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Fait attention car ne plus être d'accord avec un parti n'oblige pas à basculer dans un autre...ce qui compte se sont les convictions propres pas celles des partis ; si un parti un jour parvient à les représenter alors tant mieux. Mais si tu as été de gauche je ne vois pas pourquoi tu devrais y renoncer sous prétexte qu'un parti a mal représenté ces valeurs...
Je sais. Ce sont mes valeurs qui ont changés au fil du temps. Et je me sent mieux représenté par un parti de droite conservatrice aujourd'hui que je ne l'étais il y a quelques années.
Chirac disait que si étant jeune tu n'es pas de gauche c'est que tu n'as pas de cœur, et si en vieillissant tu n'es pas de droite c'est que tu n'as pas de tête.
Alors je dois avoir perdu la mienne... : -)
Chirac disait que si étant jeune tu n'es pas de gauche c'est que tu n'as pas de cœur, et si en vieillissant tu n'es pas de droite c'est que tu n'as pas de tête.
Ah, si Chirac l'a dit, alors, il n'y a plus qu'à s'incliner (ou pas). Il semblerait d'ailleurs que ce n'est pas Chirac mais Clemenceau.
Ceci dit , tu peux vomir la gauche, mais alors sois cohérent et refuse ce qu'elle a apporté: les salaires décents, la semaine des 40 heures, les congés payés, l'instruction obligatoire, les congés payés, etc. En fait tu es comme la plupart des gens de droite, tu te verrais bien au dix-neuvième siècle, à l'époque où les gens crevaient d'anthracosilicose dans les mines, à condition d'être riche et de faire partie de la caste dominante.
La gauche, la vraie, ce sont ceux qui sont capables d'empathie, et notamment de s'imaginer dans la peau d'un gosse qui pousse des wagonnets de charbon.Et ne reviens pas avec Staline, Pol Pot Mao et autres satrapes, qui n'ont jamais été de gauche.
Ce n'est certainement pas les gens de droite qui ont mis les gamins ont fond des mines, mon père y était au fond à 14 ans. Ce sont les Lumières qui ont amené cette misère .
Les salaires décents après avoir créé l'indécence, ouais !
Staline et consorts pas de gauche, ouais !
Ce qui est bien avec les gens de gauche c'est qu'aucun de leurs leaders n'est jamais de gauche.
Sinon pour revenir au sujet, Rassinier qui était de gauche, était l'un des premiers révisionnistes, et lui il avait été à Buchenwald et ne reconnaissait pas, dans ce qu'en disait les gens autorisés, ce qu'il avait vécu.
80 % des collabos étaient de gauche.
La gauche a amené plus de misère. Les historiens feront le bilan, entre les cocos qui ont au bas mot 100 millions de morts au compteur. C'est marrant de constater qu'une bonne partie de notre immigration vient de pays géré par des cocos ou des gauchos.
Mais honnêtement je m'en fous du débat gauche droite, il est mort de toute façon.
Le vent est en train de tourner, les choses sont être reprises en main, les gens vont le demander.
Curieux de constater que les banlieues gérées par la gauche sont toutes aux abois.
ET j'y ai travaillé et vécu des années donc pas de morale , je connais très bien le quartier et je suis content d'avoir pu quitter cette zone infecte.
Les profs que je connais et qui y travaillent n'ont qu'une hâte c'est de muter ou alors ils sont en arrêt ou sous cachetons. Mais je m'en fous car ils sont souvent de gauche et paie pour leur idéologie.
Les salaires décents après avoir créé l'indécence, ouais !
Staline et consorts pas de gauche, ouais !
Ce qui est bien avec les gens de gauche c'est qu'aucun de leurs leaders n'est jamais de gauche.
Sinon pour revenir au sujet, Rassinier qui était de gauche, était l'un des premiers révisionnistes, et lui il avait été à Buchenwald et ne reconnaissait pas, dans ce qu'en disait les gens autorisés, ce qu'il avait vécu.
80 % des collabos étaient de gauche.
La gauche a amené plus de misère. Les historiens feront le bilan, entre les cocos qui ont au bas mot 100 millions de morts au compteur. C'est marrant de constater qu'une bonne partie de notre immigration vient de pays géré par des cocos ou des gauchos.
Mais honnêtement je m'en fous du débat gauche droite, il est mort de toute façon.
Le vent est en train de tourner, les choses sont être reprises en main, les gens vont le demander.
Curieux de constater que les banlieues gérées par la gauche sont toutes aux abois.
ET j'y ai travaillé et vécu des années donc pas de morale , je connais très bien le quartier et je suis content d'avoir pu quitter cette zone infecte.
Les profs que je connais et qui y travaillent n'ont qu'une hâte c'est de muter ou alors ils sont en arrêt ou sous cachetons. Mais je m'en fous car ils sont souvent de gauche et paie pour leur idéologie.
Soral a rendu un très bel hommage à Faurisson, très digne.
Faurisson, Rassinier, Soral, bravo quelles belles références....! Des escrocs, des menteurs, des falsificateurs de l'histoire.
Voici un peu de lecture qui t'élèvera peut-être un peu l'esprit : https://phdn.org/negation/rassinier/
Voici un peu de lecture qui t'élèvera peut-être un peu l'esprit : https://phdn.org/negation/rassinier/
Rassinier a été à Buchenwald... Exact. Ça me rappelle la vieille blague du grand-père mort à Auschwitz.... En tombant d'un mirador. Selon les témoignages des survivants de Buchenwald, sa détention fut très particulière et il semble avoir été très privilégié par les nazis.
Voici ce qu'écrit André Sellier, lui-même ancien déporté, dans son livre "Histoire du camp de Dora", Editions la Découverte, 1998.
« [Rassinier] néglige d'insister sur le fait qu'il s'est trouvé lui-même, en réalité, associé à une sorte de mafia interne au camp lui assurant la sauvegarde de ses colis et des séjours à répétition au Revier [l'infirmerie] .»
(Sellier p. 179)
« L'auteur a dépouillé le témoignage de Rassinier au même titre que ceux d'autres détenus de Dora [...]. Il ressort de cette analyse que Rassinier n'a connu le sort commun que du 30 janvier au 8 avril 1944 : arrivée à Buchenwald, quarantaine, transfert à Dora, affectation à un Kommando de terrasse. Le 8 avril 1944 il entre au Revier de Dora et y reste dans des conditions privilégiées, jusqu'en avril 1945. Ce séjour n'est interrompu que par des brefs retours au camp, et par le passage au service d'un sous-officier SS entre le 23 décembre 1944 et le 10 mars 1945. Il n'a ainsi aucune expérience directe du Tunnel ni des autres camps du Mittlebau. La plupart des indications qu'il donne résultent de conversations avec des camarades qui arrivent malades au Revier. Elles sont généralement très approximatives, et à plusieurs reprises tout à fait erronées.
« La personnalité de Rassinier est déconcertante. Il ne noue aucune amitié au camp et ne porte que des jugements négatifs sur les autres détenus, à Buchenwald ou à Dora. Retranché dans sa solitude et son inaction au Revier, il se fabrique un schéma d'interprétation du monde concentrationnaire, tantôt banal, tantôt franchement aberrant. Comme il est naturellement pontifiant, il est connu au Revier comme « le professeur » [...]
« A l'époque [celle de la publication de ses premiers livres], le plus important pour Rassinier est d'essayer de substituer son schéma à celui de Rousset et de Kogon. Il n'y parvient pas, mais le recueil de 1955 sera traduit en allemand en 1960, en espagnol en 1961 et en italien en 1966, comme s'il s'agissait d'un ouvrage faisant autorité. Pourtant, aussi bien sur Buchenwald que sur Dora, ce document est sujet à caution, bien au delà des livres des auteurs que Rassinier incrimine. »
(Sellier pages 435-436)
Et encore:
« le passage sur les SS est d'une exceptionnelle discrétion. Tout est fait pour minimiser leur rôle. »
« Le terme de Häftlingsführung est un terme de SS. Le fait que Rassinier ait repris dans son livre une telle terminologie étaie l'idée qu'il a eu des soutiens des SS. Les détenus, eux, n'en parlaient pas du tout dans ces termes. »
« Tout ce qu'il dit sur les noms des gens, il ne peut l'avoir su que s'il était initié au fonctionnement du camp. Et on ne pouvait être initié au fonctionnement du camp que par les SS. Personne d'entre nous n'avait la connaissance détaillée des noms qu'a Rassinier, qui impliquait des contacts proches avec les SS. »
[...]
« est le seul lieu ouvert dans un ensemble concentrationnaire très fragmenté. Les malades qui arrivent apportent avec eux des informations et des rumeurs de toutes sortes. C'est le lieu de diffusion de tous les on-dit, et le texte de Rassinier, quand on l'examine de près, est le plus mauvais document qui soit sur Dora, car les informations dont il se fait l'écho sont plus ou moins gravement déformées ».
« Il me fait rire quand il donne le détail de ses séjours au Revier. C'est idiot, on ne peut pas donner le détail. On n'avait pas de date, on n'avait pas de calendrier, on n'avait rien. »
« Ce qu'il dit sur le Revier, et ses contradictions entre le fait que les kapos y étaient affreux et le fait qu'il y soit resté si longtemps, montre qu'il n'aurait pas pu survivre sans protection. »
« Il a dû avoir un traitement de faveur. Je suis passé plusieurs fois au Revier, mais jamais aussi longtemps. »
« Huit mois au Revier? Et il en est sorti vivant? »
« C'est peut-être d'avoir passé ses journées au printemps 1944 à « bavarder à droite et à gauche » dans le camp SS de Dora qui a permis à Rassinier d'émailler son Passage de la ligne de phrases en allemand, plus fréquentes que dans d'autres témoignages, et qu'il met notamment dans la bouche de déportés censés s'être adressés à lui au camp. L'abus de ces expressions parlées, alors même qu'elles regorgent de fautes de grammaire ou d'orthographe, expose leur inauthenticité et, du même coup, celle du récit qu'elles ornent, scènes à l'évidence fabriquées avec le souci de leur conférer une apparence véridique. Le procédé est d'autant plus flagrant lorsque la scène est aisément identifiable comme ayant été inventée.
Ainsi, Rassinier, après un long développement sur son statut de petit, de déporté de la base, raconte qu'il reçoit un jour à Buchenwald « un formidable coup de poing » accompagné d'« une avalanche d'injures en allemand », (« Hier ist Buchenwald, Lumpe, schau mal, hier ist Krematorium »). L'un et l'autre lui ont été assénés, explique-t-il, par un de ces « individus gros et gras, bien fourrés, au reste détenus comme nous, mais portant au bras l'insigne d'une autorité quelconque et à la main la gummi qui la justifie ».
Un déporté boiteux lui explique alors : « Tu pouvais pas faire attention : c'est Thaelmann! » L'instant d'après, c'est le boiteux qui reçoit à son tour un coup de poing et des injures, de la part d'« un autre personnage à brassard et à gummi ». Commentaire du boiteux : « Ça ne m'étonne pas de ce c...-là : c'est Breitscheid. »
Rassinier conclut la scène en écrivant qu'il « n'éprouve pas le moins du monde le besoin de vérifier l'identité des deux lascars » et qu'il se « borne à sourire à la pensée qu'ils ont enfin réalisé l'unité d'action dont ils ont tant parlé avant la guerre ».
Or, Ernst Thaelmann, le dirigeant du Parti communiste allemand, arrêté par les nazis dès le mois de mars 1933, n'a jamais été détenu à Buchenwald, où il ne fut amené qu'en août 1944 et aussitôt assassiné. Quant à Rudolf Breitscheid, leader du Parti social-démocrate, livré aux nazis par Vichy après qu'il se fut réfugié en France et qui mourut lors du bombardement américain sur Buchenwald, le 24 août 1944, il était demeuré constamment interné dans une bâtisse située à l'extérieur du camp, comme d'autres personnalités, Léon Blum par exemple, sans contact avec les détenus et pas plus à même que Thaelmann de jouer les kapos à brassard et gummi. On comprend dès lors que Rassinier n'ait pas eu « besoin de vérifier l'identité des deux lascars » qui les malmenèrent, écrit-il, lui et le petit boiteux, un jour de février ou de mars 1944. Mais le lecteur n'a aucune raison de savoir que Rassinier a des comptes à régler avec les communistes depuis qu'il a quitté Belfort, quand il lit dans Passage de la ligne que le secrétaire général du PC allemand en personne a frappé et injurié à Buchenwald un simple déporté de base incarné en l'auteur du récit. »
(Nadine Fresco, Fabrication d'un antisémite, Seuil, 1999, p. 513-514)
La conclusion est claire, Rassininer est un imposteur, mais un imposteur utile aux négationnistes.
https://phdn.org/negation/rassinier/…
Voici ce qu'écrit André Sellier, lui-même ancien déporté, dans son livre "Histoire du camp de Dora", Editions la Découverte, 1998.
« [Rassinier] néglige d'insister sur le fait qu'il s'est trouvé lui-même, en réalité, associé à une sorte de mafia interne au camp lui assurant la sauvegarde de ses colis et des séjours à répétition au Revier [l'infirmerie] .»
(Sellier p. 179)
« L'auteur a dépouillé le témoignage de Rassinier au même titre que ceux d'autres détenus de Dora [...]. Il ressort de cette analyse que Rassinier n'a connu le sort commun que du 30 janvier au 8 avril 1944 : arrivée à Buchenwald, quarantaine, transfert à Dora, affectation à un Kommando de terrasse. Le 8 avril 1944 il entre au Revier de Dora et y reste dans des conditions privilégiées, jusqu'en avril 1945. Ce séjour n'est interrompu que par des brefs retours au camp, et par le passage au service d'un sous-officier SS entre le 23 décembre 1944 et le 10 mars 1945. Il n'a ainsi aucune expérience directe du Tunnel ni des autres camps du Mittlebau. La plupart des indications qu'il donne résultent de conversations avec des camarades qui arrivent malades au Revier. Elles sont généralement très approximatives, et à plusieurs reprises tout à fait erronées.
« La personnalité de Rassinier est déconcertante. Il ne noue aucune amitié au camp et ne porte que des jugements négatifs sur les autres détenus, à Buchenwald ou à Dora. Retranché dans sa solitude et son inaction au Revier, il se fabrique un schéma d'interprétation du monde concentrationnaire, tantôt banal, tantôt franchement aberrant. Comme il est naturellement pontifiant, il est connu au Revier comme « le professeur » [...]
« A l'époque [celle de la publication de ses premiers livres], le plus important pour Rassinier est d'essayer de substituer son schéma à celui de Rousset et de Kogon. Il n'y parvient pas, mais le recueil de 1955 sera traduit en allemand en 1960, en espagnol en 1961 et en italien en 1966, comme s'il s'agissait d'un ouvrage faisant autorité. Pourtant, aussi bien sur Buchenwald que sur Dora, ce document est sujet à caution, bien au delà des livres des auteurs que Rassinier incrimine. »
(Sellier pages 435-436)
Et encore:
« le passage sur les SS est d'une exceptionnelle discrétion. Tout est fait pour minimiser leur rôle. »
« Le terme de Häftlingsführung est un terme de SS. Le fait que Rassinier ait repris dans son livre une telle terminologie étaie l'idée qu'il a eu des soutiens des SS. Les détenus, eux, n'en parlaient pas du tout dans ces termes. »
« Tout ce qu'il dit sur les noms des gens, il ne peut l'avoir su que s'il était initié au fonctionnement du camp. Et on ne pouvait être initié au fonctionnement du camp que par les SS. Personne d'entre nous n'avait la connaissance détaillée des noms qu'a Rassinier, qui impliquait des contacts proches avec les SS. »
[...]
« est le seul lieu ouvert dans un ensemble concentrationnaire très fragmenté. Les malades qui arrivent apportent avec eux des informations et des rumeurs de toutes sortes. C'est le lieu de diffusion de tous les on-dit, et le texte de Rassinier, quand on l'examine de près, est le plus mauvais document qui soit sur Dora, car les informations dont il se fait l'écho sont plus ou moins gravement déformées ».
« Il me fait rire quand il donne le détail de ses séjours au Revier. C'est idiot, on ne peut pas donner le détail. On n'avait pas de date, on n'avait pas de calendrier, on n'avait rien. »
« Ce qu'il dit sur le Revier, et ses contradictions entre le fait que les kapos y étaient affreux et le fait qu'il y soit resté si longtemps, montre qu'il n'aurait pas pu survivre sans protection. »
« Il a dû avoir un traitement de faveur. Je suis passé plusieurs fois au Revier, mais jamais aussi longtemps. »
« Huit mois au Revier? Et il en est sorti vivant? »
« C'est peut-être d'avoir passé ses journées au printemps 1944 à « bavarder à droite et à gauche » dans le camp SS de Dora qui a permis à Rassinier d'émailler son Passage de la ligne de phrases en allemand, plus fréquentes que dans d'autres témoignages, et qu'il met notamment dans la bouche de déportés censés s'être adressés à lui au camp. L'abus de ces expressions parlées, alors même qu'elles regorgent de fautes de grammaire ou d'orthographe, expose leur inauthenticité et, du même coup, celle du récit qu'elles ornent, scènes à l'évidence fabriquées avec le souci de leur conférer une apparence véridique. Le procédé est d'autant plus flagrant lorsque la scène est aisément identifiable comme ayant été inventée.
Ainsi, Rassinier, après un long développement sur son statut de petit, de déporté de la base, raconte qu'il reçoit un jour à Buchenwald « un formidable coup de poing » accompagné d'« une avalanche d'injures en allemand », (« Hier ist Buchenwald, Lumpe, schau mal, hier ist Krematorium »). L'un et l'autre lui ont été assénés, explique-t-il, par un de ces « individus gros et gras, bien fourrés, au reste détenus comme nous, mais portant au bras l'insigne d'une autorité quelconque et à la main la gummi qui la justifie ».
Un déporté boiteux lui explique alors : « Tu pouvais pas faire attention : c'est Thaelmann! » L'instant d'après, c'est le boiteux qui reçoit à son tour un coup de poing et des injures, de la part d'« un autre personnage à brassard et à gummi ». Commentaire du boiteux : « Ça ne m'étonne pas de ce c...-là : c'est Breitscheid. »
Rassinier conclut la scène en écrivant qu'il « n'éprouve pas le moins du monde le besoin de vérifier l'identité des deux lascars » et qu'il se « borne à sourire à la pensée qu'ils ont enfin réalisé l'unité d'action dont ils ont tant parlé avant la guerre ».
Or, Ernst Thaelmann, le dirigeant du Parti communiste allemand, arrêté par les nazis dès le mois de mars 1933, n'a jamais été détenu à Buchenwald, où il ne fut amené qu'en août 1944 et aussitôt assassiné. Quant à Rudolf Breitscheid, leader du Parti social-démocrate, livré aux nazis par Vichy après qu'il se fut réfugié en France et qui mourut lors du bombardement américain sur Buchenwald, le 24 août 1944, il était demeuré constamment interné dans une bâtisse située à l'extérieur du camp, comme d'autres personnalités, Léon Blum par exemple, sans contact avec les détenus et pas plus à même que Thaelmann de jouer les kapos à brassard et gummi. On comprend dès lors que Rassinier n'ait pas eu « besoin de vérifier l'identité des deux lascars » qui les malmenèrent, écrit-il, lui et le petit boiteux, un jour de février ou de mars 1944. Mais le lecteur n'a aucune raison de savoir que Rassinier a des comptes à régler avec les communistes depuis qu'il a quitté Belfort, quand il lit dans Passage de la ligne que le secrétaire général du PC allemand en personne a frappé et injurié à Buchenwald un simple déporté de base incarné en l'auteur du récit. »
(Nadine Fresco, Fabrication d'un antisémite, Seuil, 1999, p. 513-514)
La conclusion est claire, Rassininer est un imposteur, mais un imposteur utile aux négationnistes.
https://phdn.org/negation/rassinier/…
Quant à Soral, une petite question, quand il a rendu ce vibrant hommage à Faurisson, était-il habillé?
Parce que souvent, quand il veut s'exprimer, c'est en tenue d'Adam:
http://elfassiscoopblog.com/exclusif-alain-soral-l…
Parce que souvent, quand il veut s'exprimer, c'est en tenue d'Adam:
http://elfassiscoopblog.com/exclusif-alain-soral-l…
Une petite image vaut mieux qu'un long discours. Voici donc Faurisson en route vers sa dernière demeure:
http://media.urtikan.net/wp-content/uploads/…
http://media.urtikan.net/wp-content/uploads/…
Soral a rendu un très bel hommage à Faurisson, très digne.
Franchement Hexagone ça devient honteux ! Au point d'en avoir la nausée ! On va où là ? Tous ces relents de l'Histoire qui apparemment ne servent pas de leçon arrivent à grands pas ! On se croirait en Allemagne dans les années 30 ! Quelle misère ! Et c'est ce qui nous attend s'il n'y a pas un sursaut de ceux qui ne veulent pas retomber dans le fachisme ! Non non pas de Point G. Il y a urgence ...la bête est malheureusement toujours tapie dans l'ombre, ne la laissons pas se réveiller !
Oui la bête et toussa …Il y a deux soucis à notre époque le premier c'est que tout débat tourne au sentimentalisme et que la Shoah est devenue une religion.
Mais les temps ont changé et vont encore changé.
Auparavant il n'y avait que les organes officiels pour informer, organes contrôlés.
C'est terminé, et une partie de la jeunesse et moins prompte à se laisser berner.
Il y a de nombreux musulmans, juifs qui commencent à comprendre qu'ils ont été manipulés par le pouvoir et surtout la gauche.
Faurisson avait un leitmotiv, il disait que la vérité était trop vague et qu'il s'attachait, li à l'exactitude.
Je suis certain qu'ici peut de gens connaissent Faurisson autrement que par ce qu'en dit le Monde ou France-Inter.
Dire que Faurisson est un faussaire de l'histoire, terme de Badinter, est un mensonge, dire qu'il est révisionniste est un mensonge, dire qu'il est révisionniste est la vérité.
Tout historien se doit d'être révisionniste.
Mes débuts dans ce domaine sont dus à notre chère éducation nationale.
J'ai appris comme tout le monde que Colomb avait découvert l'Amérique et que les rois étaient de méchants personnages oppressants le peuple.
J'ai appris, en grandissant et après avoir bien répété mes leçons que tout cela était faux mais que cependant il fallait y croire, oui y croire car c'est comme une sorte de religion. Même les professeurs y croient, normal c'est leur gagne-pain, mais dans les faits c'est faux ou alors on chasse des millions de personnes et on les met aux oubliettes de l'histoire, ce fut le cas des amérindiens qui avaient découvert le continent des milliers d'années avant nous et avaient bâti une culture qui a été rayée.
C'est le vainqueur qui écrit l'histoire.
Le procès de Nuremberg a été une falsification de l'Histoire et du droit pénal, c'est d'ailleurs à partir de là que tout commence pour Israël.
Mais je pense sincèrement que toute cette mascarade va prendre fin, la nouvelle génération ne croit plus à ces vulgaires montages.
Quant à Faurisson faussaire, il faut le prouver, ce qui n'a jamais été fait, seul Badinter a jeté sa phrase aux médias serviles et l'ont répété en boucle.
Si nous faisions un micro-trottoir et évoquions le nom de Faurison, les gens, au mieux s'ils le connaissent, diraient que c'est le diable, si on leur demandait pourquoi ils ne sauraient pas répondre à part répéter ce que les médias leurs ont dit.
Mais les temps ont changé et vont encore changé.
Auparavant il n'y avait que les organes officiels pour informer, organes contrôlés.
C'est terminé, et une partie de la jeunesse et moins prompte à se laisser berner.
Il y a de nombreux musulmans, juifs qui commencent à comprendre qu'ils ont été manipulés par le pouvoir et surtout la gauche.
Faurisson avait un leitmotiv, il disait que la vérité était trop vague et qu'il s'attachait, li à l'exactitude.
Je suis certain qu'ici peut de gens connaissent Faurisson autrement que par ce qu'en dit le Monde ou France-Inter.
Dire que Faurisson est un faussaire de l'histoire, terme de Badinter, est un mensonge, dire qu'il est révisionniste est un mensonge, dire qu'il est révisionniste est la vérité.
Tout historien se doit d'être révisionniste.
Mes débuts dans ce domaine sont dus à notre chère éducation nationale.
J'ai appris comme tout le monde que Colomb avait découvert l'Amérique et que les rois étaient de méchants personnages oppressants le peuple.
J'ai appris, en grandissant et après avoir bien répété mes leçons que tout cela était faux mais que cependant il fallait y croire, oui y croire car c'est comme une sorte de religion. Même les professeurs y croient, normal c'est leur gagne-pain, mais dans les faits c'est faux ou alors on chasse des millions de personnes et on les met aux oubliettes de l'histoire, ce fut le cas des amérindiens qui avaient découvert le continent des milliers d'années avant nous et avaient bâti une culture qui a été rayée.
C'est le vainqueur qui écrit l'histoire.
Le procès de Nuremberg a été une falsification de l'Histoire et du droit pénal, c'est d'ailleurs à partir de là que tout commence pour Israël.
Mais je pense sincèrement que toute cette mascarade va prendre fin, la nouvelle génération ne croit plus à ces vulgaires montages.
Quant à Faurisson faussaire, il faut le prouver, ce qui n'a jamais été fait, seul Badinter a jeté sa phrase aux médias serviles et l'ont répété en boucle.
Si nous faisions un micro-trottoir et évoquions le nom de Faurison, les gens, au mieux s'ils le connaissent, diraient que c'est le diable, si on leur demandait pourquoi ils ne sauraient pas répondre à part répéter ce que les médias leurs ont dit.
Quant à Soral, une petite question, quand il a rendu ce vibrant hommage à Faurisson, était-il habillé?
Parce que souvent, quand il veut s'exprimer, c'est en tenue d'Adam:
http://elfassiscoopblog.com/exclusif-alain-soral-l…
Non, il était en pyjama.
Faurisson, Rassinier, Soral, bravo quelles belles références....! Des escrocs, des menteurs, des falsificateurs de l'histoire.
Voici un peu de lecture qui t'élèvera peut-être un peu l'esprit : https://phdn.org/negation/rassinier/
Merci mais je les préfère aux falsificateurs que sont Wiesel, Lanzman et consorts.
Soral a rendu un très bel hommage à Faurisson, très digne.
Franchement Hexagone ça devient honteux ! Au point d'en avoir la nausée ! On va où là ? Tous ces relents de l'Histoire qui apparemment ne servent pas de leçon arrivent à grands pas ! On se croirait en Allemagne dans les années 30 ! Quelle misère ! Et c'est ce qui nous attend s'il n'y a pas un sursaut de ceux qui ne veulent pas retomber dans le fachisme ! Non non pas de Point G. Il y a urgence ...la bête est malheureusement toujours tapie dans l'ombre, ne la laissons pas se réveiller !
C'est bien, je vois que tu as bien appris ta leçon.
Les relents de quoi, de la mémoire d'un homme qui n'a jamais nié les camps, il a juste demandé des précisions sur les méthodes d'extermination, chose que l'on ne lui a jamais fournie ?
Un des phrases qui lui a été répondue lors d'un des ses nombreux procès est : On ne peut pas remettre en cause la Shoah.
Je pense que cette phrase résume la situation.
Circulez y a rien à voir.
Une petite image vaut mieux qu'un long discours. Voici donc Faurisson en route vers sa dernière demeure:
http://media.urtikan.net/wp-content/uploads/…
On dirait du Charlie !
Quand je pense à tous ses veaux qui ont mis après les attentats sur leur profil "Je suis Charlie !
La masse répond toujours présente aux sollicitations sentimentales.
La masse répond toujours présente aux sollicitations sentimentales.
Mais quel mépris pour tout ce qui n'est pas ta petite (très petite) personne. Oui, la masse a du sentiment, et alors? Elle en a bien plus que les types qui versaient du Zyklon B dans les soi-disant salles de douche, et heureusement. Moi je suis fier de faire partie de ce que tu appelles la masse et pas de ce que tu considères comme l'élite.
Merci mais je les préfère aux falsificateurs que sont Wiesel, Lanzman et consorts.
Je t'ai donné quelques références historiques démontrant que les falsificateurs ce sont Rassinier, Faurisson et maintenant Soral. J'attends toujours les tiennes qui démontreraient que Wiesel, Lanzamn et autres en étaient.
Tu as l'imprécation facile, mais quand il s'agit d'argumenter, il n'y a plus personne.
Les preuves des camps d'extermination sont nombreuses, à commencer par les déclarations des nazis eux-mêmes, et notamment d'Eichman qui lors de son procès ne nia jamais que les camps d'extermination existaient, il se contenta de nier sa propre responsabilité.
Il y a les témoignages des survivants, il y a les corps et le butin, il y a aussi les photos de l'époque.
Il faut vraiment être la dernière des crapules ou le dernier des crétins, ou même les deux à la fois pour être négationniste.
!
Quand on pense qu''on en est à essayer de justifier le fait qu''il y ait eu des camps d'Extermination !!! Et Hexagone qui fait son monologue en se plaignant qu''on puisse avoir un avis différent du sien ! Lui qui affirme que le débat n'est pas possible ! On pourrait vraiment en rire si ce n'était pas aussi triste et lamentable. Tu as bien appris ta bible de l'extrême droite, tu es bien dans ta religion de l'anti- humain toi qui prône celle de celui qui prônait le contraire avec un toupet incroyable!
Soral a rendu un très bel hommage à Faurisson, très digne.
Franchement Hexagone ça devient honteux ! Au point d'en avoir la nausée ! On va où là ? Tous ces relents de l'Histoire qui apparemment ne servent pas de leçon arrivent à grands pas ! On se croirait en Allemagne dans les années 30 ! Quelle misère ! Et c'est ce qui nous attend s'il n'y a pas un sursaut de ceux qui ne veulent pas retomber dans le fachisme ! Non non pas de Point G. Il y a urgence ...la bête est malheureusement toujours tapie dans l'ombre, ne la laissons pas se réveiller !
C'est bien, je vois que tu as bien appris ta leçon.
Les relents de quoi, de la mémoire d'un homme qui n'a jamais nié les camps, il a juste demandé des précisions sur les méthodes d'extermination, chose que l'on ne lui a jamais fournie ?
Un des phrases qui lui a été répondue lors d'un des ses nombreux procès est : On ne peut pas remettre en cause la Shoah.
Je pense que cette phrase résume la situation.
Circulez y a rien à voir.
Quand on pense qu''on en est à essayer de justifier le fait qu''il y ait eu des camps d'Extermination !!! Et Hexagone qui fait son monologue en se plaignant qu''on puisse avoir un avis différent du sien ! Lui qui affirme que le débat n'est pas possible ! On pourrait vraiment en rire si ce n'était pas aussi triste et lamentable. Tu as bien appris ta bible de l'extrême droite, tu es bien dans ta religion de l'anti- humain toi qui prône celle de celui qui prônait le contraire avec un toupet incroyable!
Des gens comme Hecagone ont faot fuir beaucoup de beaux esprits du site. Moi je ne partirai pas et je lui mettrai toujours le nez dans son caca brun.
Des gens comme Hecagone ont faot fuir beaucoup de beaux esprits du site. Moi je ne partirai pas et je lui mettrai toujours le nez dans son caca brun.
Moi aussi : -)
Quand on pense qu''on en est à essayer de justifier le fait qu''il y ait eu des camps d'Extermination !!! Et Hexagone qui fait son monologue en se plaignant qu''on puisse avoir un avis différent du sien ! Lui qui affirme que le débat n'est pas possible ! On pourrait vraiment en rire si ce n'était pas aussi triste et lamentable. Tu as bien appris ta bible de l'extrême droite, tu es bien dans ta religion de l'anti- humain toi qui prône celle de celui qui prônait le contraire avec un toupet incroyable!
J'avoue que là, ça dépasse les bornes. Je suis un conservateur, mais pas d'extrême droite. On a tous le droit d'avoir un avis différent. Et je suis d'accord avec vous Le rat des champs et Pieronnelle.
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