Je l'ai commencé pour découvrir l'univers de Waugh et je déteste ne pas comprendre quelquechose dans un bouquin, bref je me bute et je reste bloquée.
Et là il y a un passage que je ne comprends pas, qui a le livre pour pouvoir m'éclairer ?
Merci
Et là il y a un passage que je ne comprends pas, qui a le livre pour pouvoir m'éclairer ?
Merci
Eva, je l'ai sous la main, ce livre.
J'espère pouvoir t'aider.
J'espère pouvoir t'aider.
déjà l'as tu aimé ce livre et pourquoi ?
alors dès le chapitre premier (je commence fort ! dès le 1er chapitre ! :((
Mrs Beaver raconte à son fils une histoire d'incendie ,
1.déjà je pensai que c'était chez elle puis
2."le feu j'en ai peur n'est pas arrivé jusqu'aux chambres. Tout de même , il faudra sans doute les remettre à neuf, tout est noir de fumée et heureusement ils avaient le vieux système d'extincteur qui dévaste tout. qui dévaste tout C'est de l'humour là non? à lire au second degré ?
on pourquoi Waugh dit on, Mrs Beaver n'est pas concernée par cet incendie ? ne peut pas vraiment se plaindre.
Les pièces principales ont été complètement saccagées"là encore second degré ?
Sylvia Newport connait ces gens.Il faut que j'aille les voir ce matin avant que Mrs Shutter les accapare là je n'ai rien compris qui sont ces Mmes newport et Shutter ? pourquoi Mrs Beaver doit elle voir les victimes de cet incendie ?
alors dès le chapitre premier (je commence fort ! dès le 1er chapitre ! :((
Mrs Beaver raconte à son fils une histoire d'incendie ,
1.déjà je pensai que c'était chez elle puis
2."le feu j'en ai peur n'est pas arrivé jusqu'aux chambres. Tout de même , il faudra sans doute les remettre à neuf, tout est noir de fumée et heureusement ils avaient le vieux système d'extincteur qui dévaste tout. qui dévaste tout C'est de l'humour là non? à lire au second degré ?
on pourquoi Waugh dit on, Mrs Beaver n'est pas concernée par cet incendie ? ne peut pas vraiment se plaindre.
Les pièces principales ont été complètement saccagées"là encore second degré ?
Sylvia Newport connait ces gens.Il faut que j'aille les voir ce matin avant que Mrs Shutter les accapare là je n'ai rien compris qui sont ces Mmes newport et Shutter ? pourquoi Mrs Beaver doit elle voir les victimes de cet incendie ?
J'ai adoré ce livre, plein d'humour caustique.
Pour t'en dire plus, il faudrait que je relise le livre.
Je vais regarder les paragraphes que tu ne comprends pas.
Pour t'en dire plus, il faudrait que je relise le livre.
Je vais regarder les paragraphes que tu ne comprends pas.
je ne suis pas habituée à ce style il faut me mettre au "parfum" s'il te plait :)) dis moi tout Ariaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Je suis en train de chercher... mais je ne le trouve pas. Je l'ai en anglais, je l'avais lu pour l'école, et j'avais été emballé par l'humour et l'histoire (surtout la première partie).
Tu pensais que l'incendie était chez Mme Beaver, mais tu vois bien qu'il n'en est rien, puisqu'elle raconte l'incendie sans montrer qu'elle a eu peur ou quoi que ce soit.
Ensuite, elle dit que le système d'extincteur dévaste tout. Il a probablement abîmé beaucoup de choses même s'il a éteint l'incendie. Non, il n'y a pas de second degré.
"On ne peut pas se plaindre" : le "on" est général, il ne s'agit pas de Mme Beaver spécifiquement. Disons que pour elle, l'incendie aurait pu être plus dramatique.
Les pièces ppales ont été saccagées : non, c'est du premier degré.
Mme Beaver raconte un incendie qui s'est passé près de chez elle, je suppose. Elle raconte donc, sans plus d'inquiétude que ça.
Sylvia Newport doit être une amie à elle, qui connaît les gens chez qui cela est arrivé.
A cette époque-là, dans la campagne anglaise, on se rendait visite et si quelqu'un avait des soucis comme ce grave incendie, on allait le voir pour montrer qu'on était charitable.
Mme Shutter doit être la plus acharnée à rendre visite aux gens (ça fait bien auprès du curé et des gens des alentours d'être toujours la première à se rendre sur les lieux d'une catastrophe.
Je ne comprends pas ton affolement devant ce 1er chapître.
Chez tout auteur, il faut bien que l'on parle de personnages, avant que ces personnes soient présentées.
Si tu arrives au chapître suivant, tu vois que l'incendie n'était qu'une façon pour Mme Beaver de parler à son fils au petit déjeuner.
Le livre commence vraiment au 2ème chapître.
Ensuite, elle dit que le système d'extincteur dévaste tout. Il a probablement abîmé beaucoup de choses même s'il a éteint l'incendie. Non, il n'y a pas de second degré.
"On ne peut pas se plaindre" : le "on" est général, il ne s'agit pas de Mme Beaver spécifiquement. Disons que pour elle, l'incendie aurait pu être plus dramatique.
Les pièces ppales ont été saccagées : non, c'est du premier degré.
Mme Beaver raconte un incendie qui s'est passé près de chez elle, je suppose. Elle raconte donc, sans plus d'inquiétude que ça.
Sylvia Newport doit être une amie à elle, qui connaît les gens chez qui cela est arrivé.
A cette époque-là, dans la campagne anglaise, on se rendait visite et si quelqu'un avait des soucis comme ce grave incendie, on allait le voir pour montrer qu'on était charitable.
Mme Shutter doit être la plus acharnée à rendre visite aux gens (ça fait bien auprès du curé et des gens des alentours d'être toujours la première à se rendre sur les lieux d'une catastrophe.
Je ne comprends pas ton affolement devant ce 1er chapître.
Chez tout auteur, il faut bien que l'on parle de personnages, avant que ces personnes soient présentées.
Si tu arrives au chapître suivant, tu vois que l'incendie n'était qu'une façon pour Mme Beaver de parler à son fils au petit déjeuner.
Le livre commence vraiment au 2ème chapître.
est ce que tous les romans de Waugh sont caractérisés par cet humour caustique comme le définit Aria ?
Eva, l'explication se trouve au paragraphe en-dessous.
Waugh décrit la maison des Beaver : "There was little in it to suggest the austerly elegant interiors which Mrs Beaver planned for her customers". Et donc on comprend que Mrs Beaver est décoratrice d'intérieur, et qu'elle espère avoir du boulot grâce à l'incendie. La phrase qui suit est typique de Waugh "It was crowded with the unsaleable furniture of two larger houses, without pretention to any period, least of all to present"
A la fin du premier paragraphe, on voit aussi que John est un fils à maman. Il habite chez elle et quand elle lui dit d'un ton moralisateur qu'il devrait aussi boire du yoghourt le matin, il répond "But, mumsy, I haven't as much to do as you have".
Waugh décrit la maison des Beaver : "There was little in it to suggest the austerly elegant interiors which Mrs Beaver planned for her customers". Et donc on comprend que Mrs Beaver est décoratrice d'intérieur, et qu'elle espère avoir du boulot grâce à l'incendie. La phrase qui suit est typique de Waugh "It was crowded with the unsaleable furniture of two larger houses, without pretention to any period, least of all to present"
A la fin du premier paragraphe, on voit aussi que John est un fils à maman. Il habite chez elle et quand elle lui dit d'un ton moralisateur qu'il devrait aussi boire du yoghourt le matin, il répond "But, mumsy, I haven't as much to do as you have".
J'avais pas vu la réponse de Aria.
Aria a raison, Eva, tu ne dois pas tout vouloir comprendre sur le champ. L'auteur plante un décors, et parfois on comprend plus loin ou il veut en venir, tu ne dois pas chercher à tout comprendre sur le champs ! Mais ici, en quelques lignes, Waugh introduit déjà John et sa mère, il montre la relation de John vis-à-vis de sa mère,.. au début du livre, John est présenté comme un empoté si je me souviens bien.
Aria a raison, Eva, tu ne dois pas tout vouloir comprendre sur le champ. L'auteur plante un décors, et parfois on comprend plus loin ou il veut en venir, tu ne dois pas chercher à tout comprendre sur le champs ! Mais ici, en quelques lignes, Waugh introduit déjà John et sa mère, il montre la relation de John vis-à-vis de sa mère,.. au début du livre, John est présenté comme un empoté si je me souviens bien.
Saule, tu trouves que je n'avais pas donné d'explication ?
Ton explication anticipe et cette explication n'est pas forcément juste.
Le début du 2ème chapître ne montre pas forcément qu'elle va essayer de fourguer ses meubles aux propriétaires de la maison qui a brûlé.
Eva ne parle pas forcément anglais.
"Peu de choses évoquaient dans cette demeure l'élégance austère des intérieurs que Mrs Beaver combinait pour ses clients".
Ton explication anticipe et cette explication n'est pas forcément juste.
Le début du 2ème chapître ne montre pas forcément qu'elle va essayer de fourguer ses meubles aux propriétaires de la maison qui a brûlé.
Eva ne parle pas forcément anglais.
"Peu de choses évoquaient dans cette demeure l'élégance austère des intérieurs que Mrs Beaver combinait pour ses clients".
Bon, je lis que tu n'avais pas lu ma réponse !
Je comprends mieux. :)
Je comprends mieux. :)
En effet, plus loin on dit que Mrs Beaver a un magasin de mobilier, elle n'est pas réellement décoratrice d'intérieur. J'ai retrouvé mon livre de l'école, tout jauni. A la fin du premier chapitre, j'avais fait un petit résumé en anglais :
John n'est pas présenté comme un gentleman. Il dépense le moins possible. Il essaye de se faire inviter partout. He is a bore. La mère est une comère. Tony et Brenda sont des gens heureux. Jack était un prétendant de Brenda, mais elle a épousé Tony.
Par contre, ce qui m'étonne, c'est que le prof. nous faisais passer des passages à partir du deuxième chapitre. Les longues descriptions, ou les parties qui ne font pas avancer l'histoire : c'est carrément barré dans mon livre, au bic !
John n'est pas présenté comme un gentleman. Il dépense le moins possible. Il essaye de se faire inviter partout. He is a bore. La mère est une comère. Tony et Brenda sont des gens heureux. Jack était un prétendant de Brenda, mais elle a épousé Tony.
Par contre, ce qui m'étonne, c'est que le prof. nous faisais passer des passages à partir du deuxième chapitre. Les longues descriptions, ou les parties qui ne font pas avancer l'histoire : c'est carrément barré dans mon livre, au bic !
je n'étais pas sur la même longueur d'onde que Waugh, je pensais que Mrs Beaver pouvait raconter des choses la concernant sur un air détaché genre tout va très bien Madame la Marquise alors que tout brûle chez elle, l'extincteur qui dévaste tout pour moi ce n'était pas dans le sens "éteint tout" mais dans l'esprit "l'extincteur a fait plus de dégât que l'incendie lui même" ca ne vous est jamais arrivé d'entendre des gens se plaindre de pompiers (et je ne les suis pas du tout, rassurez vous), en disant qu'ils avaient tout inondé et abîmé des choses qui auraient pu etre sauvées sans être obligés de les inonder, je suis à un guichet et je peux vous dire que j'ai déjà entendu ce discours....
Pour Saule, je ne comprends pas superbien l'anglais, mais d'après ce que dit Aria, je ne pensai pas du tout que Mrs Beaver souhaitait refourguer ses meubles suite à l'incendie, ça , je n'y avais même pas songé
comme là, c'est que Mrs Beaver avait vécu dans deux autres maisons? ou c'est pour imager ?
Pour le reste, je vois bien que Waugh plante le décor, mais un livre peut se lire de différentes manières et je veux avoir celle que Waugh souhaitait donner à ses lecteurs et le comprendre !
Pour Saule, je ne comprends pas superbien l'anglais, mais d'après ce que dit Aria, je ne pensai pas du tout que Mrs Beaver souhaitait refourguer ses meubles suite à l'incendie, ça , je n'y avais même pas songé
Saule La phrase qui suit est typique de Waugh "It was crowded with the unsaleable furniture of two larger houses, without pretention to any period, least of all to present
comme là, c'est que Mrs Beaver avait vécu dans deux autres maisons? ou c'est pour imager ?
Pour le reste, je vois bien que Waugh plante le décor, mais un livre peut se lire de différentes manières et je veux avoir celle que Waugh souhaitait donner à ses lecteurs et le comprendre !
et oui, je voulais savoir si tous les romans de Waugh sont caractérisés par cet humour ? parceque si j'arrive à saisir le style de Waugh, je lirai avec plaisir un autre livre de lui.
L'extincteur qui dévaste tout ("ruin" en anglais), c'est bien comme tu dis je crois : l'eau ou la neige carbonique cause encore plus de dégâts que l'incendie.
Le coup des deux maisons, je ne sais pas non plus. Ce qui est marrant (enfin je trouve), c'est de dire que la décoration ne peut se rattacher à aucune période, et en aucun cas à la contemporaine. Comment est-ce traduit ? C'est loin d'être facile de bien tourner la phrase.
Je n'ai pas lu énormément de Waugh, mais tout ce que j'ai lu de Waugh est très marrant, mais c'est un humour particulier peut-être : on aime ou on n'aime pas.
Tu es la bienvenue dans notre fan club, aux côté de Aria et moi :-)
Le coup des deux maisons, je ne sais pas non plus. Ce qui est marrant (enfin je trouve), c'est de dire que la décoration ne peut se rattacher à aucune période, et en aucun cas à la contemporaine. Comment est-ce traduit ? C'est loin d'être facile de bien tourner la phrase.
Je n'ai pas lu énormément de Waugh, mais tout ce que j'ai lu de Waugh est très marrant, mais c'est un humour particulier peut-être : on aime ou on n'aime pas.
Tu es la bienvenue dans notre fan club, aux côté de Aria et moi :-)
Quel livre me conseillez vous après UNE POIGNEE DE CENDRE pour rester dans la verve humoristico-caustique :)) de Waugh ?
Eva, tu es arrivée à quelle chapitre, quelle page ?
Du coup, j'ai commencé à relire "Une poignée de cendre".
Pour les deux maisons, il semblerait qu'à la mort de son mari, Mrs Beaver a dû se résoudre à emménager dans une seule maison, d'où l'abondance des meubles dépareillés.
Waugh décrit dans ce livre, là où j'en suis, la paresse du fils Beaver, son côté parasite de la société, qui se fait avoir en essayant de se faire inviter partout.
Ce qu'il fait est plutôt une peinture de la société anglaise, avec les riches et ceux qui l'ont été. Il décrit aussi très bien la psychologie des personnages et leurs relations souvent hypocrites.
Je dois dire que je ne me souviens pas du tout de la façon dont ça évolue.
Pour les deux maisons, il semblerait qu'à la mort de son mari, Mrs Beaver a dû se résoudre à emménager dans une seule maison, d'où l'abondance des meubles dépareillés.
Waugh décrit dans ce livre, là où j'en suis, la paresse du fils Beaver, son côté parasite de la société, qui se fait avoir en essayant de se faire inviter partout.
Ce qu'il fait est plutôt une peinture de la société anglaise, avec les riches et ceux qui l'ont été. Il décrit aussi très bien la psychologie des personnages et leurs relations souvent hypocrites.
Je dois dire que je ne me souviens pas du tout de la façon dont ça évolue.
Waugh, ce n'est pas de l'humour à éclater de rire.
C'est l'humour où l'on sourit.
C'est l'humour où l'on sourit.
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