*********
C’est au balcon du teatro dell’Opera qu’il avait trouvé l’inspiration. En observant tour à tour la loge d’en face et le drame se nouant sur scène, il sut ce qu’il pouvait tenter. Ces deux là avaient l’air trop heureux, trop purs. En venant se reposer à Rome, il pensait bien s’amuser, se détendre. En optant pour une allure un peu vieillotte, toute de bonhomie bienveillante, il espérait rester discret et inspirer confiance. La veille, il avait visité, souriant, le Vatican puis était resté longuement, quasi hilare devant le détail de la tentation d’Adam et Eve à la chapelle Sixtine, les touristes alentours le dévisageant sans comprendre.
Il avait ensuite croisé la route d’Andrea et Pelagia. Leurs noms de tragédie grecque, leurs regards échangés et la langueur de leurs mouvements l’avaient piqué au vif. Leur bonheur éclatait et éblouissait bien plus que le soleil romain. Il fallait qu’il tente quelque chose. Il avait alors entrepris de donner vie à son Adalgisa*, choisissant Pelagia pour incarner Norma. Et il avait décidé de la peindre, de peindre le visage de la beauté sensuelle, tentatrice, diabolique évidemment. Tout comme pour Norma, elle déroberait le cœur amoureux de la beauté blanche, pure, immaculée.
Il lui fallait maintenant choisir le lieu et l’heure de la rencontre. En suivant Andrea, seul au marché, il saisit sa chance. Le précédant sur le chemin du retour, il se positionna au bas d’une petite ruelle en pente, s’asseyant sur le rebord d’une minuscule fontaine camouflée dans une végétation touffue de plantes grimpantes, fleuries, étouffant un petit mur de pierres ocres. A l’abri des regards, il posa sa toile qu’il emportait partout et apporta la touche finale à son méfait. Adalgisa pris vie, il l’observa remonter la ruelle lentement, et se pencher pour aider Andrea à récupérer ses oranges échappées de ce sac qui n’avait pourtant pas l’air si fragile.
Ah, quel terrain de jeu que cette ville romantique et religieuse remplie de gens amoureux, heureux, pieux …
*********
Comme à son habitude, Andréa prit le chemin le plus court pour rentrer chez lui. Il n’était pas pressé outre mesure (bien que la perspective de retrouver Pelagia lui faisait un peu hâter le pas), simplement, c’était le chemin qu’il prenait toujours. Ruelles entrelacées, pentes douces, minuscules places, quelques petites fontaines égayant de leur eau chantantes ce début de matinée calme.
Il repensait à Pelagia ou plutôt il ne cessait de penser à elle. Quelques mois, pas même un an et déjà, il ne se souvenait plus de sa vie d’avant. Elle avait empli tout son univers de sa fraîcheur naïve, de sa fragilité apparente, de son sourire permanent. Elle était devenu sa lueur d’espoir, son petit soleil. Impossible de ne pas être heureux en sa présence. Les monuments, les rues et les places de Rome lui répondaient, Rome lui montrait son âme, il la comprenait maintenant cette Rome antique. Lui qui n’aimait pas l’art, s’émerveillait devant chaque sculpture, chaque tableau, allait jeter de temps à autre une pièce dans la fontaine de Trévi, versait une petite larme à l’opéra... Pelagia lui avait permis d’accéder à la vie et ce sentiment de plénitude lui semblait ne jamais devoir cesser.
Il en était là de ses réflexions lorsqu’il tourna dans la petite via degli inesatti. Il n’entendit pas le sac se rompre et seule la première orange tombée sur le pavé parvint à le sortir de ses pensées. Deux, quatre, six oranges filaient maintenant en tous sens dans la pente. Loin de l’énerver, cet incident attisait sa bonne humeur. Ces oranges aux vives couleurs bondissant dans une ruelle fraîche sous les rayons encore doux du soleil matinal avaient en elle quelque chose de joyeux, de vivant. Il l’aperçut, alors, essayant de stopper la course de ses fruits tentants.
C’est au balcon du teatro dell’Opera qu’il avait trouvé l’inspiration. En observant tour à tour la loge d’en face et le drame se nouant sur scène, il sut ce qu’il pouvait tenter. Ces deux là avaient l’air trop heureux, trop purs. En venant se reposer à Rome, il pensait bien s’amuser, se détendre. En optant pour une allure un peu vieillotte, toute de bonhomie bienveillante, il espérait rester discret et inspirer confiance. La veille, il avait visité, souriant, le Vatican puis était resté longuement, quasi hilare devant le détail de la tentation d’Adam et Eve à la chapelle Sixtine, les touristes alentours le dévisageant sans comprendre.
Il avait ensuite croisé la route d’Andrea et Pelagia. Leurs noms de tragédie grecque, leurs regards échangés et la langueur de leurs mouvements l’avaient piqué au vif. Leur bonheur éclatait et éblouissait bien plus que le soleil romain. Il fallait qu’il tente quelque chose. Il avait alors entrepris de donner vie à son Adalgisa*, choisissant Pelagia pour incarner Norma. Et il avait décidé de la peindre, de peindre le visage de la beauté sensuelle, tentatrice, diabolique évidemment. Tout comme pour Norma, elle déroberait le cœur amoureux de la beauté blanche, pure, immaculée.
Il lui fallait maintenant choisir le lieu et l’heure de la rencontre. En suivant Andrea, seul au marché, il saisit sa chance. Le précédant sur le chemin du retour, il se positionna au bas d’une petite ruelle en pente, s’asseyant sur le rebord d’une minuscule fontaine camouflée dans une végétation touffue de plantes grimpantes, fleuries, étouffant un petit mur de pierres ocres. A l’abri des regards, il posa sa toile qu’il emportait partout et apporta la touche finale à son méfait. Adalgisa pris vie, il l’observa remonter la ruelle lentement, et se pencher pour aider Andrea à récupérer ses oranges échappées de ce sac qui n’avait pourtant pas l’air si fragile.
Ah, quel terrain de jeu que cette ville romantique et religieuse remplie de gens amoureux, heureux, pieux …
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Comme à son habitude, Andréa prit le chemin le plus court pour rentrer chez lui. Il n’était pas pressé outre mesure (bien que la perspective de retrouver Pelagia lui faisait un peu hâter le pas), simplement, c’était le chemin qu’il prenait toujours. Ruelles entrelacées, pentes douces, minuscules places, quelques petites fontaines égayant de leur eau chantantes ce début de matinée calme.
Il repensait à Pelagia ou plutôt il ne cessait de penser à elle. Quelques mois, pas même un an et déjà, il ne se souvenait plus de sa vie d’avant. Elle avait empli tout son univers de sa fraîcheur naïve, de sa fragilité apparente, de son sourire permanent. Elle était devenu sa lueur d’espoir, son petit soleil. Impossible de ne pas être heureux en sa présence. Les monuments, les rues et les places de Rome lui répondaient, Rome lui montrait son âme, il la comprenait maintenant cette Rome antique. Lui qui n’aimait pas l’art, s’émerveillait devant chaque sculpture, chaque tableau, allait jeter de temps à autre une pièce dans la fontaine de Trévi, versait une petite larme à l’opéra... Pelagia lui avait permis d’accéder à la vie et ce sentiment de plénitude lui semblait ne jamais devoir cesser.
Il en était là de ses réflexions lorsqu’il tourna dans la petite via degli inesatti. Il n’entendit pas le sac se rompre et seule la première orange tombée sur le pavé parvint à le sortir de ses pensées. Deux, quatre, six oranges filaient maintenant en tous sens dans la pente. Loin de l’énerver, cet incident attisait sa bonne humeur. Ces oranges aux vives couleurs bondissant dans une ruelle fraîche sous les rayons encore doux du soleil matinal avaient en elle quelque chose de joyeux, de vivant. Il l’aperçut, alors, essayant de stopper la course de ses fruits tentants.
* Adalgisa : « Norma a secrète ment épousé le proconsul romain Pollione qui lui a donné deux enfants. Celui-ci la délaisse maintenant pour Adalgisa. Ulcérée par cet abandon, Norma veut se suicider …»
http://lamediatheque.be/travers_sons/op_bel01.htm/
extraits très très courts :
http://amazon.fr/exec/obidos/…
une petite photo pour éveiller l'inspiration ?
http://www.mondotram.it/paolo/roma_1955.htm
http://lamediatheque.be/travers_sons/op_bel01.htm/
extraits très très courts :
http://amazon.fr/exec/obidos/…
une petite photo pour éveiller l'inspiration ?
http://www.mondotram.it/paolo/roma_1955.htm
Pardon Bluewitch, je n'ai pas pu m'empêcher d'essayer de leur gâcher la vie .... ;-)
Le mystère demeure...
Comment le pull marin connaît-il les prénoms des deux amoureux?
Et comment a-t-il fait pour observer aussi longuement ou minutieusement Pelagia au point de la peindre?
Mystère et boule de gomme! Nous n'en saurons rien cette fois, sans doute à développer par la suite.
Une petite incompréhension de ma part au moment où tu abordes, au milieu du texte, le plaisir sarcastique du bonhomme quand les oranges tombent. Je me suis demandé qui ramassait les oranges, si c'était la femme du portrait subitement devenue vivante ou alors l'inconnu lui-même. D'autant plus que cette chute d'oranges tombait un peu de nulle part. La fin permet de lever une partie de l'incompréhension, mais n'enlève pas tout à la confusion ressentie.
Sinon, je retrouve avec plaisir la fluidité et la douce torpeur déjà présentes dans le premier épisode de Bluewitch. Pas de cassure dans le style ou le contenu, une suite réussie.
Comment le pull marin connaît-il les prénoms des deux amoureux?
Et comment a-t-il fait pour observer aussi longuement ou minutieusement Pelagia au point de la peindre?
Mystère et boule de gomme! Nous n'en saurons rien cette fois, sans doute à développer par la suite.
Une petite incompréhension de ma part au moment où tu abordes, au milieu du texte, le plaisir sarcastique du bonhomme quand les oranges tombent. Je me suis demandé qui ramassait les oranges, si c'était la femme du portrait subitement devenue vivante ou alors l'inconnu lui-même. D'autant plus que cette chute d'oranges tombait un peu de nulle part. La fin permet de lever une partie de l'incompréhension, mais n'enlève pas tout à la confusion ressentie.
Sinon, je retrouve avec plaisir la fluidité et la douce torpeur déjà présentes dans le premier épisode de Bluewitch. Pas de cassure dans le style ou le contenu, une suite réussie.
Soit on a affaire à un autre spécialiste romain, soit il fait bien semblant! C'est vrai que ça reste dans la veine Bluewitchienne. Etonnant ça comme les épisodes qui se suivent peuvent s'épouser, même au niveau style!
Il reste encore bien du mystère à défricher. Merci des premières explications Charles, elles sont bien tournées. Même si, comme Sahkti, l'épisode "oranges" m'a (un peu) dérouté.
Ca se fait bien, hein, finalement, d'écrire des épisodes courts à la suite de quelqu'un?
J'entends Killgrieg qui se fiche des claques dans la figure pour faire monter l'aggressivité pendant que son coach lui gueule dessus! Ca va être saignant! Allez Killgrieg on est avec toi!
Il reste encore bien du mystère à défricher. Merci des premières explications Charles, elles sont bien tournées. Même si, comme Sahkti, l'épisode "oranges" m'a (un peu) dérouté.
Ca se fait bien, hein, finalement, d'écrire des épisodes courts à la suite de quelqu'un?
J'entends Killgrieg qui se fiche des claques dans la figure pour faire monter l'aggressivité pendant que son coach lui gueule dessus! Ca va être saignant! Allez Killgrieg on est avec toi!
Mais vous êtes fous...
Qu'est-ce que je fais, là, maintenant, moi????
Si je me colle des claques tistou, c'est plus pour me punir de m'être engagé dans cette histoire de fou :-)). Je suis vert, à terre, knock-down... Troisième reprise, mes jambes ne supportent plus mon corps, je m'avance vers le monstre de charles...
Je relis et je reviens avec quelques questions Charles
Qu'est-ce que je fais, là, maintenant, moi????
Si je me colle des claques tistou, c'est plus pour me punir de m'être engagé dans cette histoire de fou :-)). Je suis vert, à terre, knock-down... Troisième reprise, mes jambes ne supportent plus mon corps, je m'avance vers le monstre de charles...
Je relis et je reviens avec quelques questions Charles
Bon !
Quelques passages, comme le soulignait Sahkti, ne sont pas très clairs.
Si j’ai bien compris, ce n’est pas Pelagia qu’il a peint mais belle et bien Adalgisa, la rivale de Norma.
Elle s’incarne plus tard et ramasse les oranges
J’ai bon là ? ?
En résumé :
C’est l’histoire d’un couple tout neuf (quelques mois) qui a fait l’erreur de se trouver à Rome en même temps que le diable qui y prenait ses vacances.
Ce bûcheur de diable ne trouve rien de mieux -plutôt que de se la couler douce- que d’aller voir les tableaux souvenir de ses précédents méfaits (adam et Eve) et de se poiler comme un vaurien. Il aperçoit le couple trop heureux et se décide de faire des heures sup en fabriquant un nouveau serpent, plutôt mieux roulé que le précédent, pour corrompre le pauvre Andrea ? ?
En gros, et formulé autrement, c’est ça Charles ou je vois midi à 23h30 ?
Quelques passages, comme le soulignait Sahkti, ne sont pas très clairs.
Si j’ai bien compris, ce n’est pas Pelagia qu’il a peint mais belle et bien Adalgisa, la rivale de Norma.
Elle s’incarne plus tard et ramasse les oranges
J’ai bon là ? ?
En résumé :
C’est l’histoire d’un couple tout neuf (quelques mois) qui a fait l’erreur de se trouver à Rome en même temps que le diable qui y prenait ses vacances.
Ce bûcheur de diable ne trouve rien de mieux -plutôt que de se la couler douce- que d’aller voir les tableaux souvenir de ses précédents méfaits (adam et Eve) et de se poiler comme un vaurien. Il aperçoit le couple trop heureux et se décide de faire des heures sup en fabriquant un nouveau serpent, plutôt mieux roulé que le précédent, pour corrompre le pauvre Andrea ? ?
En gros, et formulé autrement, c’est ça Charles ou je vois midi à 23h30 ?
Voilà, ce MM a pris son envol! Bravo, Charles, pour cet épisode 2 (né sous pression mais tu t'en es bien tiré ;o)).
Je trouve, contrairement aux avis précédents, que tu as déjà accéléré un peu le rythme, tu t'es orienté vers l'aspect intrigue.
Pas bête de reprendre "Norma" comme idée de récit. Je l'avais juste mis comme décor et tu nous fais naître une Adalgisa plus vraie que nature. Ca me plait, d'ailleurs.
Enfin, ça facilite encore moins la tâche du suivant...
Killgrieg: bonne m... !
Je trouve, contrairement aux avis précédents, que tu as déjà accéléré un peu le rythme, tu t'es orienté vers l'aspect intrigue.
Pas bête de reprendre "Norma" comme idée de récit. Je l'avais juste mis comme décor et tu nous fais naître une Adalgisa plus vraie que nature. Ca me plait, d'ailleurs.
Enfin, ça facilite encore moins la tâche du suivant...
Killgrieg: bonne m... !
Je crois que tu as tout compris, Grieg. Bien que Charles ne me semble pas avoir précisé que l'étrange peintre était le diable. Mainetnant, libre à toi d'en faire ce que tu veux...
il s'esclaffe devant adam et eve, il répète pieuse et pieux sans arrêt, connait leur nom sans leur avoir parlé, peint vite fait, retrouve andrea au marché sans l'avoir suivi la veille, crée une créature de rêve à partir d'un tableau... Si ce n'est pas le Diable c'est donc son frère..
il a un béret et un pull marin, le diable serait-il Français, voir breton??
il s'esclaffe devant adam et eve, il répète pieuse et pieux sans arrêt, connait leur nom sans leur avoir parlé, peint vite fait, retrouve andrea au marché sans l'avoir suivi la veille, crée une créature de rêve à partir d'un tableau... Si ce n'est pas le Diable c'est donc son frère..
Il sera ce que tu vas en faire Killgrieg. C'est toi qui a la main maintenant et tu orientes ça à ta manière. Chaque suivant doit s'adapter aux épisodes précédents. Il se doit de rester cohérent mais il a sa part de liberté/créativité. (sinon ça ne serait pas drôle!)
hep hep hep attention à ce que tu vas dire sur les Bretons ;0))))
hep hep hep attention à ce que tu vas dire sur les Bretons ;0))))
D'abord, ils ont des chapeaux ronds!
vive la Bretagne!
Ah ce diable de Charles! (bel et bien, vous aviez coriigé)
Ah ce diable de Charles! (bel et bien, vous aviez coriigé)
J'ai bien aimé ce second épisode, c'est vrai que l'on est resté dans le même style, c'est assez étonnant d'ailleurs (et c'est bien !)
J'aime le décor, avec les fontaines, les ruelles pavés (enfin moi je les imagine bien) ça donne envie d'y aller passer des vacances.
On continue notre petit récit, c'est bien écrit Charles, moi aussi y'a un truc un tout petit peu flou.
Adalgisa sort du tableau et devient Pelagia ?
Ou Pelagia est toujours Pelagia ?
Bref là je ne comprends pas tout.
En tout cas, Bravo Charles, j'ai bien aimé, Killgrieg bon courage :0)
Tistou c'est même pas vrai, moi je n'ai ni chapeau rond, ni pull marin, na !
J'aime le décor, avec les fontaines, les ruelles pavés (enfin moi je les imagine bien) ça donne envie d'y aller passer des vacances.
On continue notre petit récit, c'est bien écrit Charles, moi aussi y'a un truc un tout petit peu flou.
Adalgisa sort du tableau et devient Pelagia ?
Ou Pelagia est toujours Pelagia ?
Bref là je ne comprends pas tout.
En tout cas, Bravo Charles, j'ai bien aimé, Killgrieg bon courage :0)
Tistou c'est même pas vrai, moi je n'ai ni chapeau rond, ni pull marin, na !
Et voilà !
Qui a introduit le ver dans la pomme ? C’est Charles !
Il peut pas s’en empêcher. Tant mieux.
Un très bon épisode et qui permettra les développements les plus…
les plus… ahahahahahah ! (rictus sardonicus).
Bref, je trépigne. J’ai hâte.
Qui a introduit le ver dans la pomme ? C’est Charles !
Il peut pas s’en empêcher. Tant mieux.
Un très bon épisode et qui permettra les développements les plus…
les plus… ahahahahahah ! (rictus sardonicus).
Bref, je trépigne. J’ai hâte.
Ahah, moi aussi je rictus.
Grieg sors ton manuel de la vie romaine en 1950, ta liste des monuments, peintures, sculptures…
Chaud c’est chaud, merci Charles.
Grieg sors ton manuel de la vie romaine en 1950, ta liste des monuments, peintures, sculptures…
Chaud c’est chaud, merci Charles.
rictusera bien qui rictusera le dernier
J’ai bien aimé ce deuxième épisode très bien écrit. Je crois cependant que la clé que tu donnes dans le post suivant est indispensable et c’est pour cela que mon seul reproche serait qu’il aurait fallu, d’une manière ou d’un autre inclure ces explications dans ton texte.
Pour le reste, j’ai lu vos commentaires et je trouve que certains ne rendent pas bien justice à Charles. Son texte est plein de sous-entendus, mais c’est pour mieux vous permettre de suivre ou non les pistes qu’il donne. Ainsi, si tu penses que le peintre est le diable, c’est lui qui a fait craquer le sac d’orange pour permettre la rencontre d’André et d’Adalgisa. Si tu penses que ce n’est pas le diable, et bien, le sac a craqué. Point. Ce sont des choses qui arrivent. Pareil pour ce petit plus qu’il ajoute au tableau et Adalgisa paraît. Il y a un rapport de cause à effet, ou il n’y en a pas. C’est comme vous voulez.
Je n’ai ressenti aucune zone confuse.
Les sentiments d’Andréa pour Pélagia sont très bien exprimés d’une façon vraie et belle à la fois.
Je rappelle à Grieg que le principe du jeu est que chaque auteur fait ce qu’il veut du moment que cela ne va à l’encontre de rien de ce qui a été dit avant. Donc… Tu interprètes comme tu veux. Où est le problème ? Cool. Pourquoi tu t’affoles ?
:-)
Pour le reste, j’ai lu vos commentaires et je trouve que certains ne rendent pas bien justice à Charles. Son texte est plein de sous-entendus, mais c’est pour mieux vous permettre de suivre ou non les pistes qu’il donne. Ainsi, si tu penses que le peintre est le diable, c’est lui qui a fait craquer le sac d’orange pour permettre la rencontre d’André et d’Adalgisa. Si tu penses que ce n’est pas le diable, et bien, le sac a craqué. Point. Ce sont des choses qui arrivent. Pareil pour ce petit plus qu’il ajoute au tableau et Adalgisa paraît. Il y a un rapport de cause à effet, ou il n’y en a pas. C’est comme vous voulez.
Je n’ai ressenti aucune zone confuse.
Les sentiments d’Andréa pour Pélagia sont très bien exprimés d’une façon vraie et belle à la fois.
Je rappelle à Grieg que le principe du jeu est que chaque auteur fait ce qu’il veut du moment que cela ne va à l’encontre de rien de ce qui a été dit avant. Donc… Tu interprètes comme tu veux. Où est le problème ? Cool. Pourquoi tu t’affoles ?
:-)
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