Moi ce qui m'a un peu étonné c'est qu'il choisisse de rester au pays plutôt que d'aller vivre en ville avec la femme qu'il aime. On peut dire qu'il aimait sa campagne plus que la femme.
Moi ce qui m'a un peu étonné c'est qu'il choisisse de rester au pays plutôt que d'aller vivre en ville avec la femme qu'il aime. On peut dire qu'il aimait sa campagne plus que la femme.
C'est pour ça que mon idée est que cette lettre sert à justifier son comportement :
- sa femme est très malade,
- mais il a aussi beaucoup de mal à quitter son pays.
Ah! Et bien voilà des échanges... ce serait chouette qu'il y en ait comme çà plus souvent...malheureusement là, je ne peux pas participer car je n'ai pas encore lu;-)
Merci Marvic pour ton excellente critique principale de Bétibou, et à toi aussi Myrco, pour le Cycliste de Tchernobyl !! :-)
Merci Ellane ! A vrai dire, j'attendais que tu postes ta critique de Bétibou avant moi ;-))
Et d'ailleurs je crois savoir que tu n'es plus collégienne !
Voilà ce que je voulais dire, que tu n'as pas de raison de te cailler le sang au moment de mettre une critique en ligne.
Tu as raison, je ne suis plus dans aucune classe ! Et c'est génial !
Je devrais donc avoir le temps de rédiger des critiques principales sans me "mettre la rate au court-bouillon" comme on dit chez nous !
Quant au souci ce n'est pas à ton propos que je m'en fais (j'espère que tout ne va pas mal ?) c'était sur le fait qu'il me semble y avoir une mutation insidieuse de CL en ce moment. Moins léger, ludique ... Mais ce n'est peut-être qu'une impression. Peut-être c'est qu'en vieillissant ma perception change ?
Je pense que CL est le reflet de ce que nous vivons.
Mais il est aussi ce que nous en faisons !
Je trouve que Lobe a eu une formidable idée en proposant un exercice pour dynamiser ce début d'année.
J'aurais bien participé aussi à une lecture collective, mais je trouve plus vivant que d'habitude ce fil sur le Prix CL (où c'est une idée...)
Voilà, terminé "Silo". Fantastique. Je me suis littéralement régalée et j'ai dévoré ce livre rapidement malgré ses 700 pages.
D'ailleurs j'en redemande et je commande immédiatement le deuxième volume tant pis pour "Combien de livre d'avance... ?"
C'est toujours en mouvement, il y a plein d'action et les personnages sont très vrais... j'ai aimé, vibré et détesté en même temps qu'eux, aucun ne laisse indifférent.
L'histoire est très prenante et très réaliste, toujours cette pression de ceux qui savent et dirigent comme ils l'entendent, l'éternel problème en fait.
Quoiqu'il en soit, strictement rien à voir ni rien de comparable avec "la constellation du chien" hormis que ce soit tous les deux des romans "post apocalypse".
D'ailleurs j'en redemande et je commande immédiatement le deuxième volume tant pis pour "Combien de livre d'avance... ?"
C'est toujours en mouvement, il y a plein d'action et les personnages sont très vrais... j'ai aimé, vibré et détesté en même temps qu'eux, aucun ne laisse indifférent.
L'histoire est très prenante et très réaliste, toujours cette pression de ceux qui savent et dirigent comme ils l'entendent, l'éternel problème en fait.
Quoiqu'il en soit, strictement rien à voir ni rien de comparable avec "la constellation du chien" hormis que ce soit tous les deux des romans "post apocalypse".
J'ai lu "Bétibou" de Claudia Pineiro.
Très bon livre qui, comme tout bon "policier", nous parle de notre monde avec, par exemple, l'évolution du "gamin des faits divers" au fil du roman.
Très bon livre qui, comme tout bon "policier", nous parle de notre monde avec, par exemple, l'évolution du "gamin des faits divers" au fil du roman.
Pas encore démarré mais je me suis procuré toute la première sélection et l'Orangeraie et Esquisse d'un pendu de la seconde...
Je ne sais par lequel commencer...
Je ne sais par lequel commencer...
Je viens de terminer "Les faibles et les forts" de Judith Perrignon.
Et je suis encore sous le choc. Petit livre par la taille, grand par le sujet.
Un conseil à ceux qui prévoient de le lire: ne lisez les commentaires qu'après lecture pour, comme l'écrit Marvic "aborder la lecture vierge de tout préjugé. Et ni le titre, ni la première de couverture ne permettent d'anticiper le choc à venir."
Et je suis encore sous le choc. Petit livre par la taille, grand par le sujet.
Un conseil à ceux qui prévoient de le lire: ne lisez les commentaires qu'après lecture pour, comme l'écrit Marvic "aborder la lecture vierge de tout préjugé. Et ni le titre, ni la première de couverture ne permettent d'anticiper le choc à venir."
Je rejoins Marvic et Ludmilla pour le livre de Judith Perrignon !
Pour ma part, j'ai fini Géronimo a mal au dos, qui me laisse une impression mitigée. Outre que le sujet n'était pas très heureux au vu de mon actualité, j'ai trouvé le livre... sans plus. Bien écrit, quelques jolis passages, mais sans plus. Quelques passages qui sonnent vrais, mais sans plus. Ce livre m'a donné le sentiment d'une sorte de revanche, l'occasion pour un homme de dire ses "quatre vérités" à un autre, celles qu'on ne dit jamais, parce qu'on n'en a jamais l'occasion (Goffette parle plutôt bien de ces quatre vérités-là). Comme une cure cathartique, un besoin post-mortem de pouvoir enfin cracher des sentiments, afin de pouvoir, peut-être, passer à autre chose. Le passage du "cas particulier" vers "l'universel" ne s'est pas fait pour moi. C'est ceci dit peut-être du fait que je n'avais pas le bon esprit pour aborder ce livre.
Pour ma part, j'ai fini Géronimo a mal au dos, qui me laisse une impression mitigée. Outre que le sujet n'était pas très heureux au vu de mon actualité, j'ai trouvé le livre... sans plus. Bien écrit, quelques jolis passages, mais sans plus. Quelques passages qui sonnent vrais, mais sans plus. Ce livre m'a donné le sentiment d'une sorte de revanche, l'occasion pour un homme de dire ses "quatre vérités" à un autre, celles qu'on ne dit jamais, parce qu'on n'en a jamais l'occasion (Goffette parle plutôt bien de ces quatre vérités-là). Comme une cure cathartique, un besoin post-mortem de pouvoir enfin cracher des sentiments, afin de pouvoir, peut-être, passer à autre chose. Le passage du "cas particulier" vers "l'universel" ne s'est pas fait pour moi. C'est ceci dit peut-être du fait que je n'avais pas le bon esprit pour aborder ce livre.
Vraiment ? Et avec l'habitude, l'entrainement ?
Je n'ai pas de difficulté à écrire une critique, d'autant que je prends pas mal de notes au cours de mes lectures et que je colle des post-it sur les passages qui me plaisent le plus. Je manque juste souvent de temps pour me "poser" une demie-heure, histoire de mettre de l'ordre, un semblant de logique, quelques mots de liaisons et de relire le tout (merci Ludmilla qui repasse sur les critiques pour en corriger les "coquilles").
Merci Ellane ! A vrai dire, j'attendais que tu postes ta critique de Bétibou avant moi ;-))
Eh eh ! Maintenant, il ne nous reste plus qu'à attendre l'avis de Ludmilla :-))
Quand on n'a rien à ajouter, comme les opinions émises sont parfois contradictoires, je ne trouve pas inintéressant de se situer par rapport à ce qui a été dit. Cela permet de mieux connaître nos affinités qui peuvent parfois orienter nos choix de lectures.
Ce que je regrette beaucoup sur C.L (mais c'est malheureusement à l'image de la société qui nous entoure), c'est que les échanges ne se font que dans le cadre d'un noyau très restreint, et encore...Que cherchent la plupart en venant ici? Juste une petite valorisation personnelle ? Mais je m'écarte du sujet...C'était juste une petite réflexion désabusée du matin;-(
Bonne journée à tous;-))
Je partage l'avis de Myrco. Il y a des CLiens dont j'adore les critiques mais dont je ne partage pas du tout les gouts (je l'ai découvert au prix de quelques déconvenues littéraires... :-)), et puis d'autres, dont je partage les gouts et apprécie en plus les critiques. Du coup, même s'ils ont l'impression de ne pas innover, savoir où se situent ceux qui sont "proches" ou "loin" de ses gouts, c'est utile !
En lisant ta réflexion désabusée du matin, Myrco, je me disais qu'entre "ce que cherchent la plupart en venant ici", ce qu'ils comptaient trouver en s'y inscrivant, et ce qu'au final ils trouvent vraiment, il y a tout un monde ! Quant à la "valorisation personnelle", je ne suis pas convaincue que c'est sur CL qu'on vient la chercher. Mais bon, je dis ça, je ne dis rien...
J'ai terminé aussi "Les faibles et les forts", happée par la seconde moitié du livre.
En lisant ta réflexion désabusée du matin, Myrco, je me disais qu'entre "ce que cherchent la plupart en venant ici", ce qu'ils comptaient trouver en s'y inscrivant, et ce qu'au final ils trouvent vraiment, il y a tout un monde ! Quant à la "valorisation personnelle", je ne suis pas convaincue que c'est sur CL qu'on vient la chercher. Mais bon, je dis ça, je ne dis rien...
En disant cela Ellane, je pensais à tous ceux qui s'inscrivent uniquement pour passer leurs critiques et ne participent jamais, jamais à aucun échange (je mets de côté les forums qui n'ont rien à voir avec les livres) et uniquement à ceux-là qui sont d'ailleurs les plus nombreux.
En disant cela Ellane, je pensais à tous ceux qui s'inscrivent uniquement pour passer leurs critiques et ne participent jamais, jamais à aucun échange (je mets de côté les forums qui n'ont rien à voir avec les livres) et uniquement à ceux-là qui sont d'ailleurs les plus nombreux.
CL est une "petite" communauté qui accepte mal les membres qui ne sont pas dans le moule.
Alors, ces derniers se lassent vite et vont voir ailleurs ...
J'ai quelques noms en tête (d'excellents critiqueurs par ailleurs)
J'ai fini Porcelaine et ca m'a laissé une impression mitigée . Une sorte de conte pour adultes, une part de fantastique trop importante... Mais j'ai aimé les époques traversées, la Chine, l'univers du spectacle.
J'ai lu "Geronimo a mal au dos" aussi, j'ai pour ma part bien aimé même si il est vrai qu'il ne me laissera probablement pas un grand souvenir. Plus que l'aspect "régler son compte avec le père", j'ai surtout apprécié les souvenirs liés à l'enfance dans ce petit village proche de la Semois. Et malgré tout, j'y ai vu une sorte d'hommage à la figure du père même si celui-ci était incapable de montrer son amour à ses enfants.
J'ai lu "Geronimo a mal au dos" aussi, j'ai pour ma part bien aimé même si il est vrai qu'il ne me laissera probablement pas un grand souvenir. Plus que l'aspect "régler son compte avec le père", j'ai surtout apprécié les souvenirs liés à l'enfance dans ce petit village proche de la Semois. Et malgré tout, j'y ai vu une sorte d'hommage à la figure du père même si celui-ci était incapable de montrer son amour à ses enfants.
Les deux dimensions sont présentes, mais c'est dans le ressentiment que le narrateur (l'auteur) s'est construit alors forcément il a beau prendre du recul, ouvrir les yeux et montrer plus de compréhension, vouloir laisser parler en lui cette part qui ne demande qu'à aimer ses parents, le second aspect ne parvient jamais à prendre vraiment le dessus. C'est du moins comme cela que je l'ai perçu peut-être parce que cela touchait à des choses très personnelles aussi.
Mais bon on est d'accord. Ce n'est pas une œuvre marquante; néanmoins un bon moment de lecture, ce n'est déjà pas si mal.
Je rejoins Marvic et Ludmilla pour le livre de Judith Perrignon !
Ravie que vous partagiez mon enthousiasme !
Dommage que la 4° de couverture ou que certains articles ou critiques dévoilent trop du livre, ce qui enlève une partie de la puissance du roman et du choc ressenti à sa lecture.
En disant cela Ellane, je pensais à tous ceux qui s'inscrivent uniquement pour passer leurs critiques et ne participent jamais, jamais à aucun échange (je mets de côté les forums qui n'ont rien à voir avec les livres) et uniquement à ceux-là qui sont d'ailleurs les plus nombreux.
Je ne partage pas tout à fait ton point de vue Myrco ;
personnellement, j'ai" fréquenté" CL uniquement pour m'aider à choisir de nouveaux horizons littéraires avant de m'inscrire...et de faire la même chose, sans pratiquement aucune participation ni échange.
Je "suis" quelques lecteurs dont j'apprécie les critiques et les goûts sans qu'ils n'aient jamais écrit dans aucun forum.
J'y vois là, la vocation première de CL, en tout cas pour moi, telle que je l'ai conçue en arrivant.
Depuis, j'apprécie les échanges, j'ai quelques amis avec qui j'ai grand plaisir à converser et comme tu le constates, je me permets d'intervenir plus souvent :-)
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