Le Matricule des Anges est une revue littéraire de qualité, mensuelle, à laquelle je dois de belles découvertes. Comme j’y suis abonné, depuis de nombreuses années, je me suis dit que je pouvais peut-être, au moins pour une fois sinon régulièrement, vous dire quelques mots du dernier numéro.
Dans le numéro 97, d’octobre 2008, qui vient de paraître, on trouvera entre autres :
• A l’honneur : un dossier sur Mathieu Riboulet, ainsi qu’une interview de l’auteur, qui vient de publier L’Amant des morts, chez Verdier ;
• Une nouvelle rubrique : Lire en ville ; ce mois-ci : Marseille ;
• Dans la rubrique « Editeur » : les Editions Cénomane ;
• Une interview de Céline Minard à propos de Bastard Battle (Collection LaureLi Léo Scheer) ;
• Une interview de Robert Alexis, qui vient de faire paraître Les Figures (José Corti)
Dans le domaine français, critiques de :
• L’Ange incliné, de Pierre Mari (Actes Sud)
• Des néons sur la mer, de Frédéric Ciriez (Verticales)
• La Vie pétrifiée, de Nils Trede (Quidam)
• Laver les ombres, de Jeanne Benameur (Actes Sud)
• Tombe, d’Hélène Cixous (Seuil)
• La meilleure part des hommes, de Tristan Garcia (Gallimard)
• La Folie Silaz, d’Hélène Lenoir (Minuit)
• Vue sur la mère, de Julien Almendros (Le Dilettante)
• L’Arbre d’ébène, de Fadel Hebbadj (Buchet-Chastel)
Dans le domaine étranger, critiques de :
• Jerusalem, de Goncalo M. Tavares (Viviane Hamy)
• Bêtes sans patrie, d’Uzodinma Iweala (L’Olivier)
• La Ronde de nuit, d’Agustina Bessa-Luis (Métailié)
• La Partition, de Felipe Hernandez (Verdier)
• Honte et dignité, de Dag Solstad (Les Allusifs)
• L’Amnésique, de Sam Taylor (Seuil)
• Nous sommes tous Kafka, de Nuria Amat (Allia)
• Mémoire du vide, de Marcello Fois (Seuil)
• Sur la plage de Chesil, de Ian McEwan (Gallimard)
• Chose à te dire, de Hanif Kureishi (Christian Bourgois)
• L’Accordeur de pianos, de Pascal Mercier (Maren Sell)
En Poésie :
• Poèmes, de Robert Walser (Zoé)
• Loi N, de Marco Boubille (Les Petits Matins)
• Les Mégères de la Mer, de Louis-René Des Forêts (Poésie/Gallimard)
• Biographie des Idylles, de Sandra Moussemples (Editions de l’Attente)
En Essais :
• La Conduite de la Guerre, de William Langewiesche (Allia)
• Agir, écrire, de Pierre Bergounioux (Fata Morgana)
…
J’en oublie sûrement et je fatigue un peu…
Le Matricule des Anges a la bonne (et généreuse) idée de publier sur son site les critiques des anciens numéros. C’est à cette adresse : http://www.lmda.net/
Dans le numéro 97, d’octobre 2008, qui vient de paraître, on trouvera entre autres :
• A l’honneur : un dossier sur Mathieu Riboulet, ainsi qu’une interview de l’auteur, qui vient de publier L’Amant des morts, chez Verdier ;
• Une nouvelle rubrique : Lire en ville ; ce mois-ci : Marseille ;
• Dans la rubrique « Editeur » : les Editions Cénomane ;
• Une interview de Céline Minard à propos de Bastard Battle (Collection LaureLi Léo Scheer) ;
• Une interview de Robert Alexis, qui vient de faire paraître Les Figures (José Corti)
Dans le domaine français, critiques de :
• L’Ange incliné, de Pierre Mari (Actes Sud)
• Des néons sur la mer, de Frédéric Ciriez (Verticales)
• La Vie pétrifiée, de Nils Trede (Quidam)
• Laver les ombres, de Jeanne Benameur (Actes Sud)
• Tombe, d’Hélène Cixous (Seuil)
• La meilleure part des hommes, de Tristan Garcia (Gallimard)
• La Folie Silaz, d’Hélène Lenoir (Minuit)
• Vue sur la mère, de Julien Almendros (Le Dilettante)
• L’Arbre d’ébène, de Fadel Hebbadj (Buchet-Chastel)
Dans le domaine étranger, critiques de :
• Jerusalem, de Goncalo M. Tavares (Viviane Hamy)
• Bêtes sans patrie, d’Uzodinma Iweala (L’Olivier)
• La Ronde de nuit, d’Agustina Bessa-Luis (Métailié)
• La Partition, de Felipe Hernandez (Verdier)
• Honte et dignité, de Dag Solstad (Les Allusifs)
• L’Amnésique, de Sam Taylor (Seuil)
• Nous sommes tous Kafka, de Nuria Amat (Allia)
• Mémoire du vide, de Marcello Fois (Seuil)
• Sur la plage de Chesil, de Ian McEwan (Gallimard)
• Chose à te dire, de Hanif Kureishi (Christian Bourgois)
• L’Accordeur de pianos, de Pascal Mercier (Maren Sell)
En Poésie :
• Poèmes, de Robert Walser (Zoé)
• Loi N, de Marco Boubille (Les Petits Matins)
• Les Mégères de la Mer, de Louis-René Des Forêts (Poésie/Gallimard)
• Biographie des Idylles, de Sandra Moussemples (Editions de l’Attente)
En Essais :
• La Conduite de la Guerre, de William Langewiesche (Allia)
• Agir, écrire, de Pierre Bergounioux (Fata Morgana)
…
J’en oublie sûrement et je fatigue un peu…
Le Matricule des Anges a la bonne (et généreuse) idée de publier sur son site les critiques des anciens numéros. C’est à cette adresse : http://www.lmda.net/
Un grand merci, Feint, pour nous avoir donné les noms des auteurs recensés chez le Matricule.
Pour le prochain Prix CL, il nous faudrait avoir les n° du Matricule de 2006 pour voir quels auteurs ils avaient retenus... :)
Pour le prochain Prix CL, il nous faudrait avoir les n° du Matricule de 2006 pour voir quels auteurs ils avaient retenus... :)
J'ai essayé d'aller voir en passant par le site, mais apparemment il y a l'air d'y avoir un problème : les articles ont disparu ; pourtant je m'y promenais encore il y a quelques jours. C'est sûrement momentané - j'espère, en tout cas. (Sinon, je devrais en théorie pouvoir les retrouver, le numéros de 2006 ; mais les fouilles risquent d'être aventureuses, et la copie fastidieuse.
Il n'est pas question de te demander de retrouver ces numéros et encore moins de recopier les titres des livres recensés !
En revanche, s'il était possible d'aller sur Imda et de consulter le site, ce serait parfait.
Pour une raison que j'ignore (mon manque d'habileté, je suppose), je n'ai jamais réussi à lire une ligne du Matricule sur le net. Je clique partout et ne trouve pas le "sésame".
En revanche, s'il était possible d'aller sur Imda et de consulter le site, ce serait parfait.
Pour une raison que j'ignore (mon manque d'habileté, je suppose), je n'ai jamais réussi à lire une ligne du Matricule sur le net. Je clique partout et ne trouve pas le "sésame".
Ton habileté n'est pas en cause : c'est encore en panne. Dommage !
Un grand merci, Feint, pour nous avoir donné les noms des auteurs recensés chez le Matricule.
Pour le prochain Prix CL, il nous faudrait avoir les n° du Matricule de 2006 pour voir quels auteurs ils avaient retenus... :)
Il est en prêt à la bibliothèque de ma femme, je vais voir avec elle si les numéros anciens sont gardés.
c'est encore en panne.
C'est reparti, les critiques anciennes sont consultables en ligne. Merci encore aux Anges.
J'ai beaucoup entendu parler du matricule. C'est une revue qui a la côte à l'IUT de Saint-Cloud. Il faudrait que je jette une œil de temps en temps que je m'intéresse un peu plus à la presse professionnelle, regarder des émissions, bref m'intéresser à l'actualité mais j'ai pas encore le déclic.... Honte à moi !!!!
On a bon goût à l'IUT de Saint-Cloud. Le Matricule est vraiment une revue de grande qualité. Toutes les bibliothèques de France, de Belgique, de Suisse, du Québec et de Navarre devraient s'y abonner ! (Chez moi, c'est fait.)
Tiens, la newsletter du Matricule :
"Contre-crise…
Plus épais et pas plus cher ! Le Matricule des Anges N°97 nage à contre-courant de l'actualité économique. En effet, votre mensuel littéraire s'est étoffé d'une douzaine de pages (ce qui n'est pas rien) pour accueillir en son sein une nouvelle rubrique : Lire en Ville. Le principe en est simple : faire le panorama de la vie littéraire dans une ville. C'est Marseille qui ouvre le bal avec huit pages consacrées à la cité phocéenne. Histoire de faire le tour des forces en présence pour, peut-être, livrer un jour la bataille de celles et ceux qui voudront que la littérature reprenne une place plus centrale dans la vie de nos cités.
L'auteur auquel le dossier du mois est consacré livre un roman superbe aux éditions Verdier : L'Amant des morts. À l'heure où l'on va commencer à prédire les lauréats des futurs prix de l'automne, il serait bon que Mathieu Riboulet rencontre le lectorat qu'il mérite. Son écriture, travaillée dans la langue et la pensée, est un modèle du genre et si elle peut faire penser à celle d'un Michon, c'est toutefois en se forgeant sa propre singularité. À ne pas manquer.
C'est un éditeur rare et exigeant que nous sommes allés voir en terres mancelles : les éditions Cénomane, menées par Alain Mala, œuvrent depuis plus de vingt ans pour la découverte de textes forts issus d'horizons lointains ou proches. Un travail loin du zapping généralisé.
.
Elle aurait pu aussi faire la Une de ce numéro (assurément elle la fera un jour) : Céline Minard revient en librairie avec à nouveau un météore littéraire inventif et bougrement réjouissant Bastard Battle. Interview menée tambour battant par Éric Dussert.
Il considère le roman comme un combat : Les Figures (José Corti) de Robert Alexis nous a valu d'aller rencontrer cet écrivain aux constructions profondes.
À cela vous ajoutez les rubriques habituelles (poésie, romans français, étrangers, théâtre, revues, etc.) ; les nouvelles rubriques - médiatocs (Claire Castillon), traduction (Monique Baccelli), nouvelles d'ailleurs (Costa Rica) - et la nouvelle lauréate du concours organisé par la librairie La Mandragore et signée Yann Vargoz et vous aurez de quoi lire jusqu'en novembre.
Bonnes lectures !"
"Contre-crise…
Plus épais et pas plus cher ! Le Matricule des Anges N°97 nage à contre-courant de l'actualité économique. En effet, votre mensuel littéraire s'est étoffé d'une douzaine de pages (ce qui n'est pas rien) pour accueillir en son sein une nouvelle rubrique : Lire en Ville. Le principe en est simple : faire le panorama de la vie littéraire dans une ville. C'est Marseille qui ouvre le bal avec huit pages consacrées à la cité phocéenne. Histoire de faire le tour des forces en présence pour, peut-être, livrer un jour la bataille de celles et ceux qui voudront que la littérature reprenne une place plus centrale dans la vie de nos cités.
L'auteur auquel le dossier du mois est consacré livre un roman superbe aux éditions Verdier : L'Amant des morts. À l'heure où l'on va commencer à prédire les lauréats des futurs prix de l'automne, il serait bon que Mathieu Riboulet rencontre le lectorat qu'il mérite. Son écriture, travaillée dans la langue et la pensée, est un modèle du genre et si elle peut faire penser à celle d'un Michon, c'est toutefois en se forgeant sa propre singularité. À ne pas manquer.
C'est un éditeur rare et exigeant que nous sommes allés voir en terres mancelles : les éditions Cénomane, menées par Alain Mala, œuvrent depuis plus de vingt ans pour la découverte de textes forts issus d'horizons lointains ou proches. Un travail loin du zapping généralisé.
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Elle aurait pu aussi faire la Une de ce numéro (assurément elle la fera un jour) : Céline Minard revient en librairie avec à nouveau un météore littéraire inventif et bougrement réjouissant Bastard Battle. Interview menée tambour battant par Éric Dussert.
Il considère le roman comme un combat : Les Figures (José Corti) de Robert Alexis nous a valu d'aller rencontrer cet écrivain aux constructions profondes.
À cela vous ajoutez les rubriques habituelles (poésie, romans français, étrangers, théâtre, revues, etc.) ; les nouvelles rubriques - médiatocs (Claire Castillon), traduction (Monique Baccelli), nouvelles d'ailleurs (Costa Rica) - et la nouvelle lauréate du concours organisé par la librairie La Mandragore et signée Yann Vargoz et vous aurez de quoi lire jusqu'en novembre.
Bonnes lectures !"
Pas le courage de détailler le sommaire de ce nouveau Matricule (de novembre), mais voici sa newsletter :
"De l’Argentine à Poitiers
Figure montante de la littérature sud-américaine, Rodrigo Fresán est l’auteur d’une œuvre proliférante, inventive, ludique, parfois délirante, qui ne cesse de sonder les rivages et de l’enfance et de la mort. Après le monstrueux Mantra, l’écrivain argentin, amateur de science-fiction et de culture pop (il rêve d’entendre Bob Dylan lire ses textes), publie La Vitesse des choses. Cela valait bien un dossier et une visite à Barcelone. C’est Etienne Leterrier qui est allé à la rencontre de cet auteur « transgresseur du contenu et expérimental dans la forme », selon Enrique Vila-Matas.
De l’étranger, il en est beaucoup question dans ce dernier numéro de l’année. L’éditrice belge, Anne Leloup, a composé sous l’enseigne Esperluète un catalogue délicat (de Anne Herbauts à Eddy Devolder), mariant roman, poésie et livres graphiques. De son côté, Jérôme Goude a interrogé Gary Victor, le chantre de la littérature haïtienne, à l’occasion de la sortie de Banal oubli, un thriller métaphysique que fait paraître Vents d’ailleurs.
Après Marseille, et en attendant Nantes, nous poursuivons notre Tour de France de « Lire en ville » avec une halte à Poitiers. Si la vie littéraire y est plutôt discrète, la cité poitevine ne manque ni d’acteurs, ni de passion.
Enfin, pour vous donner une infime partie de cette livraison bimestrielle fort riche, nous nous sommes intéressés au très troublant Jérôme de Jean-Pierre Martinet, que les éditions Finitude ont l’heureuse idée de rééditer, à l’actuelle exposition sur le futurisme à Beaubourg, ou encore à la désopilante autobiographie de Josyane Savigneau pour un nouveau « Médiatocs », rubrique dont décidément on ne se lasse pas.
Belles lectures !"
Versant français, Palorel y trouvera une critique sur Echenoz, Sahkti une sur Jean-Luc Coudray, El Grillo une sur Marcus Malte, moi une sur Jane Sautière, et tous ceux qui ont envie de rire un peu liront celle sur Josyane Savigneau. (Mais il y en a aussi beaucoup d'autres à découvrir ; allez, je citerai encore Marie Frering).
"De l’Argentine à Poitiers
Figure montante de la littérature sud-américaine, Rodrigo Fresán est l’auteur d’une œuvre proliférante, inventive, ludique, parfois délirante, qui ne cesse de sonder les rivages et de l’enfance et de la mort. Après le monstrueux Mantra, l’écrivain argentin, amateur de science-fiction et de culture pop (il rêve d’entendre Bob Dylan lire ses textes), publie La Vitesse des choses. Cela valait bien un dossier et une visite à Barcelone. C’est Etienne Leterrier qui est allé à la rencontre de cet auteur « transgresseur du contenu et expérimental dans la forme », selon Enrique Vila-Matas.
De l’étranger, il en est beaucoup question dans ce dernier numéro de l’année. L’éditrice belge, Anne Leloup, a composé sous l’enseigne Esperluète un catalogue délicat (de Anne Herbauts à Eddy Devolder), mariant roman, poésie et livres graphiques. De son côté, Jérôme Goude a interrogé Gary Victor, le chantre de la littérature haïtienne, à l’occasion de la sortie de Banal oubli, un thriller métaphysique que fait paraître Vents d’ailleurs.
Après Marseille, et en attendant Nantes, nous poursuivons notre Tour de France de « Lire en ville » avec une halte à Poitiers. Si la vie littéraire y est plutôt discrète, la cité poitevine ne manque ni d’acteurs, ni de passion.
Enfin, pour vous donner une infime partie de cette livraison bimestrielle fort riche, nous nous sommes intéressés au très troublant Jérôme de Jean-Pierre Martinet, que les éditions Finitude ont l’heureuse idée de rééditer, à l’actuelle exposition sur le futurisme à Beaubourg, ou encore à la désopilante autobiographie de Josyane Savigneau pour un nouveau « Médiatocs », rubrique dont décidément on ne se lasse pas.
Belles lectures !"
Versant français, Palorel y trouvera une critique sur Echenoz, Sahkti une sur Jean-Luc Coudray, El Grillo une sur Marcus Malte, moi une sur Jane Sautière, et tous ceux qui ont envie de rire un peu liront celle sur Josyane Savigneau. (Mais il y en a aussi beaucoup d'autres à découvrir ; allez, je citerai encore Marie Frering).
Voilà, j'ai reçu mon premier numéro d'abonné (ils sont très rapides au Matricule). Le dossier consacré à Pierre Michon est vraiment remarquable.
Voilà, j'ai reçu mon premier numéro d'abonné (ils sont très rapides au Matricule). Le dossier consacré à Pierre Michon est vraiment remarquable.
Il faut dire que c'est une belle matière... Mais cette revue est remarquable dans son ensemble. Elle n'a pas son équivalent dans le paysage littéraire en France et c'est vraiment dommage qu'elle soit si mal connue. J'en dirais autant de Remue.net sur Internet, d'ailleurs. (Et j'en faisais déjà la pub longtemps, longtemps "avant".)
C'est que je l'ai reçu ce matin, je n'ai donc pas encore eu le temps de tout lire. -;)
Vrai que c'est un beau et bon magazine !
Moi je l'ai reçu il y a une semaine et je n'ai pas eu le temps de tout lire non plus. (Et voilà qu'il y a une inspection qui me tombe dessus ! Encore quelques heures de Matricule et d'autres bonnes lectures en moins...)
Moi je l'ai reçu il y a une semaine et je n'ai pas eu le temps de tout lire non plus. (Et voilà qu'il y a une inspection qui me tombe dessus ! Encore quelques heures de Matricule et d'autres bonnes lectures en moins...)
C'est la raison pour laquelle j'ai résilié certains de mes abonnements à des revues, manque de temps... mais j'ai gardé LMDA :-)
Je ne suis abonné qu'à LMDA (et à Télérama, mais c'est plutôt par nostalgie).
J'ai acheté aujourd'hui le seul et unique numéro de LMDA du mois de mai, à ma librairie habituelle, qui est immense et propose des milliers de bouquins.
Un numéro en tout et pour tout !
Maintenant, je vais lire certains articles de plus près que d'autres.
Un numéro en tout et pour tout !
Maintenant, je vais lire certains articles de plus près que d'autres.
C'est mieux que zéro, après tout ; il y a des endroits où il est introuvable.
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