Près d’un grand tournesol pleure une marguerite,
C’est qu’il lui fait de l’ombre, et sa beauté s’effrite,
C’est alors qu’une plante arrive, et par le bras
Lui dit viens avec moi, je suis belladone.
Et le grand tournesol : que le ciel te pardonne…
A ces mots, petite fleur, de peur, se cambra,
Elle se sent un peu palote, un peu pâqu’rette,
Mais peut-être bella donne des amourettes ?
Elle dit avoir des pouvoirs, peut-être un gri-gri ?
Elle éclaire le monde tel un campanile,
Et assure au futur, une beauté juvénile,
A ces fleurs dépressives, à présent moins aigries.
Ce n’est là que la ruse d’une fleur très forte,
Petite fleur succombait si monsieur cloporte,
Sur son beau cheval blanc, brandissant son fusil,
N’était pas arriver pour chasser la lambine,
Il ne fallut alors qu’un coup de carabine,
Pour causer amouret’, que nul ne détruisit.
C’est qu’il lui fait de l’ombre, et sa beauté s’effrite,
C’est alors qu’une plante arrive, et par le bras
Lui dit viens avec moi, je suis belladone.
Et le grand tournesol : que le ciel te pardonne…
A ces mots, petite fleur, de peur, se cambra,
Elle se sent un peu palote, un peu pâqu’rette,
Mais peut-être bella donne des amourettes ?
Elle dit avoir des pouvoirs, peut-être un gri-gri ?
Elle éclaire le monde tel un campanile,
Et assure au futur, une beauté juvénile,
A ces fleurs dépressives, à présent moins aigries.
Ce n’est là que la ruse d’une fleur très forte,
Petite fleur succombait si monsieur cloporte,
Sur son beau cheval blanc, brandissant son fusil,
N’était pas arriver pour chasser la lambine,
Il ne fallut alors qu’un coup de carabine,
Pour causer amouret’, que nul ne détruisit.
Parmi toutes les fleurs, vois-tu la marguerite ?
Effeuillons-la, veux-tu, avant qu'elle ne s'effrite
Je t'aime, un peu, beaucoup, je te prends dans mes bras
Ton pied allait fouler la vile belladone
Je t'emporte avec moi, Cupidon me pardonne
Il décoche une flèche et ton dos se cambra
.
Le petit polisson te pousse aux pâquerettes
Accorde-moi, veux-tu, une tendre amourette
J'ai mes deux doigts croisés autour de ton gri-gri
Goûtons, si tu le veux, l'hombre du campanile
Le printemps nous souri et l'herbe est juvénile
.
Cachons-nous tous les deux, voilà ton père aigri
Ta maman l'accompagne et lui donne main forte
Mais non, mon tendre ami, ils chassent les cloportes
Ha, bah si tu le dis ! Mais il tient son fusil ?
.
Hé ! oui, pas de quartier, ils chassent les lambines.
L'amour est bien plus fort que fusil-carabine
Mais non ! Car il fit feu et tout se détruisit !
Effeuillons-la, veux-tu, avant qu'elle ne s'effrite
Je t'aime, un peu, beaucoup, je te prends dans mes bras
Ton pied allait fouler la vile belladone
Je t'emporte avec moi, Cupidon me pardonne
Il décoche une flèche et ton dos se cambra
.
Le petit polisson te pousse aux pâquerettes
Accorde-moi, veux-tu, une tendre amourette
J'ai mes deux doigts croisés autour de ton gri-gri
Goûtons, si tu le veux, l'hombre du campanile
Le printemps nous souri et l'herbe est juvénile
.
Cachons-nous tous les deux, voilà ton père aigri
Ta maman l'accompagne et lui donne main forte
Mais non, mon tendre ami, ils chassent les cloportes
Ha, bah si tu le dis ! Mais il tient son fusil ?
.
Hé ! oui, pas de quartier, ils chassent les lambines.
L'amour est bien plus fort que fusil-carabine
Mais non ! Car il fit feu et tout se détruisit !
SJB, t'as triché! :-)
Viens par là, avant que le Soleil ne t’ait frite !
Viens tout contre moi, trouver le chaud dans mes bras.
Viens là… immobile et cruelle Belladone !
Dedans, je rêvais, que le Diable me pardonne :
Qu’un jour là-dessous moi, la belle se cambra.
Sous ton pied, écrasé, comme une pâquerette :
Après quelques jours d’une inutile amourette,
Mes bras tu as quittés. Malgré tous mes grigris.
J’ai prié ton retour, sous tous les campaniles,
Me laissant au matin, plus vide et plus aigri.
Tu as vampirisé mon ardeur juvénile.
J’ai voulu m’imposer : tu étais la plus forte.
J’avais moins d’influence qu’un courageux cloporte
Contre tous mes assauts, tu sortis ton fusil,
Car tu ne souffrais pas que mon amour lambine.
Ou alors tenais-tu peut-être une carabine ?
Trou noir : d’un seul PAN mon cerveau tu détruisis.
Viens tout contre moi, trouver le chaud dans mes bras.
Viens là… immobile et cruelle Belladone !
Dedans, je rêvais, que le Diable me pardonne :
Qu’un jour là-dessous moi, la belle se cambra.
Sous ton pied, écrasé, comme une pâquerette :
Après quelques jours d’une inutile amourette,
Mes bras tu as quittés. Malgré tous mes grigris.
J’ai prié ton retour, sous tous les campaniles,
Me laissant au matin, plus vide et plus aigri.
Tu as vampirisé mon ardeur juvénile.
J’ai voulu m’imposer : tu étais la plus forte.
J’avais moins d’influence qu’un courageux cloporte
Contre tous mes assauts, tu sortis ton fusil,
Car tu ne souffrais pas que mon amour lambine.
Ou alors tenais-tu peut-être une carabine ?
Trou noir : d’un seul PAN mon cerveau tu détruisis.
Elle eût voulu des marguerites
Mais il lui offrit une frite
Et, ayant attrappé son bras
La mena voir des belladones
Dont les fruits toujours on pardonne
Comme leur tige qui cambra
Mais pas la moindre paquerette
Ce n'est pas gai cette amourette :
Belladone pour tout gri-gri
Pas de repas au Campanile
Et que fait-elle, juvénile
A l'aimer, lui, vieux et aigri ?
Elle veut une étreinte forte
Lui écrase juste un cloporte
Et l'achève à coups de fusil
Une fois de trop il lambine :
Lent pour ranger la carabine ...
Et leur amour se détruisit
Mais il lui offrit une frite
Et, ayant attrappé son bras
La mena voir des belladones
Dont les fruits toujours on pardonne
Comme leur tige qui cambra
Mais pas la moindre paquerette
Ce n'est pas gai cette amourette :
Belladone pour tout gri-gri
Pas de repas au Campanile
Et que fait-elle, juvénile
A l'aimer, lui, vieux et aigri ?
Elle veut une étreinte forte
Lui écrase juste un cloporte
Et l'achève à coups de fusil
Une fois de trop il lambine :
Lent pour ranger la carabine ...
Et leur amour se détruisit
Manque le premier vers, je reposte!
« Viens donc là !», que je t’ai dit un jour, Marguerite,
Viens par là, avant que le Soleil ne t’ait frite !
Viens tout contre moi, trouver le chaud dans mes bras.
Viens là… immobile et cruelle Belladone !
Dedans, je rêvais, que le Diable me pardonne :
Qu’un jour là-dessous moi, la belle se cambra.
Sous ton pied, écrasé, comme une pâquerette :
Après quelques jours d’une inutile amourette,
Mes bras tu as quittés. Malgré tous mes grigris.
J’ai prié ton retour, sous tous les campaniles,
Me laissant au matin, plus vide et plus aigri.
Tu as vampirisé mon ardeur juvénile.
J’ai voulu m’imposer : tu étais la plus forte.
J’avais moins d’influence qu’un courageux cloporte
Contre tous mes assauts, tu sortis ton fusil,
Car tu ne souffrais pas que mon amour lambine.
Ou alors tenais-tu peut-être une carabine ?
Trou noir : d’un seul PAN mon cerveau tu détruisis.
« Viens donc là !», que je t’ai dit un jour, Marguerite,
Viens par là, avant que le Soleil ne t’ait frite !
Viens tout contre moi, trouver le chaud dans mes bras.
Viens là… immobile et cruelle Belladone !
Dedans, je rêvais, que le Diable me pardonne :
Qu’un jour là-dessous moi, la belle se cambra.
Sous ton pied, écrasé, comme une pâquerette :
Après quelques jours d’une inutile amourette,
Mes bras tu as quittés. Malgré tous mes grigris.
J’ai prié ton retour, sous tous les campaniles,
Me laissant au matin, plus vide et plus aigri.
Tu as vampirisé mon ardeur juvénile.
J’ai voulu m’imposer : tu étais la plus forte.
J’avais moins d’influence qu’un courageux cloporte
Contre tous mes assauts, tu sortis ton fusil,
Car tu ne souffrais pas que mon amour lambine.
Ou alors tenais-tu peut-être une carabine ?
Trou noir : d’un seul PAN mon cerveau tu détruisis.
( je sais, ça a pas toujours beaucoup de sens ...) : (
Jean culbutait souvent Marguerite
Qui tenait la baraque à frites
Et l'étouffait de ses grands bras
Il fourrageait sa belladone
Espérant que Dieu lui pardonne
Un soir d'ivresse elle se cambra…
Il devint fou de sa pâquerette
Mais il n'était pour elle qu'amourette
Ses attributs lui servaient de gri-gri
La faisaient grimper au campanile
Elle lui préférait les juvéniles
Et finit par rendre Jean aigri
Las il la traita de femme forte
Et la chassa comme un cloporte
De rage elle empoigna son fusil
Il ne fallait pas qu'elle lambine!
Vite elle pointa la carabine
Et la grande verge détruisit.
là! j'ai vraiment peur pour andréa qui pourtant n'exhibe pas ses attributs comme l'autre.
Dans quel petrin est-il fourré??!!
( je sais, ça a pas toujours beaucoup de sens ...) : (
t'inquiète pas moi non plus :-)
Lyra, Lyra!! j'ai tout compris :-))
Lyra, Lyra!! j'ai tout compris :-))
Alleluïa !!!
:0)))
Lyra, Lyra!! j'ai tout compris :-))
moi pas
Lyra, Lyra!! j'ai tout compris :-))
moi pas
mais chez personne, même pas chez moi. On est tous trop sibyllins ce soir
Lyra, Lyra!! j'ai tout compris :-))
moi pas
Pfffff :0(
Il manque qui?
Ben merde alors! qu'est-ce qu'elles sont bonnes ces odes. Avec des rimes si difficiles!
Y en qui m'ont fait pleurer de rire, surtout celle de Sahkti.
Y en qui m'ont fait pleurer de rire, surtout celle de Sahkti.
Y a pas à dire, Gretchen am Spinnrade a plus de gueule, mais Goethe ne s'amusait certainement pas autant que nous !
Filant à son rouet, songe Marguerite
à son cher Valentin, savourant ses frites
offertes par le prince qu'il sert de son bras
Sans verser une larme car de belladone
elle a orné ses beaux yeux, qu'il lui pardonne!
Et la Marguerite fièrement se cambra...
Elle attendait, effeuillant une paquerette
son savant docteur, sa si belle amourette.
Elle est séduite par ses très puissants grigris,
son rire franc, ruissellant d'un campanile
et puis sa fougue et son ardeur juvénile...
Mais Valentin s'en revient de la guerre aigri
Et de voir sa soeur amoureuse, si forte
fut sa colère contre ce vil cloporte
que ni une ni deux il décrocha son fusil,
non, pour l'honneur de sa soeur, point ne lambine
mais Faust fut plus prompt avec sa carabine
Pan, et d'un coup fatal leur bonheur détruisit
Filant à son rouet, songe Marguerite
à son cher Valentin, savourant ses frites
offertes par le prince qu'il sert de son bras
Sans verser une larme car de belladone
elle a orné ses beaux yeux, qu'il lui pardonne!
Et la Marguerite fièrement se cambra...
Elle attendait, effeuillant une paquerette
son savant docteur, sa si belle amourette.
Elle est séduite par ses très puissants grigris,
son rire franc, ruissellant d'un campanile
et puis sa fougue et son ardeur juvénile...
Mais Valentin s'en revient de la guerre aigri
Et de voir sa soeur amoureuse, si forte
fut sa colère contre ce vil cloporte
que ni une ni deux il décrocha son fusil,
non, pour l'honneur de sa soeur, point ne lambine
mais Faust fut plus prompt avec sa carabine
Pan, et d'un coup fatal leur bonheur détruisit
et une autre victime masculine chez Bluewitch, fait pas bon être un homme sur CL...
SJB... oscour
SJB... oscour
Il manque qui?
Il manque Yali qui lambine.
Il manque qui?
Il manque Yali qui lambine.
envoyons lui un coup de carabine
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