Ils jouent à merveille les Français ;-) Pour un peu, ils fileraient un cours de rugby au Australiens, si, si ;-)
Blue, donne un mot qui rime avec âme
Je sens que Yali va nous faire un sonnet sur la victoire!
Hé, hé, c'est pas fini !
pâme
Bon, nous devons donc faire un sonnet dont les rimes seront :
Profond
Rêve
Achève
Rubicond
Saison
Drève
Brève
Son
Vanille
Pétille
Feu
Ame
Enjeu
pâme
Dites moi tout de suite si je me suis trompée quelque part.
Profond
Rêve
Achève
Rubicond
Saison
Drève
Brève
Son
Vanille
Pétille
Feu
Ame
Enjeu
pâme
Dites moi tout de suite si je me suis trompée quelque part.
Je sens que Yali va nous faire un sonnet sur la victoire!
Hé, hé, c'est pas fini !
Ils sont cuits SJB, cuits les Pokens
Lucien, ça va comme rimes classiques?
Yali, STP.
Des contraintes de pieds, Sib??
pas d'indic sur la métrique?
On peut commencer ?
c'est parti?
Pour cette 1ère fois, je dirais les pieds qu'on veut, mais si possible, le même nombre du haut jusqu'en bas.
Oui, c'est parfait. On pourrait garder l'ordre feu âme enjeu pâme, encore plus branché classique.
ok, Sib
On a jusqu'à 22h50
Ok, alors, on donne le top!!
Quand du creux de la nuit, dans un sommeil profond
Surgit d’on ne sait où, comme un halo de rêve
Un message sans bruit, un regard qui s’achève,
Au matin on est prêt à boire le Rubicon.
On ne sait pas encore quelle sera la saison
Qui nous verra monter tout au long de la drève
On sait que celle-là, de saison, sera brève
Qu’il n’en restera rien, ni image, ni son.
Pourtant, on va quand même, dans l’odeur de vanille
On rit, près du foyer dont les bûches pétillent
En se brûlant un peu, à ce tout petit feu…
Mais ce n’est rien encore. Tout au fond de nos âmes
On sait bien que ce n’est qu’un reflet de l’enjeu
Enorme pour lequel notre vieux cœur se pâme.
Surgit d’on ne sait où, comme un halo de rêve
Un message sans bruit, un regard qui s’achève,
Au matin on est prêt à boire le Rubicon.
On ne sait pas encore quelle sera la saison
Qui nous verra monter tout au long de la drève
On sait que celle-là, de saison, sera brève
Qu’il n’en restera rien, ni image, ni son.
Pourtant, on va quand même, dans l’odeur de vanille
On rit, près du foyer dont les bûches pétillent
En se brûlant un peu, à ce tout petit feu…
Mais ce n’est rien encore. Tout au fond de nos âmes
On sait bien que ce n’est qu’un reflet de l’enjeu
Enorme pour lequel notre vieux cœur se pâme.
Endormi, je crains le songe Profond
Qui me voit, pendu au sourire du Rêve :
Oui, c’est ton regard lascif qui m’achève
Armé de tes lèvres au teint rubicond
Tu brilles dans l’écarlate saison
Comme le Soleil naît au bout de la drève
Ma vie, pareille au jour, sera si brève
Tremblante, rimée au plus petit son
Goût de ton corps, cristallisé Vanille
Chaleur, ardeur, alentour tu pétilles
Brindille, étincelle, toi mon dernier feu
Tu carbonises, épuises mon âme
Et ta candeur, dans un ultime enjeu,
N’a, lors, que faire de celui qui se pâme
Qui me voit, pendu au sourire du Rêve :
Oui, c’est ton regard lascif qui m’achève
Armé de tes lèvres au teint rubicond
Tu brilles dans l’écarlate saison
Comme le Soleil naît au bout de la drève
Ma vie, pareille au jour, sera si brève
Tremblante, rimée au plus petit son
Goût de ton corps, cristallisé Vanille
Chaleur, ardeur, alentour tu pétilles
Brindille, étincelle, toi mon dernier feu
Tu carbonises, épuises mon âme
Et ta candeur, dans un ultime enjeu,
N’a, lors, que faire de celui qui se pâme
Je suis comme englouti dans un sommeil profond,
Comme un bateau errant oublieux de ses rêves.
Glissant les yeux fermés dans la nuit qui s’achève,
Je voudrais ce matin franchir le Rubicon.
Mes projets ont germé de saison en saison
Sans donner plus de fruits que les ormes des drèves ;
Sachant depuis toujours que la nuit sera brève,
Je voudrais ce matin franchir le mur du son.
J’ai brûlé mes printemps à rêver de vanille,
Noyé tous mes étés dans des vins qui pétillent ;
A tous les amadous j’ai cru bouter le feu,
J’ai cherché le cœur fou et le corps qui se pâme.
Las de me disperser à des jeux sans enjeu,
Je voudrais ce matin trouver enfin mon âme.
Comme un bateau errant oublieux de ses rêves.
Glissant les yeux fermés dans la nuit qui s’achève,
Je voudrais ce matin franchir le Rubicon.
Mes projets ont germé de saison en saison
Sans donner plus de fruits que les ormes des drèves ;
Sachant depuis toujours que la nuit sera brève,
Je voudrais ce matin franchir le mur du son.
J’ai brûlé mes printemps à rêver de vanille,
Noyé tous mes étés dans des vins qui pétillent ;
A tous les amadous j’ai cru bouter le feu,
J’ai cherché le cœur fou et le corps qui se pâme.
Las de me disperser à des jeux sans enjeu,
Je voudrais ce matin trouver enfin mon âme.
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