Nana cherche du silence.
La jeune fille fermait les yeux. Comme si fermer les yeux pouvait l’aider à ne plus entendre.
A ne plus l’entendre lui.
Assise par terre sur la moquette de sa chambre, elle pleurait doucement, la tête dans ses mains tremblantes.
Et il fallait subir cette horreur une fois de plus, ( ne pas ) supporter les délires de ce gros connard imbibé d’alcool, et espèce de salope t’étais où encore grosse pute, puis des pleurs et des cris.
Salope !
La jeune fille se leva précipitamment, ouvrit la porte de sa chambre, ta gueule vieux con tais toi tais toi putain tais toi laisse maman tranquille tais toi, son alcoolo de père à la ramasse se tourna maladroitement, qu’est ce qu’elle a la fille de la salope bon dieu.
Une enceinte en bois vola à travers le couloir de l’appartement suivi de cris hystériques.
Salope !!
La jeune fille fonça vers le débris qu’elle avait appelé papa depuis dix-huit ans. Elle s’enfonça dans son gros bide flasque, un minipouss en lutte avec Shrek, et fit tomber le géant.
Des cris toujours plus violents. La progéniture à papa courait vers la porte d’entrée.
Sortir.
Sortir d’ici.
Reviens sale petite pute, t’es bien comme ta mère sale pute !
Il ne fallait pas lui dire deux fois, la gamine fit demi-tour vers son père, véritable bouteille de vinasse ambulante qui la regardait de ses yeux vitreux, tu vas voir c’qu’y va t’mettre dans la gueule papa, il est pas content pas content, tu vas voir ma fille tu vas v…, le coup parti brusquement, un bon gros coup de pied dans le visage.
Ahhhh ! Salope putain salope !!
La voix de sa mère dans la cuisine, mais qu’est ce que tu as fait à ton père, puis des pleurs.
Monsieur Whisky, les mains autour de son nez défoncé, cracha du sang vers sa fille, je vais te tuer, dents serrées, cri et deuxième coup plus violent que le premier dans le ventre puis troisième, puis quatrième, filet de bave aux commissures des lèvres formant un rictus de haine, ça c’est pour m’avoir tripoté vieux fils de pute, arrête Caroline, arrête de frapper ton père, ça c’est pour m’avoir frappé espèce d’enculé de merde, a chaque coup porté le corps répondait par une secousse molle, mon père, ce héros alcoolo ( et son corps en shamallow. )
Il s'agit juste d'un court passage mais j'aimerai savoir si vous appréciez.
merci.
La jeune fille fermait les yeux. Comme si fermer les yeux pouvait l’aider à ne plus entendre.
A ne plus l’entendre lui.
Assise par terre sur la moquette de sa chambre, elle pleurait doucement, la tête dans ses mains tremblantes.
Et il fallait subir cette horreur une fois de plus, ( ne pas ) supporter les délires de ce gros connard imbibé d’alcool, et espèce de salope t’étais où encore grosse pute, puis des pleurs et des cris.
Salope !
La jeune fille se leva précipitamment, ouvrit la porte de sa chambre, ta gueule vieux con tais toi tais toi putain tais toi laisse maman tranquille tais toi, son alcoolo de père à la ramasse se tourna maladroitement, qu’est ce qu’elle a la fille de la salope bon dieu.
Une enceinte en bois vola à travers le couloir de l’appartement suivi de cris hystériques.
Salope !!
La jeune fille fonça vers le débris qu’elle avait appelé papa depuis dix-huit ans. Elle s’enfonça dans son gros bide flasque, un minipouss en lutte avec Shrek, et fit tomber le géant.
Des cris toujours plus violents. La progéniture à papa courait vers la porte d’entrée.
Sortir.
Sortir d’ici.
Reviens sale petite pute, t’es bien comme ta mère sale pute !
Il ne fallait pas lui dire deux fois, la gamine fit demi-tour vers son père, véritable bouteille de vinasse ambulante qui la regardait de ses yeux vitreux, tu vas voir c’qu’y va t’mettre dans la gueule papa, il est pas content pas content, tu vas voir ma fille tu vas v…, le coup parti brusquement, un bon gros coup de pied dans le visage.
Ahhhh ! Salope putain salope !!
La voix de sa mère dans la cuisine, mais qu’est ce que tu as fait à ton père, puis des pleurs.
Monsieur Whisky, les mains autour de son nez défoncé, cracha du sang vers sa fille, je vais te tuer, dents serrées, cri et deuxième coup plus violent que le premier dans le ventre puis troisième, puis quatrième, filet de bave aux commissures des lèvres formant un rictus de haine, ça c’est pour m’avoir tripoté vieux fils de pute, arrête Caroline, arrête de frapper ton père, ça c’est pour m’avoir frappé espèce d’enculé de merde, a chaque coup porté le corps répondait par une secousse molle, mon père, ce héros alcoolo ( et son corps en shamallow. )
Il s'agit juste d'un court passage mais j'aimerai savoir si vous appréciez.
merci.
C'est noir, le fond est composé d'autant de clichés médiatico sordides - sans jugement, aucun — à croire que c'est un fait exprès ? Pour la forme, des redondances malheureuses :
"Assise par terre sur la moquette ". Puis un truc qui déroute completement, tu dis jeune fille (et non jeune femme) puis tu nous dis qu'elle a dix-huit piges, puis tu balances un "gamine". Ce qui fait que visualiser le personnage est extrêmement ardu. Et bonne cadence.
La bienvenue à toi.
"Assise par terre sur la moquette ". Puis un truc qui déroute completement, tu dis jeune fille (et non jeune femme) puis tu nous dis qu'elle a dix-huit piges, puis tu balances un "gamine". Ce qui fait que visualiser le personnage est extrêmement ardu. Et bonne cadence.
La bienvenue à toi.
Bienvenue à toi!
L'apport de ton texte demande franchise, je serai donc franche. Je n'ai pas trop aimé. Pour des raisons tout à fait subjectives: violence, répétitions, sujet. Ca m'a empêchée d'accrocher.
Mais on sent qu'il y a une certaine substance, dans ton texte, que tu veux humaniser ou déshumaniser tes personnages et que tu ne te contentes pas d'une narration sans effort (tu joues à plusieurs reprises avec les mots, utilises des images pour donner de la consistance à la scène) ce qui est une qualité.
Au plaisir donc de te (re)lire!
L'apport de ton texte demande franchise, je serai donc franche. Je n'ai pas trop aimé. Pour des raisons tout à fait subjectives: violence, répétitions, sujet. Ca m'a empêchée d'accrocher.
Mais on sent qu'il y a une certaine substance, dans ton texte, que tu veux humaniser ou déshumaniser tes personnages et que tu ne te contentes pas d'une narration sans effort (tu joues à plusieurs reprises avec les mots, utilises des images pour donner de la consistance à la scène) ce qui est une qualité.
Au plaisir donc de te (re)lire!
Je n'ai pas trop aimé non plus ni le sujet ni les " gros mots " à répétition. Mais le sujet veut ça, et tu le voulais aussi. Par contre je trouve que tu as un style. Et ça c'est bien. La ponctuation aléatoire c'est sans doute exprès. Parfois ça m'a géné. là aussi ça devait être nécessaire pour ne pas casser le rythme du récit, donc c'est vivant. Oui, du style. A confirmer.
oumpf vous aimez pas merci d'avoir lu. Un autre passage moins hardcore:)
Février se pointait doucement.
La ville restait toujours aussi morte.
N’importe quel moment de l’année, la ville était morte de toute façon.
Un bon gros dortoir de plusieurs dizaines de milliers d’habitants. A part regarder par la fenêtre de son studio, Amaury n’avait strictement rien à foutre.
L’ennui total.
Il se posa sur son sofa et se confectionna son joint sacré de midi et demi.
Il alluma la télé, zapping ultra rapide sur toutes les chaînes, une pub pour le nouveau shampooing à l’abricot attention il pique pas les yeux c’est génial, zap, deux guignols en train de préparer un plat, zap, une pétasse à gros nichons se trémoussant sur la merde musicale du moment, zap, tiens les infos, putain, c’est la merde en Irak quand même.
Tout comme beaucoup de ses semblables Amaury pensa que, et bah, payer cette putain de redevance pour avoir le choix entre une paire de nichons siliconés et une pub pour le shampooing, ils se font pas chier.
Comme beaucoup de ses semblables, il scotcha la bouche ouverte sur la trois, ils mettent vachement d’huile pour leurs beignets c’est ouf, rajouter un peu de sucre glace ? Ouais, après tout pourquoi pas.
Il ouvrit les yeux.
Les têtes de gland de l’émission culinaire avaient laissé la place à Barbara et Steven qui se prenaient la tête pour savoir si Steven était bien le père de cet enfant, merde.
Amaury s’étira longuement et jeta un coup d’œil sur son radio réveil. L’affichage digital rouge indiquait seize heures trente, wahou déjà, j’ai la dalle.
Une bouche pâteuse et sèche. Coup de langue sur les lèvres pour humidifier tout ça.
Amaury se dirigea lentement vers son frigo, trimballant avec lui son mal de tête qui à chaque pas devenait un peu plus insupportable.
Il ouvrit la porte du réfrigérateur, un Bio à manger avant le 5 janvier, ça fait un peu tard pour le bouffer, et hop basket avec le pot de yaourt dans la poubelle, trois points Michael, oh une tranche de jambon à peine moisie sur les cotés, re trois poins, putain je tiens la forme moi, c’est bon à savoir ça, je vais filer des conseils aux joueurs de la NBA, jouez foncedés les mecs, jouez foncedés, ça rentre à tous les coups.
Il claqua la porte de son coffre fort rempli de vide, enfila rapidement ses vieilles cortez trop petites.
Regard rapide vers le miroir. Putain la tête de fatigué. Aie aie.
Une seule idée en tête, aller à Franprix rayon charcuterie et confiserie.
Mmmm.
Février se pointait doucement.
La ville restait toujours aussi morte.
N’importe quel moment de l’année, la ville était morte de toute façon.
Un bon gros dortoir de plusieurs dizaines de milliers d’habitants. A part regarder par la fenêtre de son studio, Amaury n’avait strictement rien à foutre.
L’ennui total.
Il se posa sur son sofa et se confectionna son joint sacré de midi et demi.
Il alluma la télé, zapping ultra rapide sur toutes les chaînes, une pub pour le nouveau shampooing à l’abricot attention il pique pas les yeux c’est génial, zap, deux guignols en train de préparer un plat, zap, une pétasse à gros nichons se trémoussant sur la merde musicale du moment, zap, tiens les infos, putain, c’est la merde en Irak quand même.
Tout comme beaucoup de ses semblables Amaury pensa que, et bah, payer cette putain de redevance pour avoir le choix entre une paire de nichons siliconés et une pub pour le shampooing, ils se font pas chier.
Comme beaucoup de ses semblables, il scotcha la bouche ouverte sur la trois, ils mettent vachement d’huile pour leurs beignets c’est ouf, rajouter un peu de sucre glace ? Ouais, après tout pourquoi pas.
Il ouvrit les yeux.
Les têtes de gland de l’émission culinaire avaient laissé la place à Barbara et Steven qui se prenaient la tête pour savoir si Steven était bien le père de cet enfant, merde.
Amaury s’étira longuement et jeta un coup d’œil sur son radio réveil. L’affichage digital rouge indiquait seize heures trente, wahou déjà, j’ai la dalle.
Une bouche pâteuse et sèche. Coup de langue sur les lèvres pour humidifier tout ça.
Amaury se dirigea lentement vers son frigo, trimballant avec lui son mal de tête qui à chaque pas devenait un peu plus insupportable.
Il ouvrit la porte du réfrigérateur, un Bio à manger avant le 5 janvier, ça fait un peu tard pour le bouffer, et hop basket avec le pot de yaourt dans la poubelle, trois points Michael, oh une tranche de jambon à peine moisie sur les cotés, re trois poins, putain je tiens la forme moi, c’est bon à savoir ça, je vais filer des conseils aux joueurs de la NBA, jouez foncedés les mecs, jouez foncedés, ça rentre à tous les coups.
Il claqua la porte de son coffre fort rempli de vide, enfila rapidement ses vieilles cortez trop petites.
Regard rapide vers le miroir. Putain la tête de fatigué. Aie aie.
Une seule idée en tête, aller à Franprix rayon charcuterie et confiserie.
Mmmm.
"oumpf vous aimez pas merci d'avoir lu"
3 réponses et tu conclus, très vite "vous aimez pas". D'abord c'est rapide comme réaction, ensuite ça n'est pas exactement ce que j'ai lu. Je pense que ton sujet, bien dur, peut mettre mal à l'aise, mais je lis dans les 3 posts qu'il y a de la qualité, du style. C'est vrai que moi aussi j'ai du mal à situer la jeune fille?, la gamine?, c'est vrai aussi que la ponctuation très lâche, me gêne un peu. Même si je me dis que c'est un effet de style pour accentuer la situation de désarroi et d'urgence de la fille en question. Enfin, bon, tu as bien compris que ce n'était pas une fin de non-recevoir que ces avis? Et puis j'oubliais, bienvenue à toi!
3 réponses et tu conclus, très vite "vous aimez pas". D'abord c'est rapide comme réaction, ensuite ça n'est pas exactement ce que j'ai lu. Je pense que ton sujet, bien dur, peut mettre mal à l'aise, mais je lis dans les 3 posts qu'il y a de la qualité, du style. C'est vrai que moi aussi j'ai du mal à situer la jeune fille?, la gamine?, c'est vrai aussi que la ponctuation très lâche, me gêne un peu. Même si je me dis que c'est un effet de style pour accentuer la situation de désarroi et d'urgence de la fille en question. Enfin, bon, tu as bien compris que ce n'était pas une fin de non-recevoir que ces avis? Et puis j'oubliais, bienvenue à toi!
Pour le second, toujours plutôt sujet noir. Noir par le peu d'espérances que ça laisse comme impression. Même style de ponctuation. Est-ce vraiment utile à tout coup d'avoir une ponctuation si relâchée? Un peu de mal quand même à m'identifier au personnage, au décor. Il me manque des choses pour cela. Peut être simplement quelques détails? Ou peut être n'ai-je pas envie? Alors il faudrait me donner envie!
L'excès nuit en tout et dans le cas présent, trop d'insultes finissent par tuer le texte et lui enlever toute force. Du coup, ça en deviendrait presque banal, voire un roman de gare. Pas sympa ce que je dis, je sais mais c'est vraiment comme ça que j'ai ressenti le truc, un article de "Détective" ou quelque chose comme ça. Le style est vraiment à retravailler (je n'écris pas, donc facile pour moi de dire ça, mais je lis et c'est ce que je ressens).
Tistou le truc c'est qu'il s'agit de deux extraits d'une nouvelle relativement longue donc forcément s'identifier aux personnages ne doit pas etre évident en tous cas merci pour ton avis et oui le style est tout a fait voulu les gros mots à foison,la ponctuation un peu olé olé c voulu aussi, le sujet est certes noir mais il s'agit d'un passage vraiment violent ou tout est exagéré (le premier) pour finalement que le lecteur prenne cette scene grand guignol au second degré.
Apperamment j'ai merdé parce que les lecteurs ne captent pas.
Tant pis.
Salut a toi :)
Apperamment j'ai merdé parce que les lecteurs ne captent pas.
Tant pis.
Salut a toi :)
Apperamment j'ai merdé parce que les lecteurs ne captent pas.
Tant pis.
Oui, et alors tu en déduis quoi? On ne te voit plus? Tu réfléchis? Tu reproposes autre chose?
Tant pis.
Oui, et alors tu en déduis quoi? On ne te voit plus? Tu réfléchis? Tu reproposes autre chose?
je n'en déduis rien de particulier.La plupart des personnes qui m'ont lu ont précisé qu'il y avait un style, ce qui est plutot bon signe.
Après qu'il y ai des choses à retravailler, oui, certes.
Il s'agit d'un brouillon.
Quand au sujet noir, c'est un choix volontaire.
Et je ne suis qu'un ptit djeune's de 22 ans en pleine crise d'adolescence.
:)
Après qu'il y ai des choses à retravailler, oui, certes.
Il s'agit d'un brouillon.
Quand au sujet noir, c'est un choix volontaire.
Et je ne suis qu'un ptit djeune's de 22 ans en pleine crise d'adolescence.
:)
Allez, je vais être lapidaire... je n'ai pas aimé parce que le contexte est absent et que le texte ne me laisse pas le créer en entrant beaucoup trop vite en situation... Le contexte aurait été en creux ou totalement absent que mon avis aurait peut-être différé, mais là, il est délayé par bribes au fil de la querelle et, pour ma part, je n'accroche pas à ce choix narratif là.
Sinon, c'est pas une excuse d'avoir 22 ans... Plus on est vieux, plus on est cons comme disait l'autre ;-) Mais si tu aimes écrire, y a pas de raisons de pas continuer ;-) ;-)
Sinon, c'est pas une excuse d'avoir 22 ans... Plus on est vieux, plus on est cons comme disait l'autre ;-) Mais si tu aimes écrire, y a pas de raisons de pas continuer ;-) ;-)
j'ai hésité pas mal avant de commenter tes textes; difficile d'exprimer ce que je ressentais sans tourner autour du pot ou faire vieux con.
J'ai hésité parce que j'aime vraiment beaucoup ta façon de jouer des mots, des rythmes et des idées... J'ai senti du talent, vraiment, une musique nouvelle...
Je n'ai aucun problème avec les insultes et certains de mes écrivains préférés sont orduriers... Alors quoi?
Tu dis que ces extraits font partie d'une longue nouvelle... c'est peut-être ça... Envoie la totale!
Tu dis que c'est un brouillon... Alors bosse dessus!
le style est rare et tu en as.
dans tes deux extraits il me manque un truc pour vraiment décoller... pourtant, je me répète, je trouve ça bon.
parole d'un ado de 40 ans en pleine crise d'adolescence, qui ne peut plus courir 100m sans cracher ses poumons :-)
J'ai hésité parce que j'aime vraiment beaucoup ta façon de jouer des mots, des rythmes et des idées... J'ai senti du talent, vraiment, une musique nouvelle...
Je n'ai aucun problème avec les insultes et certains de mes écrivains préférés sont orduriers... Alors quoi?
Tu dis que ces extraits font partie d'une longue nouvelle... c'est peut-être ça... Envoie la totale!
Tu dis que c'est un brouillon... Alors bosse dessus!
le style est rare et tu en as.
dans tes deux extraits il me manque un truc pour vraiment décoller... pourtant, je me répète, je trouve ça bon.
parole d'un ado de 40 ans en pleine crise d'adolescence, qui ne peut plus courir 100m sans cracher ses poumons :-)
encore un truc, ce serait bien que tu prennes le temps de lire et de commenter les textes des autres, d'abord, ça aide tout le monde d'avoir des remarques, ensuite tu pourras découvrir l'univers de ceux qui te critiquent.
(Ma politique; j'envoie mon avis sur le premier texte d'un nouvel arrivant, si celui n'entre pas dans l'échange, je renonce.)
(Ma politique; j'envoie mon avis sur le premier texte d'un nouvel arrivant, si celui n'entre pas dans l'échange, je renonce.)
Balamento, c'est pas une excuse quand je dis que j'ai 22 ans, c'est pour rire. Justement c'est parce que c'est pas une excuse que je dis ça enfin c'est pour rire.
Je viens de relire mon explication c'est pas tres clair enfin bref.
Killgrieg kan tu dis que tes écrivains cultes sont orduriers, lesquels sont-ils?
Je suis fan de Houellebecq, Ravalec, Despentes ou encore Dantec, Nicolas Rey.
Si tu pouvais m'en indiquer d'autres appartenant à cette littérature un peu "olé olé" merci d'avance ;)
Dantec est un peu l'intrus de ma liste, son style étant plutot "classique" , "bien écrit" et flirtant plus ou moins avec la science-fiction futuristico_polaro_trasho_neuro_polar.
J'aime ces étiquettes qui ne servent à rien.
Ciao
Je viens de relire mon explication c'est pas tres clair enfin bref.
Killgrieg kan tu dis que tes écrivains cultes sont orduriers, lesquels sont-ils?
Je suis fan de Houellebecq, Ravalec, Despentes ou encore Dantec, Nicolas Rey.
Si tu pouvais m'en indiquer d'autres appartenant à cette littérature un peu "olé olé" merci d'avance ;)
Dantec est un peu l'intrus de ma liste, son style étant plutot "classique" , "bien écrit" et flirtant plus ou moins avec la science-fiction futuristico_polaro_trasho_neuro_polar.
J'aime ces étiquettes qui ne servent à rien.
Ciao
hubert selby junior (le démon est un chef d'oeuvre)
bukowsky
Brett easton Ellis
pas loin de ton univers lis "lila dit ça" de Chimo
henri Miller dans un autre genre...
voilà quelques semaines de lecture, d'autant plus que si tu veux qu'on en parle encore il va falloir que tu t'attaques aux textes de CL :-))
bukowsky
Brett easton Ellis
pas loin de ton univers lis "lila dit ça" de Chimo
henri Miller dans un autre genre...
voilà quelques semaines de lecture, d'autant plus que si tu veux qu'on en parle encore il va falloir que tu t'attaques aux textes de CL :-))
brett et bukowski je v m'y attaquer.
OK pour les autres merci.
Je viens de poster un truc sur tes écrits.
Sinon c'est qui CL?
OK pour les autres merci.
Je viens de poster un truc sur tes écrits.
Sinon c'est qui CL?
CL c'est Critiques Libres
on a posté presque en même temps, j'avais pas vu ta critique; N. Rey me va bien que son dernier soit un peu terne.
Va dans le catalogue du site, plusieurs textes méritent d'être lus.
"Lila dit ça" est vraiment très proche de ton univers, petit bouquin inventif et moderne... Tu verras!
on a posté presque en même temps, j'avais pas vu ta critique; N. Rey me va bien que son dernier soit un peu terne.
Va dans le catalogue du site, plusieurs textes méritent d'être lus.
"Lila dit ça" est vraiment très proche de ton univers, petit bouquin inventif et moderne... Tu verras!
Apperamment j'ai merdé parce que les lecteurs ne captent pas.T'inquiète pas, va! Personnellement ce n'est pas que je n'ai pas "capté", c'est plus l'accroche qui n'a pas eu lieu, rien de grave, ce serait bien effectivement qu'on connaisse la totalité de l'oeuvre. Moi j'insiste sur ton style. Surtout ne laisse pas tomber.
Bonjour Fugazi et bienvenue à toi !
Moi, j’aime bien ton deuxième extrait ci-dessus. C’est écrit comme on pense, sans filtre et j’aime ça et je sais que c’est pas si facile à rendre comme ça. Et là, c’est bien rendu, on y est, en tous cas moi, j’y suis.
Maintenant un texte plus long… je demande à voir.
Je crois que ce qui tue ton premier extrait c’est l’emploi du passé. Essaie un peu au présent, je crois que ça aurait plus de gueule.
Ben voilà. Fais pas trop gaffe à tous nos commentaires, garde ton cap, c’est encore la meilleure chose à faire !
Moi, j’aime bien ton deuxième extrait ci-dessus. C’est écrit comme on pense, sans filtre et j’aime ça et je sais que c’est pas si facile à rendre comme ça. Et là, c’est bien rendu, on y est, en tous cas moi, j’y suis.
Maintenant un texte plus long… je demande à voir.
Je crois que ce qui tue ton premier extrait c’est l’emploi du passé. Essaie un peu au présent, je crois que ça aurait plus de gueule.
Ben voilà. Fais pas trop gaffe à tous nos commentaires, garde ton cap, c’est encore la meilleure chose à faire !
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