Bonjour Sahkti et bon anniversaire. Pour l’occasion, ludique nous avons été, et donc, voici un jeu qui rend grâce à l’amie que tu es, et qui, nous l’espérons, te fera plaisir.
Mais qui n’a écrit quoi ?
On participé et par ordre alphabétique :
Blue
Charles
Fée
Kilis
Killgrieg
Lyra
Sib
Tistou
Yali
Zou
(j’espère n’avoir oublié personne)
Et donc :
Elle se buvait un café trop cher, égarée dans la zone de transit de l’aéroport de Zaventem. Pourtant, elle n’aimait pas ça tant que ça, le café (amère amertume, tu nous berces déjà bien assez), et la seule zone de transit qui l’occupait vraiment était celle de ses pensées. Oui, parce que là, l’amertume, elle s’en balançait, il y avait de la rumba dans l’air, du cœur à cœur, elle sortait de son cocon de soie et le papillon de nuit qu’elle était devenait papillon tout court. Des ailes fraîches, encore humides, poudreuses et lisses. Dans ses mains elle tenait …
… Ce sésame de papier sur lequel était inscrit Buenos Aires. Les Andes, la pampa, puis la Patagonie, elle en avait toujours rêvé. Des années durant, contempler ses passeurs blancs s’envolant vers des destinations lointaines et un jour, décider de partir à son tour. Elle observait le monde autour d’elle. Elle ne voyait plus que des visages heureux , lumineux, gommés des tristesses et des pleurs qu’elle apercevait partout, avant. Le soleil d’avril irisait les grands panneaux de verre et la réchauffait...
… Mais pourquoi Buenos Aires ? lui avait demandé sa meilleure amie Rose, allez, à moi tu peux le dire, non ? Mais même à elle, non, même à Rose elle n’avait pas répondu. A l’évocation de cette discussion, un mystérieux et radieux sourire illumina le visage de Sahkti puis, soudain, une inquiétude lui traversa l’esprit et elle se mit à fouiller fébrilement les poches de l’imperméable déposé sur le dossier de sa chaise. Sa main trouva. Le sourire revint. Jamais elle ne se séparait de ce caillou, ce symbole…
… Cela avait été son cadeau d’anniversaire . Ce n’était qu’un petit diamant d’une cinquantaine de carats, mais elle y tenait quand même. C’est ce qu’elle avait dit à Philippe d’ailleurs : « Te le rendre ? Ne sois pas mesquin ! Tu sais bien qu’il a pour moi une certaine valeur sentimentale. Il représente tout de même le temps que j’ai perdu avec toi avant de réaliser que tu étais incapable du moindre geste d’amour véritable. » Elle ne lui demandait pas grand-chose pourtant. Simplement qu’il lui achète cet hôtel sur le Léman dans lequel elle se sentait si bien. Enfin, dans lequel elle se serait si bien sentie s’il n’avait été envahi d’importuns en tous genres. Evidemment que la seule solution était de l’acheter et de se le réserver. Que faire d’autre ? Mais il n’avait pas compris…
... Alors, il ne restait plus qu'à partir. Vers Buenos Aires. La pampa. La Patagonie. Ces espaces où le temps semblait s'étirer paresseusement sous l'infini du ciel. Ces espaces à la dimension du rêve et des feux d'artifice de son Marsu 007, son diablotin à ressort, qui était là tout près, à quelques mètres, le nez collé à la vitre, admirant les grands oiseaux blancs, pantoufles-bazooka et bonbons-grenades bien empaquetés dans son sac à dos: «Pour te protéger, maintenant que tu deviens vieille...». Un diablotin heureux, lui aussi...
… Elle avait fait table rase. Exit Philippe le Cœur Sec. Overdose de Rose la Bêcheuse. Time over de ce boulot démotivant. Elle s’était offerte de longues séances de surf quotidiennes sur la grande vague du Web. Sites paradisiaques. Liens tropicaux. Adresses de rêves. Au début pour oublier les sangsues qui l’avaient phagocytées jusqu’alors. Mais maintenant que les factures s’amoncelaient sur le guéridon et que le marsu pleurait devant la boîte de Nesquik vide, il allait falloir surfer utile. Désormais se limiter aux .org, les . com n’étaient plus dans ses moyens. C’est ainsi que affamée, elle avait échoué sur le site de l’Alliance Française de Buenos Aires (http://www.alianzafrancesa.org) « Cherche professeur pour cours de français communicatif de base ». Poster sa candidature. Attendre et puis ce mail relu et relu à s’en user les yeux. « Candidature retenue. Programme du 1er semestre : Français communicatif de base. Ouvrage de référence : Enid Blyton, Oui-oui dans la Pampa (traduction). Nous attendons confirmation de votre part. » Répondre. Confirmer. Réserver leur vol. Faire sa valise. Ne pas oublier le bonnet du marsu….
Ni le Marsu ! Trop occupé à confectionner une bombe dans le salon, entouré d’une ou deux James Bond girls, il ne savait pas encore que bientôt, il faudrait partir, comment lui expliquer ? Peut-être tout simplement on met les voiles, on change de cap, on part à l’aventure. Oui, c’est bien ça…
Comme il dit, Un James Bond et une James Bond girl attitrée ne se perdent jamais, même à l’autre bout du monde, et puis les Andes, la pampa, ça lui fait pas peur au Marsu, ils ne peuvent rien contre elle, pas avec les pantoufles-bazooka…
Valises, manuels de français, oui-oui en poche, et direction une nouvelle vie.
Le Marsu se décolle finalement de la vitre, les yeux encore pleins de plumes : « On y va, maman ? »
Bientôt !
On y va quand ? ?
Commence pas comme ça, Ok !
C’est loin ?
S’IL TE PLAÎT… Tiens !… tu sais ce que ça veut dire Buenos Aires ?
… Euh… Bon anniversaire ? ?
Oohh mon marsu adoré, t’es trop mignooon…
? ? ? Baaahh ! tu vas encore me mouiller la joue !… Dis ! je peux emmener mes copines ?
Non, mais tu pourras leur écrire.
Mais j’vais trooop leur manquer !
T’es bien un mec toi !
Et toi t’es bien une fille…
Elle sourit, il gonfle la poitrine, lui prend la main et commence à chanter en la regardant :
Para bailar la Pampa
Para bailar la Pampa
Buenos annivers…aires
Il chante et il sourit et elle est bien. Elle pleure mais elle est bien. Et comme elle pleure il détourne les yeux, toujours souriant, et se met à gigoter au bout de son bras. Elle lui sourit à travers ses petites larmes et le lâche.
Il court en continuant à chantonner vers les grandes baies. Son sac lui bat les reins, comiquement.
Alors elle va le chercher, l’entoure de ses bras, et c’est bon.
C’est même tellement bon qu’elle redevient Sahkti ! (vous savez, la vraie là, la mordante !)
— Allez viens ! Tu ne me demandes plus quand on part ! Mais on va aller se renseigner ensemble. Et puis on va acheter du chocolat.
Il la regarde, lumineux. Il la sait revenue.
¬ — Et tu me liras la suite de James Bond ?
— De … , de Oui-Oui tu veux dire ?
— C’est nul Oui-Oui ! J’veux James bond !
Ils s’éloignent tous les deux vers le comptoir de la compagnie, le sac lui bat toujours les reins, à lui. Et son coeur ne bat plus la chamade, à elle.
Elle n’a qu’à bien se tenir l’hôtesse, et répondre vite fait !
Ils ont grimpé dans l’avion tous les deux, ce sont installés aussi inconfortablement que le propose une seconde classe, c’est-à-dire très inconfortablement Puis, ils se sont envolés vers ailleurs.
Il avait l’air songeur le Marsu, tandis que sur les nuages, l’avion frottait ses ailes. Alors elle lui a demandé :
— Quelque chose te tracasse ?
— Ben…
— Vas-y, dis ?!
— C’est vieille 31 ans ?
Mais que répondre à ça, façe à cette gueule-là ? Alors elle lui a proposé un jeu, parce qu’avec les mômes, mieux vaut faire diversion, souvent. Et souvent, c’est mieux quand c’est tout le temps.
— Si on jouait au pendu ?
— Le truc avec des lettres là ?
— Oui ! Je commence. Ça commence par un N et fini par un E, en 9 lettres.
— Y’a un Z ?
— Oui !
— Un H ?
— Oui !
— Nietzsche ! Trop facile, à moi. En 59 lettres, ça commence par un O et fini pas un A.
— 59 ? T’es sûr
— Certain !
— Un indice ?!
— C’est une destination !
— Un autre ?
— C’est une distraction !
Elle a réfléchi, parce que quand même, puis, vaincue, elle a dit :
— Je donne ma langue au chat !
— On s’est trompé d’avion, c’est pas à Buenos Aires, mais à la Tontouta qu’on va.
Elle a souri, pensant que 31 piges, c’était l’âge idéal pour faire des conneries !
Et l’avion, toujours, frotte ses ailes sur les nuages, l’air de pas y toucher.
Mais qui n’a écrit quoi ?
On participé et par ordre alphabétique :
Blue
Charles
Fée
Kilis
Killgrieg
Lyra
Sib
Tistou
Yali
Zou
(j’espère n’avoir oublié personne)
Et donc :
Elle se buvait un café trop cher, égarée dans la zone de transit de l’aéroport de Zaventem. Pourtant, elle n’aimait pas ça tant que ça, le café (amère amertume, tu nous berces déjà bien assez), et la seule zone de transit qui l’occupait vraiment était celle de ses pensées. Oui, parce que là, l’amertume, elle s’en balançait, il y avait de la rumba dans l’air, du cœur à cœur, elle sortait de son cocon de soie et le papillon de nuit qu’elle était devenait papillon tout court. Des ailes fraîches, encore humides, poudreuses et lisses. Dans ses mains elle tenait …
… Ce sésame de papier sur lequel était inscrit Buenos Aires. Les Andes, la pampa, puis la Patagonie, elle en avait toujours rêvé. Des années durant, contempler ses passeurs blancs s’envolant vers des destinations lointaines et un jour, décider de partir à son tour. Elle observait le monde autour d’elle. Elle ne voyait plus que des visages heureux , lumineux, gommés des tristesses et des pleurs qu’elle apercevait partout, avant. Le soleil d’avril irisait les grands panneaux de verre et la réchauffait...
… Mais pourquoi Buenos Aires ? lui avait demandé sa meilleure amie Rose, allez, à moi tu peux le dire, non ? Mais même à elle, non, même à Rose elle n’avait pas répondu. A l’évocation de cette discussion, un mystérieux et radieux sourire illumina le visage de Sahkti puis, soudain, une inquiétude lui traversa l’esprit et elle se mit à fouiller fébrilement les poches de l’imperméable déposé sur le dossier de sa chaise. Sa main trouva. Le sourire revint. Jamais elle ne se séparait de ce caillou, ce symbole…
… Cela avait été son cadeau d’anniversaire . Ce n’était qu’un petit diamant d’une cinquantaine de carats, mais elle y tenait quand même. C’est ce qu’elle avait dit à Philippe d’ailleurs : « Te le rendre ? Ne sois pas mesquin ! Tu sais bien qu’il a pour moi une certaine valeur sentimentale. Il représente tout de même le temps que j’ai perdu avec toi avant de réaliser que tu étais incapable du moindre geste d’amour véritable. » Elle ne lui demandait pas grand-chose pourtant. Simplement qu’il lui achète cet hôtel sur le Léman dans lequel elle se sentait si bien. Enfin, dans lequel elle se serait si bien sentie s’il n’avait été envahi d’importuns en tous genres. Evidemment que la seule solution était de l’acheter et de se le réserver. Que faire d’autre ? Mais il n’avait pas compris…
... Alors, il ne restait plus qu'à partir. Vers Buenos Aires. La pampa. La Patagonie. Ces espaces où le temps semblait s'étirer paresseusement sous l'infini du ciel. Ces espaces à la dimension du rêve et des feux d'artifice de son Marsu 007, son diablotin à ressort, qui était là tout près, à quelques mètres, le nez collé à la vitre, admirant les grands oiseaux blancs, pantoufles-bazooka et bonbons-grenades bien empaquetés dans son sac à dos: «Pour te protéger, maintenant que tu deviens vieille...». Un diablotin heureux, lui aussi...
… Elle avait fait table rase. Exit Philippe le Cœur Sec. Overdose de Rose la Bêcheuse. Time over de ce boulot démotivant. Elle s’était offerte de longues séances de surf quotidiennes sur la grande vague du Web. Sites paradisiaques. Liens tropicaux. Adresses de rêves. Au début pour oublier les sangsues qui l’avaient phagocytées jusqu’alors. Mais maintenant que les factures s’amoncelaient sur le guéridon et que le marsu pleurait devant la boîte de Nesquik vide, il allait falloir surfer utile. Désormais se limiter aux .org, les . com n’étaient plus dans ses moyens. C’est ainsi que affamée, elle avait échoué sur le site de l’Alliance Française de Buenos Aires (http://www.alianzafrancesa.org) « Cherche professeur pour cours de français communicatif de base ». Poster sa candidature. Attendre et puis ce mail relu et relu à s’en user les yeux. « Candidature retenue. Programme du 1er semestre : Français communicatif de base. Ouvrage de référence : Enid Blyton, Oui-oui dans la Pampa (traduction). Nous attendons confirmation de votre part. » Répondre. Confirmer. Réserver leur vol. Faire sa valise. Ne pas oublier le bonnet du marsu….
Ni le Marsu ! Trop occupé à confectionner une bombe dans le salon, entouré d’une ou deux James Bond girls, il ne savait pas encore que bientôt, il faudrait partir, comment lui expliquer ? Peut-être tout simplement on met les voiles, on change de cap, on part à l’aventure. Oui, c’est bien ça…
Comme il dit, Un James Bond et une James Bond girl attitrée ne se perdent jamais, même à l’autre bout du monde, et puis les Andes, la pampa, ça lui fait pas peur au Marsu, ils ne peuvent rien contre elle, pas avec les pantoufles-bazooka…
Valises, manuels de français, oui-oui en poche, et direction une nouvelle vie.
Le Marsu se décolle finalement de la vitre, les yeux encore pleins de plumes : « On y va, maman ? »
Bientôt !
On y va quand ? ?
Commence pas comme ça, Ok !
C’est loin ?
S’IL TE PLAÎT… Tiens !… tu sais ce que ça veut dire Buenos Aires ?
… Euh… Bon anniversaire ? ?
Oohh mon marsu adoré, t’es trop mignooon…
? ? ? Baaahh ! tu vas encore me mouiller la joue !… Dis ! je peux emmener mes copines ?
Non, mais tu pourras leur écrire.
Mais j’vais trooop leur manquer !
T’es bien un mec toi !
Et toi t’es bien une fille…
Elle sourit, il gonfle la poitrine, lui prend la main et commence à chanter en la regardant :
Para bailar la Pampa
Para bailar la Pampa
Buenos annivers…aires
Il chante et il sourit et elle est bien. Elle pleure mais elle est bien. Et comme elle pleure il détourne les yeux, toujours souriant, et se met à gigoter au bout de son bras. Elle lui sourit à travers ses petites larmes et le lâche.
Il court en continuant à chantonner vers les grandes baies. Son sac lui bat les reins, comiquement.
Alors elle va le chercher, l’entoure de ses bras, et c’est bon.
C’est même tellement bon qu’elle redevient Sahkti ! (vous savez, la vraie là, la mordante !)
— Allez viens ! Tu ne me demandes plus quand on part ! Mais on va aller se renseigner ensemble. Et puis on va acheter du chocolat.
Il la regarde, lumineux. Il la sait revenue.
¬ — Et tu me liras la suite de James Bond ?
— De … , de Oui-Oui tu veux dire ?
— C’est nul Oui-Oui ! J’veux James bond !
Ils s’éloignent tous les deux vers le comptoir de la compagnie, le sac lui bat toujours les reins, à lui. Et son coeur ne bat plus la chamade, à elle.
Elle n’a qu’à bien se tenir l’hôtesse, et répondre vite fait !
Ils ont grimpé dans l’avion tous les deux, ce sont installés aussi inconfortablement que le propose une seconde classe, c’est-à-dire très inconfortablement Puis, ils se sont envolés vers ailleurs.
Il avait l’air songeur le Marsu, tandis que sur les nuages, l’avion frottait ses ailes. Alors elle lui a demandé :
— Quelque chose te tracasse ?
— Ben…
— Vas-y, dis ?!
— C’est vieille 31 ans ?
Mais que répondre à ça, façe à cette gueule-là ? Alors elle lui a proposé un jeu, parce qu’avec les mômes, mieux vaut faire diversion, souvent. Et souvent, c’est mieux quand c’est tout le temps.
— Si on jouait au pendu ?
— Le truc avec des lettres là ?
— Oui ! Je commence. Ça commence par un N et fini par un E, en 9 lettres.
— Y’a un Z ?
— Oui !
— Un H ?
— Oui !
— Nietzsche ! Trop facile, à moi. En 59 lettres, ça commence par un O et fini pas un A.
— 59 ? T’es sûr
— Certain !
— Un indice ?!
— C’est une destination !
— Un autre ?
— C’est une distraction !
Elle a réfléchi, parce que quand même, puis, vaincue, elle a dit :
— Je donne ma langue au chat !
— On s’est trompé d’avion, c’est pas à Buenos Aires, mais à la Tontouta qu’on va.
Elle a souri, pensant que 31 piges, c’était l’âge idéal pour faire des conneries !
Et l’avion, toujours, frotte ses ailes sur les nuages, l’air de pas y toucher.
Et si le post se voit pas assez, vous le dites ;-)))
Je le vois encore sans mes lunettes...
Alors, ça devrait aller, même pour quelqu'un qui souffre de presbytie galopante ;-). (Aïe! Mais non, pas toi, Sahkti! A 31 ans, on n'est pas encore presbyte ;-)!)
Alors, ça devrait aller, même pour quelqu'un qui souffre de presbytie galopante ;-). (Aïe! Mais non, pas toi, Sahkti! A 31 ans, on n'est pas encore presbyte ;-)!)
Merci merci merci les amis..
Me voici partagée entre le rire et les larmes.
Il y a tant de choses si vraies dans votre texte, ô oui!
Et puis La Tontouta Yali... ben oui... j'ai lu et j'ai pleuré.
MERCI!!
Me voici partagée entre le rire et les larmes.
Il y a tant de choses si vraies dans votre texte, ô oui!
Et puis La Tontouta Yali... ben oui... j'ai lu et j'ai pleuré.
MERCI!!
Je le relis et je ne m'en lasse pas. Vous êtes vraiment adorables!
Je suis désolée de pas trouver quelque chose d'original à te dire aujourd'hui mais j'ai esayé pourtant (l'anagramme si c'est bien comme ça que ça s'appelle) ne donne rien. Alors juste, en ce petit matin gris ici, mais rose je l'espère en ton coeur je te souhaite un joyeux anniversaire.
merci Kicilou!
Très bon anniversaire Sahkti. Tu t'en fous, du temps gris qui pleut de partout.
Je te souhaite un très bon anniversaire et que la vie te comble de toutes ces petites choses qui mettent du baume au coeur.
Profites bien de cette journée, c'est la tienne !!!
Amicalement.
Profites bien de cette journée, c'est la tienne !!!
Amicalement.
Très bon anniversaire Sahkti !!!
Et aussi merci à Yali pour l'organisation de cette surprise ;-))
Désolé, j'arrive une foisde plus enretard, après tout le monde : bon anniversaire Sahkti !!
Très bon anniversaire Sahkti !!!
Très bone anniversaire Sahkti ;-)
Merci tout plein!
C'est vrai qu'il flotte sans fin Tistou, ça doit être le bon dieu qui pleure pour son Pape (note qu'il devrait plutôt faire soleil si c'est ça, parce que maintenant, il l'aura près de lui pour tout le temps...).
Il pleut mais m'en fiche, je suis de bonne humeur grâce à vous!
(et j'ai eu droit à la remarque marsupienne sur le fait d'être vieille ce matin! :)
C'est vrai qu'il flotte sans fin Tistou, ça doit être le bon dieu qui pleure pour son Pape (note qu'il devrait plutôt faire soleil si c'est ça, parce que maintenant, il l'aura près de lui pour tout le temps...).
Il pleut mais m'en fiche, je suis de bonne humeur grâce à vous!
(et j'ai eu droit à la remarque marsupienne sur le fait d'être vieille ce matin! :)
Joyeux anniversaire!
Très très heureux anniversaire Sahkti.
Une nouvelle page qui s'offre à écrire.
Je t'envoie quelques contraintes à respecter impérativement : bonheur, bonheur et bonheur...et en 365 jours, pas moins. :-)))
Une nouvelle page qui s'offre à écrire.
Je t'envoie quelques contraintes à respecter impérativement : bonheur, bonheur et bonheur...et en 365 jours, pas moins. :-)))
Bonne année Sahkti!
Mais qui n’a écrit quoi ?
Bon, ben t'as plus qu'à t'y coller, à notre puzzle.
;-))
Bonna!
Mais qui n’a écrit quoi ?
Bon, ben t'as plus qu'à t'y coller, à notre puzzle.
;-))
Bonna!
Bon, maintenant qu'on est aussi le 8 avril au Canada. Je peux y aller...
Bon Anniversaire, Sahkti !
Et puis, comme dit Sib, à toi de jouer et de rendre à chacun son bout de texte ;-)).
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