-- Oh monsieur, vous tombez bien !
-- Oui, au cinquième, jeune homme.
--…
Je retournais trois fois la phrase dans ma tête avant d'en abandonner la traduction. Mon dépanneur à chapeau au de forme continuait à monter l'escalier comme si je n'existais pas.
-- Seriez-vous le réparateur ? Parce-ce que, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, j'ai comme un léger problème.
-- Merci, vous aussi.
--… Mais vous êtes hermétique à ce que je vous raconte ou quoi ?!
L'homme s'arrêta brusquement, manquant rater la marche suivante et dévaler l'escalier en sens inverse.
-- C'est tout à fait ça, oui ! s'exclama-t-il les yeux brillants de… de je ne sais pas trop quoi d'ailleurs mais l'air fou de joie (bien que je me dise que j'aurais pu ne pas ajouter "de joie", j'aurais encore été dans le vrai).
-- Pardon ?!
-- Encore que, à la réflexion, non. Vous n'êtes pas loin pourtant mais moi aussi j'ai beaucoup de problème pour le prononcer.
-- Qu'est-ce que vous me chantez là ?!
-- Oui, c'est vrai, un tout petit peu. Mais elle danse surtout, et d'une manière…!!
J'avais renoncé à comprendre depuis déjà quelques instants.
-- Parfaitement d'accord avec vous ! (Si ça peut lui faire plaisir) Mais ne pourriez vous pas essayer de me sortir de là ?
-- Sortir ? Mais je viens juste d'arriver, je ne lui ai pas encore présenté mes hommages ! Serait-ce que vous auriez des vues sur elle ? Qu'est-elle pour vous monsieur ?
-- D'abord c'est Madame, Mademoiselle même.
-- Votre… votre…! Cela ne ce peut ! Vous mentez !
L'homme était rouge de colère et trépignait d'indignation.
-- Je vous assure!! Je suis mieux placée que vous pour le savoir tout de même !
-- C'est impossible ! Je suis intimement persuadé qu'elle est célibataire ! Et je vais de ce pas vérifier la chose !
-- Mais non ! Ne partez pas !! Attendez !!
Je l'entendis encore marmonner : « ma très chère Esther Métique… Ah non, ce n'est pas cela, ce fou m’induit en erreur… Métisque… non plus. Métisss… ». Le reste se perdit dans le bruit de ses chaussures dont les semelles claquaient sur chaque marche, avec à peine plus de discrétion que lorsque l’une de mes casseroles s’était échappée d’un des cartons, pendant le déménagement, dévalant l’escalier avec toute l’allégresse de sa liberté retrouvée (je vous assure qu’il faut se méfier des casseroles sauvages, c’est très dangereux).
J’en étais là de mes réflexions lorsque la porte d’entrée de l’appartement du premier étage s’ouvrit. Il en sortit une petite dame, l’air plus très jeune, qui se tenait un peu voûtée (enfin, pour le peu que je pouvais en apercevoir de l’endroit où je me trouvais). Je recommençais à crier et à tambouriner mais elle ne leva même pas la tête, n’essaya pas non plus d’appeler l’ascenseur et entreprit de descendre tranquillement l’escalier. Découragée je m’assis face à mon reflet verdâtre pour lui demander :
-- Pourquoi sont-ils tous sourds ou fous dans cet immeuble ?
Au rez-de-chaussée, Benoit, l’ordinateur à ses pieds, contemplait bouche bée la propriétaire de ce splendide Mac dernier modèle. On peut dire qu’elle n’avait pas la tête de l’emploie ! Quatre-vingt-dix ans au bas mot l’informaticienne !!
-- Heu… Vous êtes Lucette Millesmains ?
-- Pardon ? Parlez plus fort jeune homme, je n’ai pas très bien entendu.
-- VOUS ETES LUCETTE MILLESMAINS ??
-- Non !
-- Je me disais aussi…
-- Pardon ?
-- Non rien.
-- Je suis Euphrosyne Milmin, Lucette est ma sœur.
-- VOTRE JEUNE SŒUR ?
-- non, nous sommes jumelle.
-- ???
-- Passons, passons. Je présume qu’elle a commandé cet ordinateur pour mon anniversaire et j’avoue que c’est une très bonne idée, ça m’évitera d’aller dans les cybercafés pour envoyer des mails à mon arrière petite fille. Ce n’est pas que ce soit ma seule arrière petite fille, grand Dieu non ! J’ai 27 arrières petits enfants mais, voyez-vous, Céline (elle s’appelle Céline) s’est installée en Australie, je ne peux tout de même pas aller la voir tous les mois, les voyages reviennent trop chers. Et puis avec mon petit fils Charles à Toulouse, sa sœur Jane à Lille et Pascale, une de mes 22 petits enfants, à Albertville, je dépense déjà suffisamment en billets d’avion ! Si cela ne tenait qu’à moi, je prendrais le train, c’est plus pittoresque, mais mes enfants trouvent que ce serait un voyage trop long, trop fatiguant pour moi ! Pff, à croire qu’ils me prennent pour une petite vieille ! Je ne suis pas comme Lucette moi ! Il faut vivre avec son temps. Et pressez vous un peu monsieur, vous lambinez.
-- ON AURAIT ‘U ‘ENGRE L’A’EN’EUR !
Benoît qui ahanait péniblement derrière la petite grand-mère s’était coincé la mâchoire à force de rester bouche bée devant le flot ininterrompu de parole que débitait la vieille femme tout en grimpant allègrement l’escalier.
-- Monsieur, cela fait 32 ans que j’habite ici, depuis la disparition de mon Alphonse et je n’ai jamais pris l’ascenseur : il faut se maintenir en forme par des exercices quotidiens et si j’y parviens à 96 ans je pense que vous en êtes capable également ! Je vous offre le thé une fois en haut, et quelques petits gâteaux si vous êtes sage.
Benoît reprenait péniblement son souffle sur le palier du premier étage, pendant qu’Euphrosyne introduisait la clef dans la serrure, lorsqu’une voix tomba littéralement du ciel.
-- C’est mon Mac que vous avez là ?
-- Oui, au cinquième, jeune homme.
--…
Je retournais trois fois la phrase dans ma tête avant d'en abandonner la traduction. Mon dépanneur à chapeau au de forme continuait à monter l'escalier comme si je n'existais pas.
-- Seriez-vous le réparateur ? Parce-ce que, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, j'ai comme un léger problème.
-- Merci, vous aussi.
--… Mais vous êtes hermétique à ce que je vous raconte ou quoi ?!
L'homme s'arrêta brusquement, manquant rater la marche suivante et dévaler l'escalier en sens inverse.
-- C'est tout à fait ça, oui ! s'exclama-t-il les yeux brillants de… de je ne sais pas trop quoi d'ailleurs mais l'air fou de joie (bien que je me dise que j'aurais pu ne pas ajouter "de joie", j'aurais encore été dans le vrai).
-- Pardon ?!
-- Encore que, à la réflexion, non. Vous n'êtes pas loin pourtant mais moi aussi j'ai beaucoup de problème pour le prononcer.
-- Qu'est-ce que vous me chantez là ?!
-- Oui, c'est vrai, un tout petit peu. Mais elle danse surtout, et d'une manière…!!
J'avais renoncé à comprendre depuis déjà quelques instants.
-- Parfaitement d'accord avec vous ! (Si ça peut lui faire plaisir) Mais ne pourriez vous pas essayer de me sortir de là ?
-- Sortir ? Mais je viens juste d'arriver, je ne lui ai pas encore présenté mes hommages ! Serait-ce que vous auriez des vues sur elle ? Qu'est-elle pour vous monsieur ?
-- D'abord c'est Madame, Mademoiselle même.
-- Votre… votre…! Cela ne ce peut ! Vous mentez !
L'homme était rouge de colère et trépignait d'indignation.
-- Je vous assure!! Je suis mieux placée que vous pour le savoir tout de même !
-- C'est impossible ! Je suis intimement persuadé qu'elle est célibataire ! Et je vais de ce pas vérifier la chose !
-- Mais non ! Ne partez pas !! Attendez !!
Je l'entendis encore marmonner : « ma très chère Esther Métique… Ah non, ce n'est pas cela, ce fou m’induit en erreur… Métisque… non plus. Métisss… ». Le reste se perdit dans le bruit de ses chaussures dont les semelles claquaient sur chaque marche, avec à peine plus de discrétion que lorsque l’une de mes casseroles s’était échappée d’un des cartons, pendant le déménagement, dévalant l’escalier avec toute l’allégresse de sa liberté retrouvée (je vous assure qu’il faut se méfier des casseroles sauvages, c’est très dangereux).
J’en étais là de mes réflexions lorsque la porte d’entrée de l’appartement du premier étage s’ouvrit. Il en sortit une petite dame, l’air plus très jeune, qui se tenait un peu voûtée (enfin, pour le peu que je pouvais en apercevoir de l’endroit où je me trouvais). Je recommençais à crier et à tambouriner mais elle ne leva même pas la tête, n’essaya pas non plus d’appeler l’ascenseur et entreprit de descendre tranquillement l’escalier. Découragée je m’assis face à mon reflet verdâtre pour lui demander :
-- Pourquoi sont-ils tous sourds ou fous dans cet immeuble ?
Au rez-de-chaussée, Benoit, l’ordinateur à ses pieds, contemplait bouche bée la propriétaire de ce splendide Mac dernier modèle. On peut dire qu’elle n’avait pas la tête de l’emploie ! Quatre-vingt-dix ans au bas mot l’informaticienne !!
-- Heu… Vous êtes Lucette Millesmains ?
-- Pardon ? Parlez plus fort jeune homme, je n’ai pas très bien entendu.
-- VOUS ETES LUCETTE MILLESMAINS ??
-- Non !
-- Je me disais aussi…
-- Pardon ?
-- Non rien.
-- Je suis Euphrosyne Milmin, Lucette est ma sœur.
-- VOTRE JEUNE SŒUR ?
-- non, nous sommes jumelle.
-- ???
-- Passons, passons. Je présume qu’elle a commandé cet ordinateur pour mon anniversaire et j’avoue que c’est une très bonne idée, ça m’évitera d’aller dans les cybercafés pour envoyer des mails à mon arrière petite fille. Ce n’est pas que ce soit ma seule arrière petite fille, grand Dieu non ! J’ai 27 arrières petits enfants mais, voyez-vous, Céline (elle s’appelle Céline) s’est installée en Australie, je ne peux tout de même pas aller la voir tous les mois, les voyages reviennent trop chers. Et puis avec mon petit fils Charles à Toulouse, sa sœur Jane à Lille et Pascale, une de mes 22 petits enfants, à Albertville, je dépense déjà suffisamment en billets d’avion ! Si cela ne tenait qu’à moi, je prendrais le train, c’est plus pittoresque, mais mes enfants trouvent que ce serait un voyage trop long, trop fatiguant pour moi ! Pff, à croire qu’ils me prennent pour une petite vieille ! Je ne suis pas comme Lucette moi ! Il faut vivre avec son temps. Et pressez vous un peu monsieur, vous lambinez.
-- ON AURAIT ‘U ‘ENGRE L’A’EN’EUR !
Benoît qui ahanait péniblement derrière la petite grand-mère s’était coincé la mâchoire à force de rester bouche bée devant le flot ininterrompu de parole que débitait la vieille femme tout en grimpant allègrement l’escalier.
-- Monsieur, cela fait 32 ans que j’habite ici, depuis la disparition de mon Alphonse et je n’ai jamais pris l’ascenseur : il faut se maintenir en forme par des exercices quotidiens et si j’y parviens à 96 ans je pense que vous en êtes capable également ! Je vous offre le thé une fois en haut, et quelques petits gâteaux si vous êtes sage.
Benoît reprenait péniblement son souffle sur le palier du premier étage, pendant qu’Euphrosyne introduisait la clef dans la serrure, lorsqu’une voix tomba littéralement du ciel.
-- C’est mon Mac que vous avez là ?
Encore des absurdités, des quiproquo... J'adore!!! Bravo Kicilou!! Nous voilà embarqué à bord du cirque des fous!!
Ben dis donc. Ben dis donc. Ben dis donc. Ben dis donc. Ben dis donc. Ben dis donc....
Ben ça... c'est pas du jeu de nous embrouiller comme ça! Lucette Milmin, Lucette Millemains. Non mais! J'aurais vu le personnage Nicéphore plus romanesque que fou mais au fond... qu'est-ce que la folie!? ;o)
Bravo, bravo...
Sib?
Bravo, bravo...
Sib?
cékankonalasuite?merci!
J'aurais vu le personnage Nicéphore plus romanesque que fou mais au fond... qu'est-ce que la folie!? ;o)
Je voulais pas non plus lui donner trop un air de fou, disons plutôt qu'il est tellement omnubilé par Esther qu'il rapporte tout ce qu'il entend à elle. En plus, il ne fait pas très attention à ce qu'on lui dit... C'est plutôt ça, complêtement dans la lune sauf quand il croit entendre parler d'Esther mais entre ce qu'il croit entendre et la réalité, il y a parfois tout un monde...
Voilà, c'est plutôt ça la vision que j'avais de Nicéphore, ce que j'ai essayé de rendre.
cékankonalasuite?merci!
Dans deux jour normalement...
Allez Sib, à toi!! Et veille bien sur Euphrosyne, elle me tient particulièrement à coeur... Mais je pense pas qu'on est parti pour avoir des morts à la pelle cette fois ci! ;-)
Juste un problème de cohérence, ou peut être manqué-je d'imagination? La vieille dame qui sort de l'appartement du 1er, où sont réputées (cf épisode 1) résider 2 vieilles dames connues comme les soeurs Noel, dit s'appeler Milmin? Euphrosyne Milmin. Quid de Noel alors?
Bon, donc, Nicéphore n'en a pas que l'air alors? Il en a la chanson aussi, de la folie douce? La confrontation avec Esther pourrait être détonante!
Et Benoit? Faudrait voir à faire un peu d'exercice, mon gars!
Quant à la pauvre Lucette, alias poisson rouge dans son bocal, elle n'hésite pas à revendiquer son Mac. Femme libérée (!) s'il en est! Enfin non, à libérer plutôt!
Bon, mais alors pourquoi la soeur Noel dit s'appeler Milmin? Ca me taraude, ça me taraude ...
Merci Kicilou.
Bon, donc, Nicéphore n'en a pas que l'air alors? Il en a la chanson aussi, de la folie douce? La confrontation avec Esther pourrait être détonante!
Et Benoit? Faudrait voir à faire un peu d'exercice, mon gars!
Quant à la pauvre Lucette, alias poisson rouge dans son bocal, elle n'hésite pas à revendiquer son Mac. Femme libérée (!) s'il en est! Enfin non, à libérer plutôt!
Bon, mais alors pourquoi la soeur Noel dit s'appeler Milmin? Ca me taraude, ça me taraude ...
Merci Kicilou.
J'ai dû relire deux fois, le début me semblait un peu confus, je n'avais pas tout compris et j'ai du mal avec les quiproquos.
Cela s'est éclairci avec l'arrivée de la vieille dame (je réfléchis encore pour savoir si je trouve que c'est une bonne idée d'avoir deux Lucette "1000mains" dans l'immeuble).
Je trouve en fait que ça s'est vachement compliqué mais ça n'en rendra l'exercice que plus intéressant! Et puis j'aime bien la phrase de la fin "c'est mon mac que vous avez là?", c'est rigolo, simple et plein de vie, ça termine bien ce chapitre.
Cela s'est éclairci avec l'arrivée de la vieille dame (je réfléchis encore pour savoir si je trouve que c'est une bonne idée d'avoir deux Lucette "1000mains" dans l'immeuble).
Je trouve en fait que ça s'est vachement compliqué mais ça n'en rendra l'exercice que plus intéressant! Et puis j'aime bien la phrase de la fin "c'est mon mac que vous avez là?", c'est rigolo, simple et plein de vie, ça termine bien ce chapitre.
Juste un problème de cohérence, ou peut être manqué-je d'imagination? La vieille dame qui sort de l'appartement du 1er, où sont réputées (cf épisode 1) résider 2 vieilles dames connues comme les soeurs Noel, dit s'appeler Milmin? Euphrosyne Milmin. Quid de Noel alors?
oups!!! Désolée!! j'ai pourtant relu plusieurs fois les précédents épisodes mais j'avoue que j'ai oublié le "Noël".
En tout cas je me suis beaucoup amusée en écrivant ça!!
C'est vrai que c'est embrouillé et il vaut mieu avoir relu les précédents épisodes pour être sûr de tout comprendre. Je me suis demendée si je devais donner plus de pistes pour bien comprendre l'ammalgame que Nicéphore fait entre "vous êtes hermétique" et Ester Métisme" qu'il transforme en Esther Métique... Mais je me suis dit que vous alliez faire travailler vos méninges et relire ça plusieurs fois.. ;-)
En fait, à moi qui savais ce que je voualis dire, ça me semblait assez clair, je ne voulais pas que les quiproquos fassent trop "téléphonés" mais peut-être que j'y ai été un peut fort...
Juste un problème de cohérence, ou peut être manqué-je d'imagination? La vieille dame qui sort de l'appartement du 1er, où sont réputées (cf épisode 1) résider 2 vieilles dames connues comme les soeurs Noel, dit s'appeler Milmin? Euphrosyne Milmin. Quid de Noel alors?
Pas de problème. Elle est sourde, elle aura mal compris. Ou autre chose... Ne nous tracassons pas. Qui fait l'épisode suivant?
Bah, Sib, c'est à toi!!! Je pensais que tu l'avais remarqué...
Ben, Kicilou, tu t’essaies au vaudeville ?! C’est rigolo, mais comme le genre l’impose, les personnages s’en trouvent déshumanisés, un brin caricaturés.
— (trait long = alt+ trait d'union) enfin si c'est pareil sur PC ?
Allez Sib !!!!
— (trait long = alt+ trait d'union) enfin si c'est pareil sur PC ?
Allez Sib !!!!
Bah, Sib, c'est à toi!!! Je pensais que tu l'avais remarqué...
FRANCE ARGENTINE 32/16
Sibylline Benoit 1/0
Les Français ont gagné quelque chose?! Ce n'était pas un match de foot, ça doit être pour ça :)
Les Français ont gagné quelque chose?! Ce n'était pas un match de foot, ça doit être pour ça :)
Sarcastique n'est-il pas?
Non en fait c'est une prévision de score, et c'est du rugby. Mais c'est vrai qu'en Belgique, ... en Suisse ... Sache que ça se joue avec un ballon tout bizarre. Ovale!
C'est-y que tu en aurais contre les Français? J'ai déja relevé quelques trucs ...
En toute amitié néanmoins.
Aux dernières nouvelles, malgré leurs habitudes alimentaires des plus étonnantes, les natifs du Caillou sont Français (même si ça doit déplaire à certains là-bas...).
Oui mais Benoit, je crois me souvenir que SAHKTI relevait de l'importation là bas. Me trompe-je?
J'ai dû louper un épisode, alors...
eh bien...j'aime beaucoup ta suite Kicilou, il y'a beaucoup d'humour et de quiproquos, j'ai dû relire certains passages mais j'aime bien la tournure que cela prend !merci ;0)
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