Un Indien c'est de l'Orangina avec de la grenadine SJB
Ca doit être dégueulasse...
On peut commencer ?
Et une Suze cassis c'est un "Fond de culotte" parce que ça ne s'use qu'assis. Vrai de vrai !
Nous avons donc à rédiger un sonnet dont les rimes seront :
Saveur
Carence
Partance
Touffeur
Meurt
Apparence
Clémence
Heure
Oblique
Colchique
Méridien
Lumière
Indien
austère
Rendez-vous ici même à 22h40. OK?
Saveur
Carence
Partance
Touffeur
Meurt
Apparence
Clémence
Heure
Oblique
Colchique
Méridien
Lumière
Indien
austère
Rendez-vous ici même à 22h40. OK?
!!!
Pas de réponse, ils se sont tous arrachés des starting blocks
yessssss
A-t-on idée, des mots pareils ?
Go !
Dis moi, mais quelle est donc cette douce saveur
Dont j’avais malgré moi depuis toujours carence ?
Est- ce le cri profond de la mouette en partance ?
Est-ce l’étrange cri du balbuzard-touffeur ?
Ah, je sens que déjà, ce qui a vécu meurt
Et nous laisse ici seuls, avec les apparences.
Je demande sur nous un peu de ta clémence
Pour quand viendra pour moi le moment et puis l’heure.
Quand le soleil couchant de ses rayons obliques
Illuminera bien les toxiques colchiques
Quand, loin de son zénith, bien loin du méridien
Il nous dispensera son ultime lumière
Lors, nous repartirons comme les derniers Indiens
Méditer en silence dans les steppes austères
Dont j’avais malgré moi depuis toujours carence ?
Est- ce le cri profond de la mouette en partance ?
Est-ce l’étrange cri du balbuzard-touffeur ?
Ah, je sens que déjà, ce qui a vécu meurt
Et nous laisse ici seuls, avec les apparences.
Je demande sur nous un peu de ta clémence
Pour quand viendra pour moi le moment et puis l’heure.
Quand le soleil couchant de ses rayons obliques
Illuminera bien les toxiques colchiques
Quand, loin de son zénith, bien loin du méridien
Il nous dispensera son ultime lumière
Lors, nous repartirons comme les derniers Indiens
Méditer en silence dans les steppes austères
SJB il te reste 10 mn, ne les gaspille pas en billevesées
SJB il te reste 10 mn, ne les gaspille pas en billevesées
Sido, t'es là? Tu aurais dû venir avec nous. Tu n'as pas un petit sonnet à nous envoyer?
Loin de toi, sucre et sel sont sans saveur,
ma vie, sous le signe de la carence,
n'est qu'atermoiements d'une âme en partance
d'une île lointaine désirant la touffeur.
Dans l'instant, l'espoir vit et l'espoir meurt,
né de la plus ténue des apparences.
Ceux qui des cieux implorent la clémence,
inertes, laissent s'écouler les heures
sans bouger ni chercher de voie oblique.
Non, affalés dans le champ de colchiques,
ils restent perdus loin du méridien.
De ton regard, je cherche la lumière.
Foin de la flamme de l'été indien,
que vienne l'hiver au visage austère.
ma vie, sous le signe de la carence,
n'est qu'atermoiements d'une âme en partance
d'une île lointaine désirant la touffeur.
Dans l'instant, l'espoir vit et l'espoir meurt,
né de la plus ténue des apparences.
Ceux qui des cieux implorent la clémence,
inertes, laissent s'écouler les heures
sans bouger ni chercher de voie oblique.
Non, affalés dans le champ de colchiques,
ils restent perdus loin du méridien.
De ton regard, je cherche la lumière.
Foin de la flamme de l'été indien,
que vienne l'hiver au visage austère.
Dans l’exclusive saveur
Du langage en carence,
Train et esprit en partance,
J’en oublie la touffeur.
Imagination ne meurt
Jamais ! Ton apparence
Incite plus que clémence :
Je t’observe toute une heure…
Mon regard vers toi oblique,
Guettant parmi les colchiques,
De tes yeux le méridien.
Tu t’endors. Et ta lumière
Est chaleur d’Eté Indien
Dans ce long wagon austère…
Du langage en carence,
Train et esprit en partance,
J’en oublie la touffeur.
Imagination ne meurt
Jamais ! Ton apparence
Incite plus que clémence :
Je t’observe toute une heure…
Mon regard vers toi oblique,
Guettant parmi les colchiques,
De tes yeux le méridien.
Tu t’endors. Et ta lumière
Est chaleur d’Eté Indien
Dans ce long wagon austère…
Joseph avait des fruits d'une fine saveur
Et il y comptait bien pour parer la carence
Le jour où le beau temps amorce sa partance
Et que l'hiver viendra remplacer la touffeur
D'un été qui toujours s'en va vite et se meurt.
Mais il ne faut jamais croire a une apparence
Et le ciel a parfois un manque de clémence
Qui fait que récolter ne vient pas à son heure.
Il a suffit d'un rien, d'un mauvais vent oblique
Alors que dans les prés grandissait la colchique
Un vent venu d'Espagne, d'un mauvais méridien.
Et les fruits de Joseph, dans la vive lumière
D'un orage furieux tombèrent comme Indien
Qu'a trop bu de Whisky. Et Joseph fut austère !
Et il y comptait bien pour parer la carence
Le jour où le beau temps amorce sa partance
Et que l'hiver viendra remplacer la touffeur
D'un été qui toujours s'en va vite et se meurt.
Mais il ne faut jamais croire a une apparence
Et le ciel a parfois un manque de clémence
Qui fait que récolter ne vient pas à son heure.
Il a suffit d'un rien, d'un mauvais vent oblique
Alors que dans les prés grandissait la colchique
Un vent venu d'Espagne, d'un mauvais méridien.
Et les fruits de Joseph, dans la vive lumière
D'un orage furieux tombèrent comme Indien
Qu'a trop bu de Whisky. Et Joseph fut austère !
SJB, ce n'est plus Hugo, c'est La Fontaine!
La femme mille saveurs
Affective carence
Ce matin en partance
S’évanouit dans la touffeur
Se sauve quand l’aube se meurt
Plus déjà qu’apparence
Elle se nommait Clémence
Et compte les heures
Et soleil oblique
Comme tige colchique
Comme un trait méridien
Comme rai de lumière
Là, je l’ai amer Indien
Un brin pater austère
Affective carence
Ce matin en partance
S’évanouit dans la touffeur
Se sauve quand l’aube se meurt
Plus déjà qu’apparence
Elle se nommait Clémence
Et compte les heures
Et soleil oblique
Comme tige colchique
Comme un trait méridien
Comme rai de lumière
Là, je l’ai amer Indien
Un brin pater austère
Homme, nous vivons sans saveur
Constatant l’étendue de cette carence,
Prenons nos baluchons, nous voilà en partance
Bravons les forêts vierges, affrontons leurs touffeurs
Courons sous le soleil, regardons quand il meurt
Cette fois, c’est l’aventure, elle en a l’apparence
La chance nous sourit dans sa blanche clémence
Cherchons la bonne étoile, ne regardons pas l’heure
Demi-tour vers la gauche, là, virer en oblique
Trouver le pique du Colchique
Juste en dessous du méridien
Et suivre la lumière
Et prendre un bain d’amer indien
Et c’est déjà la fin de l’aventure austère
Constatant l’étendue de cette carence,
Prenons nos baluchons, nous voilà en partance
Bravons les forêts vierges, affrontons leurs touffeurs
Courons sous le soleil, regardons quand il meurt
Cette fois, c’est l’aventure, elle en a l’apparence
La chance nous sourit dans sa blanche clémence
Cherchons la bonne étoile, ne regardons pas l’heure
Demi-tour vers la gauche, là, virer en oblique
Trouver le pique du Colchique
Juste en dessous du méridien
Et suivre la lumière
Et prendre un bain d’amer indien
Et c’est déjà la fin de l’aventure austère
Fée, tu as subi avec succès le baptême du feu.
Ohhh ! Syb, ce sont les mouettes de ta Normandie qui t'ont inspirée ?
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