Le gâteau sec croquait sous le dentier de Lucette- Lucette Noel- qui venait d’arriver chez elle. Euphrosyne lui avait sauté dessus dès son arrivée et elle n’avait encore pu ôter son chapeau. Et définitivement la tasse de thé qu’Euphrosine lui proposait était beaucoup trop infusée. Elle y trempa ses lèvres. Et tièdasse en plus!
La tête lui tournait un peu de son périple sous cette chaleur et du babillage d’Euphrosine. D ‘ailleurs elle n’y comprenait rien. Entre un ordinateur qu’elle aurait commandé, l’ascenseur qui semblait reposer défoncé telle une baleine échouée, une Lucette qui habiterait ici avec un mac, des bébés de génération spontanée, la rousse du cinquième qui se promenait à demi-nue et une punkette qui avait accouché d’un poisson rouge … Elle jugea sage de revenir à des choses plus basiques.
-Un monde chez TIFAINE ! Ca se battait au rayon chapeau ! A propos de chapeau d’ailleurs … Et elle commençait à se lever du fauteuil quand Euphrosine, la mine gourmande, les yeux brillants, la repoussa du plat de la main dans le fauteuil.
Elle se débattit dans les plis de sa jupe qui commençait à s’entortiller et se prit à regretter la frénésie ambiante de chez TIFAINE. Frénésie certes mais pas folie douce.
-J’avais préparé le thé pour le livreur de ton ordinateur. Mais quand la fille-tu sais la fille qui vient chez le pilote, celle qu’a les cheveux en pétard- bon, quand la fille là s’est mise à accoucher d’un poisson, je l’ai plus revu le livreur.
-Oui … Euh mon ordinateur ? Quel ordinateur ?
Euphrosine minaudait. Lui souriait, bêtement.
-Enfin, pour mon anniversaire peut être ? Tu n’as pas commandé un ordinateur ?
La jupe entortillée indisposait Lucette de plus en plus. Elle se faisait l’impression d’une mouche prise dans une toile d’araignée. Et à la réflexion, Euphrosine avait la mine chafouine d’une mygale ! Elle réprima un tremblement d’horreur et se passa la main sur le visage, en sueur. Rencontrant le chapeau, elle l’ôta et le posa à côté d’elle.
Revenir à du concret. Il lui fallait absolument revenir à du concret sinon la myg… Euphrosine allait l’engluer totalement.
-Et l’ascenseur ? Qu’est-ce qui lui est arrivé à l’ascenseur ?
Euphrosine souriait de plus en plus niaisement.
-Tu te souviens des chewing gum qu’on collait sur les contacteurs pour faire des farces au monsieur bizarre en haut de forme qui venait, là. Chez la rousse !
Ca oui, Lucette s’en souvenait. Elle gloussa intérieurement à la pensée du voisin du troisième, mystérieusement disparu, lui, et qui était resté bloqué à de multiples reprises dans l’ascenseur.
-Oui, oui !
Elle s’excitait elle aussi maintenant. Elle revoyait le pauvre cher homme qui avait perdu brutalement les pédales, juste avant de disparaitre. ALZHEIMER sûrement. Quel malheur ! Il s’était mis à rigoler pour un oui ou pour un non. Ca lui allait bien d’ailleurs. Il retrouvait une âme d’enfant mais on aurait dit que son corps avait pris le même chemin. Et puis brutalement, pfft !, on ne l’avait jamais revu.
-Et bien je me demande si on n’y a pas été un peu fort. Le dernier qu’on avait mis ! Tu te souviens, le malabar ! Rose ? Il a dû trop coller. L’ascenseur est resté longtemps bloqué et le monsieur en haut de forme est venu le bricoler. Il avait l’air soucieux comme tout. Et depuis il est par terre.
-Il est par terre ?
Lucette peinait à s’imaginer le monsieur en haut de forme accroupi par terre, l’oreille collée au plancher. Pour entendre l’ascenseur arriver ?
-Oui, l’ascenseur est par terre. Décroché !
Elle baissa la voix, et mystérieuse ;
-Il y a même la rousse du cinquième qui est descendu passer l’aspirateur dans l’ascenseur !
-Non !
-Si, si. Et ça doit pas trop aller chez elle, elle avait l’air de pleurer aussi !
-… Et le malabar ? Tu l’as retiré le malabar ?
-Oui, oui. Ne t’inquiètes pas. Tout est en ordre.
Subrepticement, Lucette était parvenue à se lever du fauteuil et pouvait enfin déplisser sa jupe. La vie reprenait un cours normal. Elle allait pouvoir respirer.
A l’étage du dessus, M. Sways cherchait désespérément où Victor avait pu passer.
Trois étages plus haut, deux bébés qui ne ressemblaient absolument pas, gazouillaient de la plus adorable des façons. Esther était effondrée et considérait, en état de stupeur, une ligne grisâtre qui n’était plus une ligne de vie.
Et à plusieurs dizaines de kilomètres de là, Lucette-Lucette Milmin- et Charlotte, arrivaient en vue de la bâtisse isolée qui servait de repaire à M. Prauvice. Celui sur qui tant d’espoirs reposaient.
La tête lui tournait un peu de son périple sous cette chaleur et du babillage d’Euphrosine. D ‘ailleurs elle n’y comprenait rien. Entre un ordinateur qu’elle aurait commandé, l’ascenseur qui semblait reposer défoncé telle une baleine échouée, une Lucette qui habiterait ici avec un mac, des bébés de génération spontanée, la rousse du cinquième qui se promenait à demi-nue et une punkette qui avait accouché d’un poisson rouge … Elle jugea sage de revenir à des choses plus basiques.
-Un monde chez TIFAINE ! Ca se battait au rayon chapeau ! A propos de chapeau d’ailleurs … Et elle commençait à se lever du fauteuil quand Euphrosine, la mine gourmande, les yeux brillants, la repoussa du plat de la main dans le fauteuil.
Elle se débattit dans les plis de sa jupe qui commençait à s’entortiller et se prit à regretter la frénésie ambiante de chez TIFAINE. Frénésie certes mais pas folie douce.
-J’avais préparé le thé pour le livreur de ton ordinateur. Mais quand la fille-tu sais la fille qui vient chez le pilote, celle qu’a les cheveux en pétard- bon, quand la fille là s’est mise à accoucher d’un poisson, je l’ai plus revu le livreur.
-Oui … Euh mon ordinateur ? Quel ordinateur ?
Euphrosine minaudait. Lui souriait, bêtement.
-Enfin, pour mon anniversaire peut être ? Tu n’as pas commandé un ordinateur ?
La jupe entortillée indisposait Lucette de plus en plus. Elle se faisait l’impression d’une mouche prise dans une toile d’araignée. Et à la réflexion, Euphrosine avait la mine chafouine d’une mygale ! Elle réprima un tremblement d’horreur et se passa la main sur le visage, en sueur. Rencontrant le chapeau, elle l’ôta et le posa à côté d’elle.
Revenir à du concret. Il lui fallait absolument revenir à du concret sinon la myg… Euphrosine allait l’engluer totalement.
-Et l’ascenseur ? Qu’est-ce qui lui est arrivé à l’ascenseur ?
Euphrosine souriait de plus en plus niaisement.
-Tu te souviens des chewing gum qu’on collait sur les contacteurs pour faire des farces au monsieur bizarre en haut de forme qui venait, là. Chez la rousse !
Ca oui, Lucette s’en souvenait. Elle gloussa intérieurement à la pensée du voisin du troisième, mystérieusement disparu, lui, et qui était resté bloqué à de multiples reprises dans l’ascenseur.
-Oui, oui !
Elle s’excitait elle aussi maintenant. Elle revoyait le pauvre cher homme qui avait perdu brutalement les pédales, juste avant de disparaitre. ALZHEIMER sûrement. Quel malheur ! Il s’était mis à rigoler pour un oui ou pour un non. Ca lui allait bien d’ailleurs. Il retrouvait une âme d’enfant mais on aurait dit que son corps avait pris le même chemin. Et puis brutalement, pfft !, on ne l’avait jamais revu.
-Et bien je me demande si on n’y a pas été un peu fort. Le dernier qu’on avait mis ! Tu te souviens, le malabar ! Rose ? Il a dû trop coller. L’ascenseur est resté longtemps bloqué et le monsieur en haut de forme est venu le bricoler. Il avait l’air soucieux comme tout. Et depuis il est par terre.
-Il est par terre ?
Lucette peinait à s’imaginer le monsieur en haut de forme accroupi par terre, l’oreille collée au plancher. Pour entendre l’ascenseur arriver ?
-Oui, l’ascenseur est par terre. Décroché !
Elle baissa la voix, et mystérieuse ;
-Il y a même la rousse du cinquième qui est descendu passer l’aspirateur dans l’ascenseur !
-Non !
-Si, si. Et ça doit pas trop aller chez elle, elle avait l’air de pleurer aussi !
-… Et le malabar ? Tu l’as retiré le malabar ?
-Oui, oui. Ne t’inquiètes pas. Tout est en ordre.
Subrepticement, Lucette était parvenue à se lever du fauteuil et pouvait enfin déplisser sa jupe. La vie reprenait un cours normal. Elle allait pouvoir respirer.
A l’étage du dessus, M. Sways cherchait désespérément où Victor avait pu passer.
Trois étages plus haut, deux bébés qui ne ressemblaient absolument pas, gazouillaient de la plus adorable des façons. Esther était effondrée et considérait, en état de stupeur, une ligne grisâtre qui n’était plus une ligne de vie.
Et à plusieurs dizaines de kilomètres de là, Lucette-Lucette Milmin- et Charlotte, arrivaient en vue de la bâtisse isolée qui servait de repaire à M. Prauvice. Celui sur qui tant d’espoirs reposaient.
Alors, alors Mr Tistou aurait il contourné volontairement quelques difficultés ? ;0)
Ce n'est pas grave, ce sera pour le prochain, je ne sais pas qui c'est mais bon courage à lui/elle :0)
Revenons à notre épisode, alors comme ça, les deux vielles dames s'amusent avec du chewing gum, mais ce n'est plus de leur âge ça ?!?
On a même un petit récapitulatif à la fin pour remettre un peu tout ça en ordre dans notre tête :0)
J'ai bien aimé cet épisode, j'ai même éclaté de rire quand une des deux vielles dames commencent à s'inquiéter et demande à l'autre si elle a "retiré le chewing gum" :0)
Ce n'est pas grave, ce sera pour le prochain, je ne sais pas qui c'est mais bon courage à lui/elle :0)
Revenons à notre épisode, alors comme ça, les deux vielles dames s'amusent avec du chewing gum, mais ce n'est plus de leur âge ça ?!?
On a même un petit récapitulatif à la fin pour remettre un peu tout ça en ordre dans notre tête :0)
J'ai bien aimé cet épisode, j'ai même éclaté de rire quand une des deux vielles dames commencent à s'inquiéter et demande à l'autre si elle a "retiré le chewing gum" :0)
"commence" pardon ;0)
Dis donc, tu as drôlement bien réussi à rassembler tout ça! Très intéressant, les choses se rationnalisent et s'organisent un peu, contrairement à ce que pense Lucette aînée.
Il y a maintenant plusieurs branches à notre arbre et chacun fait pousser celle qui l'inspire le plus. :-)
Il y a maintenant plusieurs branches à notre arbre et chacun fait pousser celle qui l'inspire le plus. :-)
Habilement contourné la "destinée Nicéphore", ça repousse le suspens :)
Un épisode structuré, qui remet quelques petites choses en place et voici nos deux petites vieilles, agréables pestes, mises à l'honneur. Pas de gros bouleversement, plutôt un perfectionnement de la situation ou des précisions sans doute utiles aux suivants, l'histoire suit son cours, on savoure à petites doses, c'est plutôt bien ça comme rythme Tistou. J'aime bien cette profondeur que tu as installée en douceur.
Un épisode structuré, qui remet quelques petites choses en place et voici nos deux petites vieilles, agréables pestes, mises à l'honneur. Pas de gros bouleversement, plutôt un perfectionnement de la situation ou des précisions sans doute utiles aux suivants, l'histoire suit son cours, on savoure à petites doses, c'est plutôt bien ça comme rythme Tistou. J'aime bien cette profondeur que tu as installée en douceur.
Bravo Tistou! J'aime!
Ca colle et farpaitement!
Ca colle et farpaitement!
Yali, faudra qu'il soit fortiche!
Tout d’abord, une petite mise au point..
Je comprends que tous ces voyages dans le temps puissent entraîner des confusions dans les esprits fragiles, mais je tiens à préciser que le déplumeur à pintades et le moteur pour le vélo éponyme ne sont pas des inventions de l’actuel Prauvice, mais d’un certain Pauvrice-Lagaffe, qui est en fait le cousin de l’oncle de la nourrice de la grand-mère maternelle du précédent. Qui lui-même d’ailleurs, n’est ni vieux, ni ingénieur, je me demande bien où on est allés chercher tout ça…
Bref.. Venons-en maintenant aux choses sérieuses.
Sont-ce ses derniers travaux qui vous ont désigné Pauvrice comme l’interlocuteur providentiel ? Vraiment ?! A mon humble avis, ni sa participation (des plus modestes d‘ailleurs) à (je cite, mais qui ?!) « l’élucidation des mystères de la pigmentation du zèbre (Prauvice A. et Nioutonne I., Considérations topologiques sur les modifications spatio-temporelles des zébrures du zèbre (Zebra zebra), Bull. Physio.-pathol. Tropic., 1959, 47 : 128.149), ni ses travaux relatifs à (je recite) « la démonstration expérimentale de la rigidité du chien d’arrêt » (proposé pour publication dans C. Lib.) et à « la vitesse de propagation de l’influx nerveux chez la girafe (Oumboulélé F. et Prauvice A., Latence de l’arc réflexe chez Girafus girafo, Anim. Stud. 1982, 23 : 356-357 », ne peuvent, contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord, lui donner l’autorité nécessaire pour s’exprimer valablement sur un sujet aussi confidentiel. En effet, les parallèles établis entre la rigidité du chien d’arrêt et la difficulté à redémarrer un ascenseur d’une part, la progression du même ascenseur à l’intérieur de sa gaine et la propagation de l’influx nerveux chez la girafe d’autre part, restent purement formels et sans application pratique immédiate, du moins provisoirement. C’est pourquoi, je vous le dis tout net, solliciter les avis de ce Prauvice sur les aberrations comportementales d’un ascenseur ne me paraît pas une très bonne idée.. Clairement, les différentes observations expérimentales rapportées sont caractéristiques des soubresauts quantiques des ascenseurs et autres monte-charge(s ?) en état de lévitation partielle, résultant très probablement de fluctuations locales de la constante de gravitation. Il y a nombre de spécialistes, Otis et Schlinder, Roux et Baluzier, Bogue et Danoff, et bien d’autres, que la notoriété désigne comme des interlocuteurs bien plus recommandables..
Pour ma part, je ne saurais trop vous prévenir du danger qu’il y a à manipuler ce genre d’engins en dehors de leur destination initiale. Il faut savoir que les ascenseurs (et autres monte-charge) sont l’équivalent fractal des trous de ver (canaux sub-quantiques reliant les feuillets spatio-temporelles d’un même univers), et comme les trous de ver, ils sont affectés d’aberrations spatio-temporelles aléatoires, et donc imprévisibles, per modum conseqentiae. C’est pourquoi introduire un être normalement constitué dans un ascenseur à propension quantique lui fait courir un grave danger, pour sa santé en général, et sa santé mentale en particulier. Il peut ainsi se trouver aspiré par le vortex relativiste (qui constitue en fait la gaine extra-matérielle de l’ascenseur), et devenir ainsi complètement siphoné (regardez Benoit par exemple, pour ne citer que lui..).
Je vous prie donc de croire, chers amis, à l’état de profonde inquiétude dans lequel, depuis quelques temps, vous plongez tous ceux qui vous observent, à vouloir jouer ainsi avec un engin aussi délicat et susceptible. C’est pas une brouette !!
Je comprends que tous ces voyages dans le temps puissent entraîner des confusions dans les esprits fragiles, mais je tiens à préciser que le déplumeur à pintades et le moteur pour le vélo éponyme ne sont pas des inventions de l’actuel Prauvice, mais d’un certain Pauvrice-Lagaffe, qui est en fait le cousin de l’oncle de la nourrice de la grand-mère maternelle du précédent. Qui lui-même d’ailleurs, n’est ni vieux, ni ingénieur, je me demande bien où on est allés chercher tout ça…
Bref.. Venons-en maintenant aux choses sérieuses.
Sont-ce ses derniers travaux qui vous ont désigné Pauvrice comme l’interlocuteur providentiel ? Vraiment ?! A mon humble avis, ni sa participation (des plus modestes d‘ailleurs) à (je cite, mais qui ?!) « l’élucidation des mystères de la pigmentation du zèbre (Prauvice A. et Nioutonne I., Considérations topologiques sur les modifications spatio-temporelles des zébrures du zèbre (Zebra zebra), Bull. Physio.-pathol. Tropic., 1959, 47 : 128.149), ni ses travaux relatifs à (je recite) « la démonstration expérimentale de la rigidité du chien d’arrêt » (proposé pour publication dans C. Lib.) et à « la vitesse de propagation de l’influx nerveux chez la girafe (Oumboulélé F. et Prauvice A., Latence de l’arc réflexe chez Girafus girafo, Anim. Stud. 1982, 23 : 356-357 », ne peuvent, contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord, lui donner l’autorité nécessaire pour s’exprimer valablement sur un sujet aussi confidentiel. En effet, les parallèles établis entre la rigidité du chien d’arrêt et la difficulté à redémarrer un ascenseur d’une part, la progression du même ascenseur à l’intérieur de sa gaine et la propagation de l’influx nerveux chez la girafe d’autre part, restent purement formels et sans application pratique immédiate, du moins provisoirement. C’est pourquoi, je vous le dis tout net, solliciter les avis de ce Prauvice sur les aberrations comportementales d’un ascenseur ne me paraît pas une très bonne idée.. Clairement, les différentes observations expérimentales rapportées sont caractéristiques des soubresauts quantiques des ascenseurs et autres monte-charge(s ?) en état de lévitation partielle, résultant très probablement de fluctuations locales de la constante de gravitation. Il y a nombre de spécialistes, Otis et Schlinder, Roux et Baluzier, Bogue et Danoff, et bien d’autres, que la notoriété désigne comme des interlocuteurs bien plus recommandables..
Pour ma part, je ne saurais trop vous prévenir du danger qu’il y a à manipuler ce genre d’engins en dehors de leur destination initiale. Il faut savoir que les ascenseurs (et autres monte-charge) sont l’équivalent fractal des trous de ver (canaux sub-quantiques reliant les feuillets spatio-temporelles d’un même univers), et comme les trous de ver, ils sont affectés d’aberrations spatio-temporelles aléatoires, et donc imprévisibles, per modum conseqentiae. C’est pourquoi introduire un être normalement constitué dans un ascenseur à propension quantique lui fait courir un grave danger, pour sa santé en général, et sa santé mentale en particulier. Il peut ainsi se trouver aspiré par le vortex relativiste (qui constitue en fait la gaine extra-matérielle de l’ascenseur), et devenir ainsi complètement siphoné (regardez Benoit par exemple, pour ne citer que lui..).
Je vous prie donc de croire, chers amis, à l’état de profonde inquiétude dans lequel, depuis quelques temps, vous plongez tous ceux qui vous observent, à vouloir jouer ainsi avec un engin aussi délicat et susceptible. C’est pas une brouette !!
Moi j'aime bien les trous de vers. Il y a quelque chose à creuser là. C'est le cas de le dire.
Eh, dis donc? Tu crois qu'il va être content?
"et devenir ainsi complètement siphoné (regardez Benoit par exemple, pour ne citer que lui..). "
En plus il a rien fait lui!
Eh, dis donc? Tu crois qu'il va être content?
"et devenir ainsi complètement siphoné (regardez Benoit par exemple, pour ne citer que lui..). "
En plus il a rien fait lui!
Eh, dis donc? Tu crois qu'il va être content? "et devenir ainsi complètement siphoné (regardez Benoit par exemple, pour ne citer que lui..). " En plus il a rien fait lui!Désolé, je connais un Benoit, il est siphoné, c'est forcément lui .. ou de la famille à lui, alors ?? et des siphonés, y en a d'autres!!
Eh, dis donc? Tu crois qu'il va être content? "et devenir ainsi complètement siphoné (regardez Benoit par exemple, pour ne citer que lui..). " En plus il a rien fait lui!Désolé, je connais un Benoit, il est siphoné, c'est forcément lui .. ou de la famille à lui, alors ?? et des siphonés, y en a d'autres!!
C'est vrai.
"Je comprends que tous ces voyages dans le temps puissent entraîner des confusions dans les esprits fragiles,"
Tu penses à Wells? Pas à nous quand même!
"Bogue et Danoff, "
Connais pas. Ont inventé le marronnier?
"C’est pourquoi introduire un être normalement constitué dans un ascenseur à propension quantique lui fait courir un grave danger, pour sa santé en général, et sa santé mentale en particulier."
Nicéphore nous l'a abondamment prouvé.
"C’est pas une brouette !!
quoique des trous de vers dans une brouette, ça peut être très mauvais aussi, et même dangereux.
Cette brillante analyse des diverses difficultés que nous rencontrions va nous permettre de repartir du bon pied. Merci Pr Provis
Tu penses à Wells? Pas à nous quand même!
"Bogue et Danoff, "
Connais pas. Ont inventé le marronnier?
"C’est pourquoi introduire un être normalement constitué dans un ascenseur à propension quantique lui fait courir un grave danger, pour sa santé en général, et sa santé mentale en particulier."
Nicéphore nous l'a abondamment prouvé.
"C’est pas une brouette !!
quoique des trous de vers dans une brouette, ça peut être très mauvais aussi, et même dangereux.
Cette brillante analyse des diverses difficultés que nous rencontrions va nous permettre de repartir du bon pied. Merci Pr Provis
Inventif et drôle, Tistou. J'aime l'idée des deux soeurs s'amusant à faire des blagues. Petits rappels à des faits anciens, remise en ordre. Très très bien!
Un petit merci aussi à Provis pour ses éclaircissements quant aux capacités de Mr Prauvice dans l'art ascenseuresque. ;o)
Un petit merci aussi à Provis pour ses éclaircissements quant aux capacités de Mr Prauvice dans l'art ascenseuresque. ;o)
"Bogue et Danoff, "Le bug informatique plutôt, et puis le fil à couper le beurre, la spaghetologie macaronique (avec d'intéressantes applications aux ascenceurs à propension quantique), l'attache métallique coulissante (appelé 'trombonne'), le bouton-pression, le boomerang comestible, la preuve par neuf, le timbre à deux tons, et surtout, entre autres, l'entonnoir et le siphon..
Connais pas. Ont inventé le marronnier?
Merci ProvisC'était avec plaisir .. (:-) .. D'autant plus que pas mal de choses (ci-dessus) ne sont pas de moi !
Mais de qui !!!???
D'autant plus que pas mal de choses (ci-dessus) ne sont pas de moi !
Mais de qui !!!???
Comment ça, pas de toi Provis?
Ne nous dis pas que ...
Mais de qui !!!???
Comment ça, pas de toi Provis?
Ne nous dis pas que ...
Comment ça, pas de toi Provis?Quand ce n'est pas de moi, je le dis !! En général c'est de moi, et ce que Yali a repris dans MM est intégralement de moi par exemple, mais "la spaghetologie macaronique" "l'attache métallique" "(appelé 'trombonne'), "le bouton-pression, le boomerang comestible, la preuve par neuf, le timbre à deux tons", ce n'est pas de moi ! C'est un jeu que j'ai commencé depuis mon arrivée sur le site, à essayer de vous faire deviner le véritable auteur, mais personne n'a voulu jouer ! En fait, je crois plutôt que, suite à des quiproquo qui ont accompagné mon arrivée sur le site, avec carton rouge provisoire, et malgré des invitations répétées, les gens ont pensé que je cherchais plus à me moquer qu'à jouer avec eux aux devinettes. Il me semble.. ? Et de toute façon, ça n'a aucune importance, mais quand il s'agit de paternité et d'authenticité de texte, il vaut mieux être clair sur ce site ..(:-)..
Ne nous dis pas que ...
Alors si ça t'amuse (vous amuse) de chercher, il s'agit d'un auteur célèbre, très joueur, et finalement particulièrement bien adapté a notre ascenseur s'il devait y avoir un jour ou l'autre une véritable disparition..
Alors si ça t'amuse (vous amuse) de chercher, il s'agit d'un auteur célèbre, très joueur, et finalement particulièrement bien adapté a notre ascenseur s'il devait y avoir un jour ou l'autre une véritable disparition..
Georges Perec alors, assurément!
Georges Perec alors, assurément!
Boris Vian ou Jacques Prévert ?
Romuald Saint-Sohaint ?
Gelluck?? (j'aurais aussi dit Perec mais Kilis m'a coiffé sur le poteau)
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