante. Il me montrait les films d'amateur qu'il en avait ramené.
J'ai eu la chance de faire partie d'une génération pour laquelle l'économie n'était pas encore le seul but de nos démocraties. L'idéologie comptait encore beaucoup avec, notamment, le conflit Sartre/Camus, la guerre froide, la prise de pouvoir de Castro, l'affaire des missiles de Cuba, l'assassinat de Kennedy etc.
En outre, à quatorze ans, mon libraire favori en avait aussi fait partie et me parlait d'Hemingway, de Malraux et de Koestler qu'il avait rencontré là-bas. Par la suite il est devenu l'ami intime de Sartre et de de Beauvoir avec qui il s'est rendu en Chine à deux reprises fin des années cinquante et tout début des années soixante. Il me montrait les films d'amateur qu'il en avait ramené.
J'ai eu la chance de faire partie d'une génération pour laquelle l'économie n'était pas encore le seul but de nos démocraties. L'idéologie comptait encore beaucoup avec, notamment, le conflit Sartre/Camus, la guerre froide, la prise de pouvoir de Castro, l'affaire des missiles de Cuba, l'assassinat de Kennedy etc.
Andaluz, il me semble que tu auras dû attendre presque deux ans pour avoir une réaction à ta critique alors qu'elle, et ce livre, aurait mérité nettement mieux !
Sorry pour l'erreur dans le pseudo !
A mon avis, Alandaluz a presque disparu du site ou n'y vient plus très souvent.
Dommage, elle souhaitait un avis mais il faut bien admettre que je suis bien seul pour le lui donner...
Dommage, elle souhaitait un avis mais il faut bien admettre que je suis bien seul pour le lui donner...
Un peu de patience, Jules (quand on pose une question en 2004, j'imagine qu'on ne va pas tous les jours à la pêche aux réponses, mais certainement plus tard, A. y reviendra) !! Et vous, qu'avez vous pensé au juste de ce livre ?
Alandalus n'a plus posté de critique depuis décembre 2005.
Il est bien possible qu'elle ne vienne plus sur le site.
Il est bien possible qu'elle ne vienne plus sur le site.
Bonjour,
En effet, je ne viens plus que rarement sur le site et lorsque je le fais, c'est davantage pour me documenter que pour poster ou critiquer.
Je suis contente que ce livre t'aie plu, Jules.
Il m'avait bouleversée lors de ma première lecture (je n'ai pas encore commencé la deuxième mais compte le faire prochainement - après avoir épuisé ce qu'il me reste de "Vázquez Montalbán", qui n'est visiblement pas beaucoup lu par les critiqueurs de CL -).
Je dois reconnaître que j'étais une "victime" toute trouvée pour m'émouvoir jusqu'aux larmes avec le récit de Dulce Chacón, puisque je suis fille de réfugiés politiques espagnols, exilés à l'âge de 9 ans (mes parents ont durement vécu cette guerre pour tomber presque immédiatement dans la II guerre mondiale). Ils ont lutté contre le franquisme et pour le rétablissement de la démocratie en Espagne. Ils ont parainné un prisonnier politique détenu à Madrid pendant des années, malgré les faibles revenus de notre famille.
Oui, c'est en effet un sujet extrêmement sensible pour moi.
J'étais tellement enthousiamée par ce livre que j'avais le coeur brisé de voir qu'aucun lecteur de CL n'y prêtait attention. Voilà qui est fait et par un des membres que, je dois avouer, j'admire le plus. Tout un honneur.
Merci, Jules, de provoquer la curiosité des lecteurs pour ce livre exceptionnel tant pour le fond que pour la forme.
En effet, je ne viens plus que rarement sur le site et lorsque je le fais, c'est davantage pour me documenter que pour poster ou critiquer.
Je suis contente que ce livre t'aie plu, Jules.
Il m'avait bouleversée lors de ma première lecture (je n'ai pas encore commencé la deuxième mais compte le faire prochainement - après avoir épuisé ce qu'il me reste de "Vázquez Montalbán", qui n'est visiblement pas beaucoup lu par les critiqueurs de CL -).
Je dois reconnaître que j'étais une "victime" toute trouvée pour m'émouvoir jusqu'aux larmes avec le récit de Dulce Chacón, puisque je suis fille de réfugiés politiques espagnols, exilés à l'âge de 9 ans (mes parents ont durement vécu cette guerre pour tomber presque immédiatement dans la II guerre mondiale). Ils ont lutté contre le franquisme et pour le rétablissement de la démocratie en Espagne. Ils ont parainné un prisonnier politique détenu à Madrid pendant des années, malgré les faibles revenus de notre famille.
Oui, c'est en effet un sujet extrêmement sensible pour moi.
J'étais tellement enthousiamée par ce livre que j'avais le coeur brisé de voir qu'aucun lecteur de CL n'y prêtait attention. Voilà qui est fait et par un des membres que, je dois avouer, j'admire le plus. Tout un honneur.
Merci, Jules, de provoquer la curiosité des lecteurs pour ce livre exceptionnel tant pour le fond que pour la forme.
Vous m'avez donné envie de le lire. Je n'ai plus qu'à le trouver.
A noter ce soir sur la chaine de télévison Planète le très beau film, trop rarement diffusé, de Frédéric Rossif: Mourir à Madrid.
A noter ce soir sur la chaine de télévison Planète le très beau film, trop rarement diffusé, de Frédéric Rossif: Mourir à Madrid.
Il est rare d'être ému par une discussion sur un forum. C'est un plaisir de vous lire.
Tout d'abord je tiens à féliciter tes parents pour ce qu'ils ont fait !
Comme tu as pu t'en rendre compte, je suis aussi très touché par cette terrible guerre civile qui s'est déroulée quasiment à notre porte.
Mais je n'en connaissais évidement rien tant que mon prof ne m'en avait pas parlé puis de libraire. Aussi, à l'époque, je me suis rué sur "Pour qui sonne le glas" que ce libraire m'avait d'ailleurs offert. Un peu plus tard, j'ai lu "L'Espoir" de Malraux.
Je suis resté très concerné et j'avoue avoir tremblé en 81 lors de la tentative de prise de pouvoir par les anciens franquistes. A l'époque j'avais admiré la fermeté du roi d'Espagne et dans la foulée j'avais envoyé un article sur la démocratie à notre principal quotidien. A ma plus grande surprise, il est paru le lendemain en première page, alors que le grand titre était consacré à l'événement.
Je dois d'ailleurs t'avouer qu'ici en Belgique le mariage de Baudouin avec Fabiola a été mal vu au départ. Son père aurait été d'extrême droite et pro-franquiste.
Des années plus tard notre presse a râlé parce que Baudouin avait accepté un dîner intime avec Fabiola et Franco !... Ca a gueulé ici et on a vraiment parlé de "grosse erreur" du roi qui n'avait pas à accepter une telle invitation, même privée ! Et je suis bien d'accord avec la presse. Pour une fois nous avons été capable de nous braquer pour la défense d'une idéologie de liberté contre un symbole de la dictature.
Je voudrais aussi te dire que je n'ai vu ta critique qu'après avoir lu ce livre il y a une semaine.
Tu me diras que c'est bizarre mais je dois t'avouer que j'étais vraiment triste que ta question sur le forum était restée sans réponse. Je me suis donc empressé de répondre car il aurait été très décevant que personne n'aurait bougé.
Nous sommes sur un site littéraire et j'estime qu'une tentative de dialogue qui échoue est toujours dommage, surtout pour un livre et un point aussi important.
Tu auras peut-être remarqué, qu'après, je suis réintervenu à plusieurs reprises pour des bêtises, mais c'était uniquement pour remettre le titre de ce forum en haut avec l'espoir que tu finisses par le voir.
C'est fait et j'en suis très content !
A tout hasard, si tu le souhaitais, voici mon mail perso au cas ou tu voudrais me contacter pour l'une ou l'autre raison. Moi non plus je ne vais pas souvent sur le forum.
hubert.viteux@skynet.be
Et surtout n'hésite pas !
Amitiés
Jules
Comme tu as pu t'en rendre compte, je suis aussi très touché par cette terrible guerre civile qui s'est déroulée quasiment à notre porte.
Mais je n'en connaissais évidement rien tant que mon prof ne m'en avait pas parlé puis de libraire. Aussi, à l'époque, je me suis rué sur "Pour qui sonne le glas" que ce libraire m'avait d'ailleurs offert. Un peu plus tard, j'ai lu "L'Espoir" de Malraux.
Je suis resté très concerné et j'avoue avoir tremblé en 81 lors de la tentative de prise de pouvoir par les anciens franquistes. A l'époque j'avais admiré la fermeté du roi d'Espagne et dans la foulée j'avais envoyé un article sur la démocratie à notre principal quotidien. A ma plus grande surprise, il est paru le lendemain en première page, alors que le grand titre était consacré à l'événement.
Je dois d'ailleurs t'avouer qu'ici en Belgique le mariage de Baudouin avec Fabiola a été mal vu au départ. Son père aurait été d'extrême droite et pro-franquiste.
Des années plus tard notre presse a râlé parce que Baudouin avait accepté un dîner intime avec Fabiola et Franco !... Ca a gueulé ici et on a vraiment parlé de "grosse erreur" du roi qui n'avait pas à accepter une telle invitation, même privée ! Et je suis bien d'accord avec la presse. Pour une fois nous avons été capable de nous braquer pour la défense d'une idéologie de liberté contre un symbole de la dictature.
Je voudrais aussi te dire que je n'ai vu ta critique qu'après avoir lu ce livre il y a une semaine.
Tu me diras que c'est bizarre mais je dois t'avouer que j'étais vraiment triste que ta question sur le forum était restée sans réponse. Je me suis donc empressé de répondre car il aurait été très décevant que personne n'aurait bougé.
Nous sommes sur un site littéraire et j'estime qu'une tentative de dialogue qui échoue est toujours dommage, surtout pour un livre et un point aussi important.
Tu auras peut-être remarqué, qu'après, je suis réintervenu à plusieurs reprises pour des bêtises, mais c'était uniquement pour remettre le titre de ce forum en haut avec l'espoir que tu finisses par le voir.
C'est fait et j'en suis très content !
A tout hasard, si tu le souhaitais, voici mon mail perso au cas ou tu voudrais me contacter pour l'une ou l'autre raison. Moi non plus je ne vais pas souvent sur le forum.
hubert.viteux@skynet.be
Et surtout n'hésite pas !
Amitiés
Jules
Merci à Feint pour sa gentillesse. Quant à JLC je le connais et son intervention ne m'étonne pas. Lui aussi appréciera certainement le témoignage superbe et digne donné par Chacon.
Vous m'avez donné envie de le lire. Je n'ai plus qu'à le trouver.
A noter ce soir sur la chaine de télévison Planète le très beau film, trop rarement diffusé, de Frédéric Rossif: Mourir à Madrid.
Je me souviens, quand nous avons vu ce film (en famille, car mon père était allé le voir au ciné-club de la fac lors de sa projection ; il avait fait sensation, beaucoup d'étudiants lui posaient des questions et voulaient en savoir davantage), nous regardions avec une attention particulière ces files interminables de femmes et d'enfants sur les routes menant à la frontière avec la France au cas ou nous reconnaîtrions quelqu'un et plus particulièrement mes parents (qui avaient 9 ans lorsqu'ils sont passés en France en février 39) ou mes tantes/oncles.
"Mourir à Madrid" est vraiment un documentaire qui fait mal tant il est fidèle et nous ne pouvons le regarder sans pleurer à chaudes larmes (toutes générations confondues, car de telles situations laissent des traces indélibiles).
Je le conseille vivement, non pas pour faire pleurer (faut pas exagérer), mais pour comprendre, apprendre. Pour un devoir de mémoire. Pour une prise de conscience pour que plus jamais ça.
Bonjour et merci pour ton message, Jules.
J'avais déjà tapé un long texte pour te réponse mais une mauvais manip l'a envoyé directement dans les limbes cybernétiques. Je ne pense pas le retrouver.
Lorsque tu me parles du 23 février 1981, ça me replonge 25 ans en arrière, alors que je vivais encore à Valence (Espagne - oui, j'y ai vécu 17 ans de 1979 à 1996). Cette nuit-là nous avons vu, en plein couvre-feu, une file de tanks passer devant chez nous, que nous pouvions observer à traver les rainures des persiennes du salon. Pas question de se mettre au balcon !!! Le bruit est épouvantable. C'est vraiment paniquant. Si le coup d'Etat avait propéré, je ne sais pas ce qu'il serait advenu de nous, qui étions militants, à l'époque, du PCE. Le souvenir de cet après-midi et de cette nuit-là est un cauchemar. Je ne peux m'empêcher de penser au Chili et au coup d'état de Pinochet, qui m'avait beaucoup marquée et détruit l'espoir de nombre de personnes (à part, bien sûr, la dévastation humaine que cela a supposé).
Quant aux Brigades Internationales, c'est avec beaucoup de respect, de reconnaissance et d'émotion que je pense à tous ces volontaires qui, au péril de leur vie, vinrent défendre la légitimité démocratique. Si le mot "héros" a un sens, c'est en les désignant qu'il me parle.
Si tu es intéressé par l'Histoire de la Guerre Civile Espagnole, je te conseille un livre de l'historien Pierre VILAR (disparu malheureusement en 2003) "La guerre d'Espagne". Et puis question photos, il y a l'irremplaçable Robert CAPA et ses clichés sur cette guerre dans "Coeur d'Espagne", très poignant.
Pour en revenir aux Brigades Internationales, voici un extrait du discours d'adieu que leur fit la "Pasionaria" (Dolores Ibárruri) http://site.voila.fr/espana36/brigades/… où tu pourras le trouver également dans son intégralité mais en espagnol. Un texte que j'évite de lire tant il me bouleverse.
Je crois qu'ici, le texte est intégral : http://etoilerouge.chez-alice.fr/docrevinter3/…
Voilà.
Et puis comme dans le style maso je ne suis pas mal, si tu es intéressé par la résistance contre les nazis, je te conseille le livre "La vie à en mourir" (lettres de fusillés 1941-1944). Encore un sujet qui me passionne et trop souvent tu.
Je ne manquerai pas de t'écrire puisque tu me le permets si gentiment.
Amistosamente.
J'avais déjà tapé un long texte pour te réponse mais une mauvais manip l'a envoyé directement dans les limbes cybernétiques. Je ne pense pas le retrouver.
Lorsque tu me parles du 23 février 1981, ça me replonge 25 ans en arrière, alors que je vivais encore à Valence (Espagne - oui, j'y ai vécu 17 ans de 1979 à 1996). Cette nuit-là nous avons vu, en plein couvre-feu, une file de tanks passer devant chez nous, que nous pouvions observer à traver les rainures des persiennes du salon. Pas question de se mettre au balcon !!! Le bruit est épouvantable. C'est vraiment paniquant. Si le coup d'Etat avait propéré, je ne sais pas ce qu'il serait advenu de nous, qui étions militants, à l'époque, du PCE. Le souvenir de cet après-midi et de cette nuit-là est un cauchemar. Je ne peux m'empêcher de penser au Chili et au coup d'état de Pinochet, qui m'avait beaucoup marquée et détruit l'espoir de nombre de personnes (à part, bien sûr, la dévastation humaine que cela a supposé).
Quant aux Brigades Internationales, c'est avec beaucoup de respect, de reconnaissance et d'émotion que je pense à tous ces volontaires qui, au péril de leur vie, vinrent défendre la légitimité démocratique. Si le mot "héros" a un sens, c'est en les désignant qu'il me parle.
Si tu es intéressé par l'Histoire de la Guerre Civile Espagnole, je te conseille un livre de l'historien Pierre VILAR (disparu malheureusement en 2003) "La guerre d'Espagne". Et puis question photos, il y a l'irremplaçable Robert CAPA et ses clichés sur cette guerre dans "Coeur d'Espagne", très poignant.
Pour en revenir aux Brigades Internationales, voici un extrait du discours d'adieu que leur fit la "Pasionaria" (Dolores Ibárruri) http://site.voila.fr/espana36/brigades/… où tu pourras le trouver également dans son intégralité mais en espagnol. Un texte que j'évite de lire tant il me bouleverse.
Je crois qu'ici, le texte est intégral : http://etoilerouge.chez-alice.fr/docrevinter3/…
Voilà.
Et puis comme dans le style maso je ne suis pas mal, si tu es intéressé par la résistance contre les nazis, je te conseille le livre "La vie à en mourir" (lettres de fusillés 1941-1944). Encore un sujet qui me passionne et trop souvent tu.
Je ne manquerai pas de t'écrire puisque tu me le permets si gentiment.
Amistosamente.
Merci à Jules & Alandalus de faire ainsi partager vos passion & émotion communes ... Suis actuellement plongée dans Le complot contre l'Amérique de Philip Roth, mais grace à vous, je sais quelle sera ma prochaine lecture ...
C'est marrant, Natalina, je suis occupé à lire le même livre, mais je pense que nous devons être nombreux dans le cas !... Personnellement, j'aime beaucoup, et toi ?...
J'aime beaucoup ... t'en dirai plus dans quelques pages. Philip Roth, je l'ai en fait découvert tout récemment, en choisissant au hasard La bête qui meurt ... Court, incisif, juste et émouvant, ce roman m'a plu, donc je recidive ! Jusqu'a present je consultais un autre site de critiques littéraires, et suis surprise de constater a quel point celui ci est convivial ! Ai jeté un oeil à tes critiques, la liste en est interminable ... Chapeau ! Comment fais tu pour lire autant ??
Tout ceci m'amène à me souvenir que la première fois où j'ai manifesté (ce qui ne m'est pas arrivé très souvent) c'était le jour où Julian Grimau a été garotté. C'était, je crois en 1963.
Mais trève de souvenir d'ancien combattant, outre les livres de Capa, il y a un très beau recueil de photos dans "La guerre civile espagnole, des photographies pour l'histoire" qui est le catalogue d'une exposition présentée en 2001/2002 à Paris et Barcelone (ISBN2-86234-315 3 ou 84-8043-083-4). Notamment les photos des pages 37,58 et 102 sont insoutenables et celle de la page 65 (prise par Capa) une bouffée d'espoir et de liberté heureuse.
Mais trève de souvenir d'ancien combattant, outre les livres de Capa, il y a un très beau recueil de photos dans "La guerre civile espagnole, des photographies pour l'histoire" qui est le catalogue d'une exposition présentée en 2001/2002 à Paris et Barcelone (ISBN2-86234-315 3 ou 84-8043-083-4). Notamment les photos des pages 37,58 et 102 sont insoutenables et celle de la page 65 (prise par Capa) une bouffée d'espoir et de liberté heureuse.
Vous m'avez donné envie de le lire. Je n'ai plus qu'à le trouver.
Ca y est, je l'ai trouvé car il vient d'être réédité en livre de poche. Quant à Roth il attendra vos critiques "faussement" éclair car celle qui est actuellement sur le site me parait un peu courte.
Et j'ai une magnifique excuse pour ne pas lire tout ceci dès ce soir: je suis plongé depuis quelques jours dans LE ROMAN ABSOLU "La guerre et la paix". C'est absolument merveilleux.
Ah le bonheur de la lecture, celui d'en parler et celui des découvertes de CL ! J'en suis tout chose.
Bonsoir je vais retrouver Natacha.
C'est assez simple, Natalina. Tout d'abord je suis un "petit rien" plus âgé que toi ce qui m'a permis de lire beaucoup plus. A cela tu ajoutes une bonne mémoire et le tour est joué.
Sur critlib on ne te demande qu'un résumé pas trop détaillé et ton opinion. Ce n'est donc pas difficile à faire sans devoir relire le bouquin. Par contre, il n'en va pas du tout de même pour les tout grands auteurs. Tu remarqueras que je n'ai pas fait "L'idiot" ni "Les démons" pour la bonne raison que je les avais déjà lus deux fois et que je n'avais pas envie de les relire une fois de plus à ce moment là.
Je n'ai pas fait "La peste" non plus, ni "L'étranger" Mais j'ai quand même dû en relire plusieurs comme "Les Karamazov", "L'oeuvre au noir", "Les mémoires d'Hadrien" et combien d'autres.
Et puis, il est aussi vrai que je lis assez bien. Lire est une de mes passions la plus importante depuis que j'ai quatorze ou quinze ans. Ce qui ne m'a jamais empêché de faire du sport et de passer beaucoup de temps avec mes copains.
J'ai aussi passé de très très nombreuses heures dans des avions pendant plus de 15 ans. Cela pouvait me faire deux livres à l'aller et deux au retour, parfois plus. Quand tu lis pendant des heures d'affilées c'est fou ce que tu avances !
Sur critlib on ne te demande qu'un résumé pas trop détaillé et ton opinion. Ce n'est donc pas difficile à faire sans devoir relire le bouquin. Par contre, il n'en va pas du tout de même pour les tout grands auteurs. Tu remarqueras que je n'ai pas fait "L'idiot" ni "Les démons" pour la bonne raison que je les avais déjà lus deux fois et que je n'avais pas envie de les relire une fois de plus à ce moment là.
Je n'ai pas fait "La peste" non plus, ni "L'étranger" Mais j'ai quand même dû en relire plusieurs comme "Les Karamazov", "L'oeuvre au noir", "Les mémoires d'Hadrien" et combien d'autres.
Et puis, il est aussi vrai que je lis assez bien. Lire est une de mes passions la plus importante depuis que j'ai quatorze ou quinze ans. Ce qui ne m'a jamais empêché de faire du sport et de passer beaucoup de temps avec mes copains.
J'ai aussi passé de très très nombreuses heures dans des avions pendant plus de 15 ans. Cela pouvait me faire deux livres à l'aller et deux au retour, parfois plus. Quand tu lis pendant des heures d'affilées c'est fou ce que tu avances !
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