« Adieu monde cruel ! »
La déclaration de Prauvice venait de tomber cinglante comme un couperet sinistre coupant le souffle à la petite assemblée qui attendait à présent dans un silence figé que l’ascenseur s’ébranle. Ce qu’il ne tarda pas à faire en émettant une longue plainte déchirante qui se mua bientôt en un sifflement strident et atteignit un tel paroxysme dans l’aigu que tout ce que l’immeuble comportait de verre vola soudain en éclat. Tout. Fenêtres, portes- fenêtres, miroirs, écrans d’ordinateurs et de téléviseurs, verres à boire et lunette, vases de cristal et … un bocal à poisson. Tout.
Puis, la machine infernale s’emballa et effectua une série d’aller retour ultra rapides pour finalement s’essouffler en hoquetant et s’arrêter dans un soupir, un râle ultime. Pendant une longue minute on entendit plus rien mais personne n’osait bouger. Ce fut Esther, qui la première, rompit enfin le silence. « Il s’est arrêté chez moi, au cinquième, fit-elle. Allons voir ! ». Tous suivirent à la queue leu leu dans la cage d’escalier. Une espèce de vapeur d’étuve s’échappait de l’ascenseur. Esther avait déjà une main sur la clenche mais une voix grave et virile, celle du fringant Auguste, clama soudain d’une manière impérative : «Mais arrêtez Mademoiselle ! Vous n’y pensez pas ! C’est à un homme de prendre ce risque. » et joignant le geste à la parole, Auguste ouvrit la porte de l’ascenseur. Dans un premier temps on n’y vit rien du tout à cause de la brume très dense qui régnait dans l’habitacle. Puis, peu à peu, se dessina une étrange silhouette, celle d’une femme vêtue de long. Elle était jeune et ronde, oui, très ronde ou… oui, cela se confirmait, visiblement enceinte jusqu’aux yeux. Elle agitait nerveusement un éventail de dentelle. Elle fit un pas émergeant de la brume sur le pallier. Elle appela : « Emérence ! Emérence ! Mais où vous cachez-vous à la fin ! Allez chercher mes sels ! Je sens que je me pâme ! ». Le petit groupe des locataires regardait la scène, les yeux écarquillés, perplexes parce que cette femme-là, cette femme… était la copie conforme de quelqu’un qu’ils avaient déjà vu mais où ? Puis, soudain Charlotte s’écria : « Ben merde alors ! C‘est Armande Altaï de la Star AC ! » Mais cela ne se pouvait, cette femme avait au moins trente-cinq ans de moins que la dite Diva médiatique. Cependant qui qu’elle fût cette dame esquissa encore un pas chancelant avant de s’effondrer mollement de façon extrêmement théâtraaale. Ce qui eut pour effet de remettre en branle l’instinct d’infirmière d’Esther qui s’affaira derechef et ordonna que l’on fit transporter le corps de la dame dans ses appartements.
Charlotte ramassa un sac qui traînait par terre et en explora le contenu.
- Il y a une lettre s’écia-t-elle ! Mon Dieu ! Cela vient d’Indochine !
- Ouvre-là ! Allez ! l’incitèrent les autres tout excités.
Charlotte s’assit sur le canapé et lut à voix haute :
Hanoï, le 24 Mai de l’an Mil neuf cent vingt.
Ma tendre amie, ma douce Amélie,
Votre dernière missive m’annonce une nouvelle qui m’emplit le cœur de joie. Ainsi donc, le patronyme de Prauvice est enfin assuré de perdurer ! Et cela doublement puisque vous subodorez qu’il s’agit de jumeaux. Je ne doute pas un seul instant que vous me ferez là deux solides gaillards, comme vous en a fait la prédiction votre très charmante sœur Emérence dont je tiens le jugement en grande estime. Et, sachez qu’ en outre je viens de faire seller mon cheval pour aller brûler deux cierges à l’église la plus proche. Pour les prénoms, j’en ai coché deux sur votre liste : ……………………………………………………
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La déclaration de Prauvice venait de tomber cinglante comme un couperet sinistre coupant le souffle à la petite assemblée qui attendait à présent dans un silence figé que l’ascenseur s’ébranle. Ce qu’il ne tarda pas à faire en émettant une longue plainte déchirante qui se mua bientôt en un sifflement strident et atteignit un tel paroxysme dans l’aigu que tout ce que l’immeuble comportait de verre vola soudain en éclat. Tout. Fenêtres, portes- fenêtres, miroirs, écrans d’ordinateurs et de téléviseurs, verres à boire et lunette, vases de cristal et … un bocal à poisson. Tout.
Puis, la machine infernale s’emballa et effectua une série d’aller retour ultra rapides pour finalement s’essouffler en hoquetant et s’arrêter dans un soupir, un râle ultime. Pendant une longue minute on entendit plus rien mais personne n’osait bouger. Ce fut Esther, qui la première, rompit enfin le silence. « Il s’est arrêté chez moi, au cinquième, fit-elle. Allons voir ! ». Tous suivirent à la queue leu leu dans la cage d’escalier. Une espèce de vapeur d’étuve s’échappait de l’ascenseur. Esther avait déjà une main sur la clenche mais une voix grave et virile, celle du fringant Auguste, clama soudain d’une manière impérative : «Mais arrêtez Mademoiselle ! Vous n’y pensez pas ! C’est à un homme de prendre ce risque. » et joignant le geste à la parole, Auguste ouvrit la porte de l’ascenseur. Dans un premier temps on n’y vit rien du tout à cause de la brume très dense qui régnait dans l’habitacle. Puis, peu à peu, se dessina une étrange silhouette, celle d’une femme vêtue de long. Elle était jeune et ronde, oui, très ronde ou… oui, cela se confirmait, visiblement enceinte jusqu’aux yeux. Elle agitait nerveusement un éventail de dentelle. Elle fit un pas émergeant de la brume sur le pallier. Elle appela : « Emérence ! Emérence ! Mais où vous cachez-vous à la fin ! Allez chercher mes sels ! Je sens que je me pâme ! ». Le petit groupe des locataires regardait la scène, les yeux écarquillés, perplexes parce que cette femme-là, cette femme… était la copie conforme de quelqu’un qu’ils avaient déjà vu mais où ? Puis, soudain Charlotte s’écria : « Ben merde alors ! C‘est Armande Altaï de la Star AC ! » Mais cela ne se pouvait, cette femme avait au moins trente-cinq ans de moins que la dite Diva médiatique. Cependant qui qu’elle fût cette dame esquissa encore un pas chancelant avant de s’effondrer mollement de façon extrêmement théâtraaale. Ce qui eut pour effet de remettre en branle l’instinct d’infirmière d’Esther qui s’affaira derechef et ordonna que l’on fit transporter le corps de la dame dans ses appartements.
Charlotte ramassa un sac qui traînait par terre et en explora le contenu.
- Il y a une lettre s’écia-t-elle ! Mon Dieu ! Cela vient d’Indochine !
- Ouvre-là ! Allez ! l’incitèrent les autres tout excités.
Charlotte s’assit sur le canapé et lut à voix haute :
Hanoï, le 24 Mai de l’an Mil neuf cent vingt.
Ma tendre amie, ma douce Amélie,
Votre dernière missive m’annonce une nouvelle qui m’emplit le cœur de joie. Ainsi donc, le patronyme de Prauvice est enfin assuré de perdurer ! Et cela doublement puisque vous subodorez qu’il s’agit de jumeaux. Je ne doute pas un seul instant que vous me ferez là deux solides gaillards, comme vous en a fait la prédiction votre très charmante sœur Emérence dont je tiens le jugement en grande estime. Et, sachez qu’ en outre je viens de faire seller mon cheval pour aller brûler deux cierges à l’église la plus proche. Pour les prénoms, j’en ai coché deux sur votre liste : ……………………………………………………
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Zut! Pas top la mise en page!
Parait que c'est à moi derrière. Parait.
Accablé de doutes et d'incertitudes, je suis. Et pas qu'un peu.
On est parti pour un grand feu d'artifice? C'est ça? Avec bouquet final?
On va voir ce qu'on peut faire avec tout ça, Kilis, merci en tous cas. Souhaite moi bonne chance?
Accablé de doutes et d'incertitudes, je suis. Et pas qu'un peu.
On est parti pour un grand feu d'artifice? C'est ça? Avec bouquet final?
On va voir ce qu'on peut faire avec tout ça, Kilis, merci en tous cas. Souhaite moi bonne chance?
Avec plaisir: Bonne chance, Tistou!
La lettre est une bonne idée.
La phrase suivante est un peu longue, je trouve :
"Ce qu’il ne tarda pas à faire en émettant une longue plainte déchirante qui se mua bientôt en un sifflement strident et atteignit un tel paroxysme dans l’aigu que tout ce que l’immeuble comportait de verre vola soudain en éclat"
C'est du Proust ;)
Sinon, je ne connais par Armande Altai. La star'Ac c'est pas trop mon genre musical.
La phrase suivante est un peu longue, je trouve :
"Ce qu’il ne tarda pas à faire en émettant une longue plainte déchirante qui se mua bientôt en un sifflement strident et atteignit un tel paroxysme dans l’aigu que tout ce que l’immeuble comportait de verre vola soudain en éclat"
C'est du Proust ;)
Sinon, je ne connais par Armande Altai. La star'Ac c'est pas trop mon genre musical.
Bon épisode! Je comprends mieu la question pour les prénoms des frères Prauvice.
C'est un peu court, je venais juste de rentrer dans l'histoire et hop! c'et déjà fini! :-( Le style est bon, les énênements s'enchaînent et voilà encore un nouveau personnage.
La seule question que je me pause c'est que jusqu'alors, l'ascenseur ne rendait que les personnes qu'il avait déjà fait disparaître... Et la mère des jumeaux Prauvice n'a pas pu disparâitre dans l'ascenseur avant d'avoir ses bébés sinon Prauvice (et &) ne serait pas là... De plus, à son époque, l'ascenseur n'avait pas encore été créé... ... ... Désolée!! C'est mon esprit scientifique qui ressort! J'arrête!
Sinon, j'aime bien la tournure de la lettre, cette façon de parler rend très bien dans le contexte. Bref, j'aime bien cet épisode et j'aurais aimé qu'il soit plus long pour pouvoir en profiter d'avantage!
C'est un peu court, je venais juste de rentrer dans l'histoire et hop! c'et déjà fini! :-( Le style est bon, les énênements s'enchaînent et voilà encore un nouveau personnage.
La seule question que je me pause c'est que jusqu'alors, l'ascenseur ne rendait que les personnes qu'il avait déjà fait disparaître... Et la mère des jumeaux Prauvice n'a pas pu disparâitre dans l'ascenseur avant d'avoir ses bébés sinon Prauvice (et &) ne serait pas là... De plus, à son époque, l'ascenseur n'avait pas encore été créé... ... ... Désolée!! C'est mon esprit scientifique qui ressort! J'arrête!
Sinon, j'aime bien la tournure de la lettre, cette façon de parler rend très bien dans le contexte. Bref, j'aime bien cet épisode et j'aurais aimé qu'il soit plus long pour pouvoir en profiter d'avantage!
J’ai beaucoup aimé cet épisode et moi, Olivier, je n’ai pas trouvé cette phrase trop longue. J’ai trouvé au contraire le tout premier paragraphe, très bien monté (sauf lunette que j’aurais bien vu avec un s). Comme quoi, les goûts…Non, vraiment, j’ai trouvé cet épisode bien écrit. Mais court, Kicilou a raison. On voit que tu as été malade, la production est encore un peu faible.
Mais dis donc, elle ne se gêne pas Charlotte à fouiller dans les sacs comme ça ! Enfin, si ça fait avancer l’histoire…
La seule critique, c’est l’apparition de ce nouveau personnage. Si chaque épisode nous amène maintenant un personnage nouveau… Et l’apparition de la mère peut-elle expliquer la disparition du fils ? J’aurais dit non. Qu’il retourne au néant, OK, mais que cela fasse apparaître sa mère… hum, hum. Je suis dubitative . Et qu’est-ce qu’on va en faire, maintenant, d’Amélie ? Et puis, pour récupérer les Prauvis…
Que de problèmes !!!
Mais dis donc, elle ne se gêne pas Charlotte à fouiller dans les sacs comme ça ! Enfin, si ça fait avancer l’histoire…
La seule critique, c’est l’apparition de ce nouveau personnage. Si chaque épisode nous amène maintenant un personnage nouveau… Et l’apparition de la mère peut-elle expliquer la disparition du fils ? J’aurais dit non. Qu’il retourne au néant, OK, mais que cela fasse apparaître sa mère… hum, hum. Je suis dubitative . Et qu’est-ce qu’on va en faire, maintenant, d’Amélie ? Et puis, pour récupérer les Prauvis…
Que de problèmes !!!
Moi aussi comme Sib, je l'ai trouvé très bien écrit ce début !
La suite aussi d'ailleurs, j'aime bien l'histoire, et puis la lettre, c'est bien pensé.
Bon courage Tistou :0)
La suite aussi d'ailleurs, j'aime bien l'histoire, et puis la lettre, c'est bien pensé.
Bon courage Tistou :0)
J'applaudis allègrement, comme toujours... De l'idée, du rythme, du nouveau. Comme Sib, je m'étonne aussi un peu de l'apparition de la mère qui donne de nouvelles règles au fonctionnement de notre ascenseur, mais la logique n'est peut-être pas le point d'honneur de notre MM2, ni le rationnel, d'ailleurs! Alors... pourquoi pas?? J'aime le décalage et ces personnages sortis du temps... Et comme certains disparaissent, je ne vois pas d'inconvénient à ce que d'autres apparaissent!
Petite question: Auguste ne s'appelait-il pas Gustave?
Petite question: Auguste ne s'appelait-il pas Gustave?
Oups! alors on va dire Augustave, non? Non.
Petite question: Auguste ne s'appelait-il pas Gustave?
Bah, c'est presque un anagramme ;0)
Ceci est un appel de détresse, plus particulièrement pour Yali puisqu'il est le suivant, mais il est arrivé quelque chose de grave dans ma vie, qui m'empêche de me concentrer comme il le faudrait pour réaliser l'épisode suivant. Disons que je passe mon tour. Pardonnez-moi mais il ne s'agit pas d'un lachage. Une mise entre parenthèses?
S'il vous plait continuez sans moi pour l'instant, je vous rejoindrai dès que je le pourrai.
S'il vous plait continuez sans moi pour l'instant, je vous rejoindrai dès que je le pourrai.
Comme mon message a été diffusé sur 3 fuseaux différents (celui ci, Invitation6 et épisode 26 du MM2), je suggère que si réactions il y a, elles se fassent sur Invitation6.
Excellent, rapide, bien enlevé, c'est tout bon ! Au moins on s'amuse ici !
Des nouveaux personnages pleins d'avenir et puis l'ascenseur qui devient un très grand personnage ; mais aussi disparitions d'autres personnages comme le poisson par exemple. Ca va être difficile de le repêcher cette fois-ci !
Des nouveaux personnages pleins d'avenir et puis l'ascenseur qui devient un très grand personnage ; mais aussi disparitions d'autres personnages comme le poisson par exemple. Ca va être difficile de le repêcher cette fois-ci !
C’est vrai que ça paraît court, mais il vaut mieux la qualité que la quantité !! Bon c’est vrai, les deux, c’est mieux encore, mais on va se plaindre quand même !
Les différents évènements sont bien décrits, c’est animé, vivant, avec de la précision pourtant.. Quelques virgules supplémentaires auraient permis, parfois, peut-être, de rendre la lecture encore plus facile ?
Et rien contre les phrases longues !! Au contraire ! C’est sans doute plus dur à faire qu’une phrase courte, mais quand c’est bien construit et bien balancé, c’est sûrement mieux qu’un texte expédié à la mitraillette !Halte à la tendance hégémonique du sujet-verbe-uncomplément ! Vive Proust !! Na !
Bravo Killis.. La prochaine fois, tu nous glisses un beau poème dans ta non moins belle prose ? Une déclaration d'amour en vers ?! :o)
Information : je me souviens qu’une arrière-bisaïeulle à moi disait qu’une foule de prénoms avaient été évoqués (Aimery, Arsène, Anselme, .., parmi bien d’autres..), mais à ce moment-là bien sûr, personne ne savait lesquels seraient choisis.
A propos, félicitaions pour Augustave ! difficile d'avoir meilleur goût..
Et puis (in cauda venenum)..
Que nous dit le petit Robert à ce sujet ?
"CLENCHE : 1. Petit bras de levier ... 2. (REGIONAL. Belgique) Poignée de porte."
Ah ! Tu es donc Belge ! Voilà qui sans doute explique l'usage inhabituel que tu fais parfois des mots en "enche, anche" ?? Oui, sûrement.. Tu es donc tout à fait pardonnée.. :o)
Les différents évènements sont bien décrits, c’est animé, vivant, avec de la précision pourtant.. Quelques virgules supplémentaires auraient permis, parfois, peut-être, de rendre la lecture encore plus facile ?
Et rien contre les phrases longues !! Au contraire ! C’est sans doute plus dur à faire qu’une phrase courte, mais quand c’est bien construit et bien balancé, c’est sûrement mieux qu’un texte expédié à la mitraillette !Halte à la tendance hégémonique du sujet-verbe-uncomplément ! Vive Proust !! Na !
Bravo Killis.. La prochaine fois, tu nous glisses un beau poème dans ta non moins belle prose ? Une déclaration d'amour en vers ?! :o)
Information : je me souviens qu’une arrière-bisaïeulle à moi disait qu’une foule de prénoms avaient été évoqués (Aimery, Arsène, Anselme, .., parmi bien d’autres..), mais à ce moment-là bien sûr, personne ne savait lesquels seraient choisis.
A propos, félicitaions pour Augustave ! difficile d'avoir meilleur goût..
Et puis (in cauda venenum)..
Esther avait déjà une main sur la clencheTu veux dire "la poignée" ?? Pas "le manche", tout de même ?! A mon avis, ni clenche, ni manche, ne sont vraiment corrects .. (:-)..
Que nous dit le petit Robert à ce sujet ?
"CLENCHE : 1. Petit bras de levier ... 2. (REGIONAL. Belgique) Poignée de porte."
Ah ! Tu es donc Belge ! Voilà qui sans doute explique l'usage inhabituel que tu fais parfois des mots en "enche, anche" ?? Oui, sûrement.. Tu es donc tout à fait pardonnée.. :o)
clenche, belge?
c'est pour rire ou c'est vraiment noté ça?
Parce que chez moi (en France) on dit ça aussi...
c'est pour rire ou c'est vraiment noté ça?
Parce que chez moi (en France) on dit ça aussi...
clenche, belge?
c'est pour rire ou c'est vraiment noté ça?
Parce que chez moi (en France) on dit ça aussi...
Oui, chez moi aussi. Mais comme mon chez moi originel est la Picardie ... les Belges sont mes cousins!
Par ailleurs, in Dictionnaire étymologique LAROUSSE, on trouve :
1ère apparition dans un texte picard au XIIIème siècle, le mot est du N. et du N.E..
Par ailleurs, pour "déclencher", on fait référence à ...? clenche! Bingo!
Trop court!! Dommage :(
Parce que c'est si bien!
Plein d'idées et puis de la nouveauté. Au diable les convenances à propos de la logique des cellules et de l'ascenseur, c'est bien que cette histoire sème encore ci et là ses petits grains de folie et de surréalisme, ça met de l'ambiance et ouvre de nouvelles pistes à explorer.
L'apparition de la maman de Prauvice and Co est un beau chapitre à développer, je sens qu'il y a moyen de faire quelque chose avec elle, et puis aussi avec le beau Gustave. Ce serait l'occasion de remettre nos petites vieilles chipies à l'honneur, tiens! :)
Parce que c'est si bien!
Plein d'idées et puis de la nouveauté. Au diable les convenances à propos de la logique des cellules et de l'ascenseur, c'est bien que cette histoire sème encore ci et là ses petits grains de folie et de surréalisme, ça met de l'ambiance et ouvre de nouvelles pistes à explorer.
L'apparition de la maman de Prauvice and Co est un beau chapitre à développer, je sens qu'il y a moyen de faire quelque chose avec elle, et puis aussi avec le beau Gustave. Ce serait l'occasion de remettre nos petites vieilles chipies à l'honneur, tiens! :)
clenche, belge?C’est pour rire ET c’est vraiment noté ça, Lyra !! :o)
c'est pour rire ou c'est vraiment noté ça? Parce que chez moi (en France) on dit ça aussi..
On peut rire aussi avec des choses Vraies !!
Par ailleurs, pour "déclencher", on fait référence à ...? clenche! Bingo!« Clenche » est un mot ancien qui désigne un système de fermeture ancien, et pour une serrure moderne, je pense que le mot désigne le petit bout de ferraille qui glisse dans le chambranle et bloque la porte. Si c’est vrai, la clenche n’est pas la poignée, elle est actionnée par elle !! Grosse nuance, monsieur Tistou !!
Bon.. c’est vrai qu’on emploie souvent le mot clenche au lieu de poignée (donc ! :o) ), dans beaucoup de régions de France, et « Killis belge », je l’ai trouvé beaucoup plus sûrement sur sa fiche ! :o)
C’est une erreur de sa part d’avoir utilisé mal à propos ce mot en « enche », elle a été punie par là où elle a péché !! :o)
Alors mea culpanche, Provis.
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