"Le fantôme du château de cartes" de Marcel Mariën est le bouquin le plus surréaliste et le plus drôle que j'aie jamais lu. Désopilant et ébouissant. C'est un recueil de nouvelles plein de trouvailles, vraiment ravigorant et pour le cerveau et pour l'imaginaire.
""L'épopée du buveur d'eau...""...
Livre drôle à proposer à Yali (voir remarque récente de beautoucan non démentie par l'intéressé dans le foreum de "vos écrits"...)...
Livre drôle à proposer à Yali (voir remarque récente de beautoucan non démentie par l'intéressé dans le foreum de "vos écrits"...)...
Manoeuvre subtile, Monique, pour rameuter du monde sur "Vos ecrits"...
Sinon, concernant "La conjuration des Imbeciles", pour moi, c'est un livre drolissime. Cependant, lorsque je l'ai ouvert, je n'en savais rien , je partais dans l'inconnu. D'apres ce que j'ai vu dans les critiques-eclairs sur le roman, les personnes qui s'attendaient a un livre drole ont ete decues...
J'espere de tout coeur que tu seras l'exception.
Sinon, concernant "La conjuration des Imbeciles", pour moi, c'est un livre drolissime. Cependant, lorsque je l'ai ouvert, je n'en savais rien , je partais dans l'inconnu. D'apres ce que j'ai vu dans les critiques-eclairs sur le roman, les personnes qui s'attendaient a un livre drole ont ete decues...
J'espere de tout coeur que tu seras l'exception.
"subtile" ! moi, une primaire qui enseigne en primaire...
Don Quichotte de Cervantes est un chef d'oeuvre d'humour... :-)
De Christophe :
Les aventures du Professeur Cosinus
La famille Fenouillard
Une BD d'avant la BD
Les aventures du Professeur Cosinus
La famille Fenouillard
Une BD d'avant la BD
Don Quichotte de Cervantes est un chef d'oeuvre d'humour... :-)
Je n'ai pas réussi à trouver ce livre drôle. Je n'ai même pas réussi à le terminer.
Don Quichotte m'a paru terriblement pathètique. La sénilité n'a rien d'amusant
Suis-je le seul à penser ainsi ?
Fée carabine, tu as choisi ce pseudo et tu ne penses pas à conseiller la série des Malaussènes de Pennac ?...
Un trou ?...
Un trou ?...
Essayer les aventures de Gargantua et de Pantragruel. il est préférable de les lire dans une version modernisé, le vieux français est très diffcile à lire.
Fée carabine, tu as choisi ce pseudo et tu ne penses pas à conseiller la série des Malaussènes de Pennac ?...
Un trou ?...
Heu... peut-être, oui...
"L'opéra de Vigata" est un des derniers livres drôles que j'ai lu, et il n'est pas encore critiqué sur ce site, donc il me semble que cela valait la peine d'en parler.
Pour ce qui est des livres de Pennac, j'avais lu d'une traite les 3 premiers Malaussènes et "Comme un roman" en mai-juin 95 (j'étais encore étudiante et en pleine session d'examens), et j'avais été tout à fait séduite par les nombreuses allusions littéraires (à l'enthousiasme communicatif) qui parsèment ces 4 livres. En fait, les allusions à "Guerre et Paix" (dans "Comme un roman" et dans "Fée Carabine") m'avaient paru tellement irrésistibles que je m'étais lancée à l'assaut du monument de Tolstoi sitôt les examens terminés. C'est bel et bien à cause de cet enthousiasme pour les livres et la littérature, omniprésent dans les livres de Pennac, que je lui ai emprunté mon pseudo, et pas parce que ces livres sont drôles...
Ceci dit, il est vrai que la série des Malaussènes est très drôle! Elle effleure parfois des sujets graves (la drogue, la place que notre société laisse aux personnes âgées, les dons d'organe plus ou moins volontaires, la fascination pour l'image...), mais elle le fait avec tellement d'humour, d'abattage et de gouaille que c'est souvent à mourir de rire...
Et puisque je suis occupée à réparer mes trous de mémoire, je pense aussi aux 5 premiers volumes de la série des Miss Seeton (10/18 Grands Détectives), soit les volumes écrits par Heron Carvic (après son décès, la série a été reprise par 2 autres auteurs, malheureusement moins inspirés). Miss Seeton est une charmante vieille demoiselle anglaise, professeur de dessin à la retraite et adepte du yoga, qui a le don de résoudre les enquêtes policières les plus complexes sans même s'en rendre compte, et ce armée de son seul parapluie (ce qui lui vaut le surnom de Pébroc Vengeur). C'est aussi à mourir de rire!
Merci Jules, pour m'avoir rafraîchi la mémoire!
De Pierre Dac : Essais, maximes et conférences
De Jean Yanne : Dictionnaire des mots qu'il y a que moi qui les connais
De Jules Renard : Les pensées et Journal
De Raymond Devos : Matière à rire
De Jean Yanne : Dictionnaire des mots qu'il y a que moi qui les connais
De Jules Renard : Les pensées et Journal
De Raymond Devos : Matière à rire
moi aussi j' ai avalé Pennac et même quand je les relis je les trouve toujours aussi drôles.
Sinon j' ai lu de tom scharp "le bâtard recalcitrant",qui etait aussi trés drôle avec un humour trés noir.Merci pour tout ces titres.
Sinon j' ai lu de tom scharp "le bâtard recalcitrant",qui etait aussi trés drôle avec un humour trés noir.Merci pour tout ces titres.
Ceux qui me viennent rapidement à l'esprit en dehors de certains déja cités tel ANDREA CAMILLERI, JOHN IRVING,
Donald WESTLAKE, dans la veine polar qui ne se prend pas au sérieux et réjouissant. Un bon départ : LE CONTRAT.
Carl HIAASEN, journaliste de FLORIDE qui n'écrit que des polars fendarts sur les turpitudes de cette contrée (et il a du boulot!). Un bon départ ; DE L ORAGE DANS L AIR.
A noter pour ce pauvre HIAASEN son STRIP TEASE qui a été massacré au cinéma. Lisez le plutôt.
William BOYD, aussi très jouissif dans certaines de ses oeuvres. Je pense notamment à BRAZZAVILLE PLAGE, très bien vu pour qui a déja connu les joies et vicissitudes de l'expatriation en AFRIQUE.
Elmore LEONARD, le polar déconnant bien foutu. ZIG ZAG MOVIE me vient spontanément à l'esprit.
Maupin ARMEASTEAD, journaliste californien qui a fini par éditer des chroniques quotidiennes de la vie comme elle va à SAN FRANCISCO et notamment dans les milieux décalés, marginaux, homosexuels. Depuis LES CHRONIQUES DE SAN FRANCISCO ont fait beaucoup de petits. Mais autant commencer par le début avec LES CHRONIQUES ...
Arto PAASILINNA, le Finlandais, drôle mais souvent amer. Certainement à l'image de son pays (que je ne connais pas par ailleurs). Pourquoi pas LA FORET DES RENARDS PENDUS?
Donald WESTLAKE, dans la veine polar qui ne se prend pas au sérieux et réjouissant. Un bon départ : LE CONTRAT.
Carl HIAASEN, journaliste de FLORIDE qui n'écrit que des polars fendarts sur les turpitudes de cette contrée (et il a du boulot!). Un bon départ ; DE L ORAGE DANS L AIR.
A noter pour ce pauvre HIAASEN son STRIP TEASE qui a été massacré au cinéma. Lisez le plutôt.
William BOYD, aussi très jouissif dans certaines de ses oeuvres. Je pense notamment à BRAZZAVILLE PLAGE, très bien vu pour qui a déja connu les joies et vicissitudes de l'expatriation en AFRIQUE.
Elmore LEONARD, le polar déconnant bien foutu. ZIG ZAG MOVIE me vient spontanément à l'esprit.
Maupin ARMEASTEAD, journaliste californien qui a fini par éditer des chroniques quotidiennes de la vie comme elle va à SAN FRANCISCO et notamment dans les milieux décalés, marginaux, homosexuels. Depuis LES CHRONIQUES DE SAN FRANCISCO ont fait beaucoup de petits. Mais autant commencer par le début avec LES CHRONIQUES ...
Arto PAASILINNA, le Finlandais, drôle mais souvent amer. Certainement à l'image de son pays (que je ne connais pas par ailleurs). Pourquoi pas LA FORET DES RENARDS PENDUS?
Bonjour Kim,
Voici quelques uns de mes livres préférés dans le domaine de l'humour, classés par genres :
* Littérature :
- " La vie, mode d'emploi " de Georges PEREC.
* Sketches humoristiques :
- DEVOS Raymond. -
" Sens dessus dessous. " Stock, 1976.
* Théâtre :
- PREVERT Jacques. -
" Paroles : l'accent grave. " Galimmard, 1949.
- Et bien sûr, tous les MOLIERE.
Voici quelques uns de mes livres préférés dans le domaine de l'humour, classés par genres :
* Littérature :
- " La vie, mode d'emploi " de Georges PEREC.
* Sketches humoristiques :
- DEVOS Raymond. -
" Sens dessus dessous. " Stock, 1976.
* Théâtre :
- PREVERT Jacques. -
" Paroles : l'accent grave. " Galimmard, 1949.
- Et bien sûr, tous les MOLIERE.
Pour un excellent livre humouristique, je conseillerais Un cadavre de classe, par Robert Soulière. C'est un livre québecois (Canada), mais comme je ne sais pas d'où vous venez et si ce livre y est disponible... En tout cas, je vous le recommande fortement ! C'est un "suspense" agrémenté de jeux de mots originaux et parfois, d'absurdité... C'est un des meilleurs livres dans le genre ! ;o)
Ceux qui me viennent rapidement à l'esprit en dehors de certains déja cités tel ANDREA CAMILLERI, JOHN IRVING,
Donald WESTLAKE, dans la veine polar qui ne se prend pas au sérieux et réjouissant. Un bon départ : LE CONTRAT.
Carl HIAASEN, journaliste de FLORIDE qui n'écrit que des polars fendarts sur les turpitudes de cette contrée (et il a du boulot!). Un bon départ ; DE L ORAGE DANS L AIR.
A noter pour ce pauvre HIAASEN son STRIP TEASE qui a été massacré au cinéma. Lisez le plutôt.
William BOYD, aussi très jouissif dans certaines de ses oeuvres. Je pense notamment à BRAZZAVILLE PLAGE, très bien vu pour qui a déja connu les joies et vicissitudes de l'expatriation en AFRIQUE.
Elmore LEONARD, le polar déconnant bien foutu. ZIG ZAG MOVIE me vient spontanément à l'esprit.
Maupin ARMEASTEAD, journaliste californien qui a fini par éditer des chroniques quotidiennes de la vie comme elle va à SAN FRANCISCO et notamment dans les milieux décalés, marginaux, homosexuels. Depuis LES CHRONIQUES DE SAN FRANCISCO ont fait beaucoup de petits. Mais autant commencer par le début avec LES CHRONIQUES ...
Arto PAASILINNA, le Finlandais, drôle mais souvent amer. Certainement à l'image de son pays (que je ne connais pas par ailleurs). Pourquoi pas LA FORET DES RENARDS PENDUS?
je vais me fier à vos gouts, car john irving je le trouve tres drole! j'ai beaucoup appriécié aussi "thérapie" de david lodge.
Je confirme, Carl Hiaassen est très drôle, j'ai beaucoup aimé "Jackpot"( on parlait de plaisir de fréquenter les librairies "en chair et en os" plutôt qu'en ligne sur un autre forum, c'est la lecture de la première page qui m'a fait acheter le bouquin!)
...c'est la lecture de la première page qui m'a fait acheter le bouquin!)
Même si ce n'est pas le lieu, je pose quand même la question ici : comme j'ai envie de passer à l'acte (écrire un bouquin, un gros, un vrai), je suis certaine que le début a une grande importance pour capter l'intérêt et donner envie de continuer, car tout le monde sait que la "quatrième de couverture" peut être aussi alléchante que mensongère...
Qui a un avis, ou même l'expérience, sur la façon de s'y prendre ? Est-ce que ça vaut le coup d'ouvrir un nouveau forum juste pour ça étant donné le peu de monde qui a osé jusqu'à présent présenter sa production dans le forum "vos écrits" ? Merci !!
Bonjour Kim,
Avec " l'Hôtel Stancliffe," Charlotte Brontë nous fait rire autant qu'elle nous a fait pleurer acec " Jane Eyre." Dans " l'Hôtel Stancliffe," on ne voit plus ni lande désolée battue par le vent et la pluie, ni d'amoureuses éplorées, ni non plus de beaux ténébreux, mais des divas, des spirituelles duchesses, des chevaliers, des vicomtes, d'une irrésistible drôlerie.
Avec " l'Hôtel Stancliffe," Charlotte Brontë nous fait rire autant qu'elle nous a fait pleurer acec " Jane Eyre." Dans " l'Hôtel Stancliffe," on ne voit plus ni lande désolée battue par le vent et la pluie, ni d'amoureuses éplorées, ni non plus de beaux ténébreux, mais des divas, des spirituelles duchesses, des chevaliers, des vicomtes, d'une irrésistible drôlerie.
Bonjour!
Un petit post pour me situer du côté de Kim, remercier tout le monde pour vos conseils, et partager piteusement mes états d'âme. Pour ma part, c'est en découvant "La conjuration des imbéciles", largement cité ici, que je me suis rendu compte à quel point les livres drôles me manquaient. Qu'un livre nous fasse vraiment rire, c'est tellement rare. N'est-ce pas étrange? Lire, c'est éprouver la vie; et comment vivre sans rire? Mais on oublie de rire, voilà ce que j'en dis. Et les livres nous le rappellent rarement. C'est la dictature du gris, autour de nous, et trop d'écrivains ne luttent pas assez contre cette grisaille, à mon sens, en recourant précisément à la couleur du rire.
Bon, alors moi aussi j'ai tout de même un petit conseil. Je crois que tous les grands écrivains sont de grands comiques. Comme ils sont rapidement "muséifiés", déifiés, analysés, décortiqués, bref: rendus à la dictature du gris, eh bien, on oublie de prendre de grands livres pour ce qu'ils sont parfois, c'est-à-dire de très bonnes blagues (subversives).
Du coup, pour rire, je vous conseille de lire ou relire les plus grands: Kafka, Dosto, Joyce, etc. Certains de leurs bouquins (Le joueur, La métamorphose, etc.) sont hiliarants. Mais oui. D'ailleurs, ces gars-là hurlaient de rire en les écrivant, contrairement à une croyance commune (les rires de Joyce empêchaient parfois sa femme de dormir). Ces gars-là ont tout simplement saisi que sans le rire, la grisaille est impossible à vivre.
Vive le rire, vive le livre, vive le sexe. Yo.
Un petit post pour me situer du côté de Kim, remercier tout le monde pour vos conseils, et partager piteusement mes états d'âme. Pour ma part, c'est en découvant "La conjuration des imbéciles", largement cité ici, que je me suis rendu compte à quel point les livres drôles me manquaient. Qu'un livre nous fasse vraiment rire, c'est tellement rare. N'est-ce pas étrange? Lire, c'est éprouver la vie; et comment vivre sans rire? Mais on oublie de rire, voilà ce que j'en dis. Et les livres nous le rappellent rarement. C'est la dictature du gris, autour de nous, et trop d'écrivains ne luttent pas assez contre cette grisaille, à mon sens, en recourant précisément à la couleur du rire.
Bon, alors moi aussi j'ai tout de même un petit conseil. Je crois que tous les grands écrivains sont de grands comiques. Comme ils sont rapidement "muséifiés", déifiés, analysés, décortiqués, bref: rendus à la dictature du gris, eh bien, on oublie de prendre de grands livres pour ce qu'ils sont parfois, c'est-à-dire de très bonnes blagues (subversives).
Du coup, pour rire, je vous conseille de lire ou relire les plus grands: Kafka, Dosto, Joyce, etc. Certains de leurs bouquins (Le joueur, La métamorphose, etc.) sont hiliarants. Mais oui. D'ailleurs, ces gars-là hurlaient de rire en les écrivant, contrairement à une croyance commune (les rires de Joyce empêchaient parfois sa femme de dormir). Ces gars-là ont tout simplement saisi que sans le rire, la grisaille est impossible à vivre.
Vive le rire, vive le livre, vive le sexe. Yo.
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