Thomasdesmond
avatar 26/07/2004 @ 11:39:04
Salut à tous!!

Je vous invite tous à découvrir mon site perso où sont dispos mes nouvelles, avec des illustrations et une ambiance idéale pour les lire !! Si vous êtes fans de Sking, de Koontz, de Mattheson etc, ça devrait pouvoir vous plaire !!

J'attends vos avis et critiques avec impatience, sur mon forum ou ici !!

Bises à tous !!

http://www.thomasdesmond.fr.st

Monique 26/07/2004 @ 16:38:01
COPIER-COLLER D'A COTE :
"" Message à Thomasdesmond, Cercle & Co
Cet espace n’a pas de vocation publicitaire, mais bien une vocation littéraire ! S’ils vous plaît d’y déposer des textes, ils sont les bienvenus, nous les lirons, les critiquerons, bref nous ferons ce que nous faisons d’habitude ! Mais veuillez avoir l’obligeance de jouer le jeu.
Thomasdesmond, s’il te faut une ambiance particulière pour que tes textes soient lisibles, ben, c’est dommage, j’en reviens de ton site, et pour être franc, l’ambiance à laquelle tu sembles tenir m’a fait foutre le camp, et vite encore…
Un récit c’est du noir sur blanc, des mots, rien de plus, rien de moins !
Il se peut qu’écrivant ce message, je me trompe du tout au tout, que mes petits camarades de jeu soient pas d’accord avec mes remarques ni même les webmasters, mais disons que pour avoir, je crois, travaillé à l’épanouissement de cet espace, je me le permets.
Et j’ajoute que je n’ai rien contre la pub, c’est en partie mon gagne-pain, de la pub j’en commets à foison, mais dans ça comme dans le reste, c’est une question d’éthique !
Je le dis sans animosité aucune. ""
Suis d'accord, à 100%, j'ai eu un frisson en arrivant sur la page d'accueil. Mais je peux comprendre que certains cherchent justement ce frisson, pas moi...
Mo

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 09:03:17
Salut monique !!

Je comprends et respecte ton avis ! Désolé de ne pas avoir compris le fonctionnement de ce forum !

Voici donc une nouvelle que j'ai écrite, en espérant que vous la lirez jusqu'au bout et que vous donnerez votre avis et vos critiques.



PEAU MORTE
Par Thomas Desmond


L'homme visiblement mal à l'aise s'assoit sur la chaise en plastique et fait un signe de tête vers la caméra positionnée dans le coin de la pièce. Elle est mise en route. Il renifle et se met à parler.
– A l'époque j'avais de gros problèmes. Je perdais ma peau, continuellement, qu'elle soit sèche ou grasse. Des lambeaux plus ou moins gros qui parsemaient mon chemin comme celui du petit poucet. N'importe qui pouvait me retrouver sans mal : il suffisait de suivre les morceaux de peau morte. Un vrai calvaire ! Personne ne peut comprendre ce qu'est le regard des gens posé sur vous à longueur de journée. Un jour j'ai rencontré un Saint Homme, le père McGruisick. Il m'aida à vaincre ma maladie et mon mal-être. Depuis ça va beaucoup mieux.
Il s'arrêta et garda le silence, un sourire aimable sur le visage.
– Comment avez-vous rencontré le Père McGruisick ? dit une voix métallique dans le petit haut-parleur fixé au plafond de la pièce...
L'homme sourit, se redressa sur sa chaise et se rappela...
Sept ans plus tôt...

– Perdre autant de peau, c'est gênant, surtout quand on fait un boulot comme le mien. Avec toutes ces saloperies de costards noirs que je me trimballe, comment voulez-vous que ces tas de peaux mortes passent inaperçues ? J'en peux plus de leurs réflexions débiles et mal-placées ! Toutes ces vieilles peaux éplorées qui n'ont rien d'autre à faire que de zieuter mes épaulettes ou ma cravate, elles me tapent sur les nerfs. Je n'ai pas le droit de les envoyer promener, faut bien faire tourner la boutique, et mon patron n'est pas commode. Manquerait plus que je fasse un scandale en plein office ou pendant un rendez-vous avec une famille, je me ferai virer direct, ça c'est sûr et certain ! Je croise les doigts, mais ce salaud est toujours dans les parages, faut faire gaffe ! Il m'a déjà fait des remarques sur mes peaux mortes : " des pellicules ", qu'il disait !! "Faudrait m'corriger ça, Shophner, pas de pellicules dans mon service ! " ... J’te lui en fouterai moi des pellicules, je me lave les cheveux moi m'sieur, j'suis propre. C'est rien que des peaux mortes après tout, c'est pas de ma faute. Personne ne sait ce que ça fait de laisser des petits morceaux de soi un peu partout. Quand une personne me sert la main, elle ne le refait jamais une seconde fois… J'ai déjà été voir trois ou quatre toubibs, y a rien à y faire qu’ils disent, c'est héréditaire. Des bons à rien, ils ne savent rien faire d'autre que de vous prescrire des sirops ou des crèmes qui n'ont aucun effet . Y en pas un qui est fichu de me les enlever, ces peaux mortes, moi j'en ai marre. Déjà gamin, on se foutait bien de moi : j’ai jamais eu un seul copain ou copine... Les petits fumiers, je les répugnais , même la maîtresse elle évitait de me toucher, si si je vous jure m'sieur. Mon père non plus il me touchait pas, je voyais bien que ça lui foutait la gerbe ma peau qui se barrait en copeaux... Ouais... ça dégoûtait même mon père…
Les larmes aux yeux, il s'essuie avec la manche de sa veste, laissant sur la toile une traînée de larmes mêlée de centaines de petits morceaux de peaux mortes, arrachés à ses paupières et à l'arête de son nez.
L'homme en face de lui regarde la manche salie, puis ses yeux remontent et croisent ceux de Shophner.
– Vous aussi vous ne regardez que ça, dit-il, la voix oscillant entre chagrin et colère. Les gens sont comme vous : ils ne voient que ça. Je ne suis que ça : une peau morte. Aux enterrements, il y en a même qui s'arrêtent de pleurer pour se retourner discrètement vers un proche et lui dire dans le creux de l'oreille : "regarde le grand type là-bas, il perd sa peau, comme un lépreux". Ils pensent que je ne les vois pas ces petits enfoirés, s'emporta-il, mais j'ai l'habitude, ça fait des années que je subis ça, comme si j'étais une saloperie de pestiféré. Personne peut comprendre ce que ça fait, et j'en ai marre d'expliquer que c'est pas d'ma faute... Alors moi ce que je veux mon Père, et c'est pour cela que je suis venu vous voir ce soir, c'est que vous m'aidiez, on m'a dit que vous pourriez m'aider, alors...alors j'suis venu...


L'homme en face de lui se leva et se dirigea au fond de la salle aux hauts murs de pierre, où brûlaient une vingtaine de cierges, tous consumés à des hauteurs différentes. Il en alluma un et le planta sur un pic à côté des autres. La flamme devint un court instant rouge et projeta de curieuses ombres aux murs, comme si un vol d'oiseaux avait surgi fugitivement puis avait disparu dans les profondeurs de la pierre. L'homme tournait toujours le dos à Shophner qui ne pouvait voir son visage et ses yeux.
– J'suis prêt à y mettre le prix mon Père, vous savez. J'ai vraiment besoin d'aide.
– À quel prix estimez-vous ce service, cher ami demanda le prêtre qui tournait toujours le dos à Shophner.
– Votre prix sera le mien, au point où j'en suis vous savez...
Le prêtre se retourna par saccades, pivotant sur les dalles comme s'il était fixé à un axe rouillé. Shophner entendit un bruissement d'ailes très fort. Soudain, la pièce sembla tourner sur elle-même, il se leva de sa chaise, perdit l'équilibre et chuta de tout son long. Anticipant le choc, il serra les dents, mais sentit comme un long drap soyeux l'envelopper. Il tenta de s'accrocher à quelque chose mais ne put saisir quoi que ce soit, sinon des plumes qui lui piquèrent les paumes des mains.
Tout tourbillonna dans sa tête et il perdit connaissance, plongé dans des ténèbres inconnues de sa conscience.
 
Shophner ouvrit les yeux pour découvrir qu'il était dans son lit, chez lui, dans son petit appartement situé à cent mètres de son lieu de travail. Il se leva et resta pétrifié. Sa peau était différente, il l'avait senti tout de suite. La sensation de démangeaison et d'irritation permanente avait laissé la place à une douceur qu'il ne connaissait pas jusqu'à présent. Pétrifié et sur-excité, il se passa les mains frénétiquement sur le visage puis les regarda. Aucune peau morte, même pas une seule. Un long sourire se dessina sur son visage, il poussa un cri d'excitation et se précipita vers sa minuscule salle de bain, où se trouvait la seule glace qu'il avait dans son petit appartement. Il se dévisagea de haut en bas, stupéfait de la couleur douce et lisse de sa peau, sans tache ni desquamation.
Il se rapprocha de la glace pour regarder ses paupières de plus près. Le front collé au froid miroir, les yeux dans les yeux, il sentit soudain comme une ombre passer dans son dos. Il se retourna en poussant un cri de surprise et scruta la pièce de gauche à droite. Rien, si ce n'est que les rideaux bougeaient un peu, comme si une petite brise soufflait dans l'appartement.
– Y a quelqu'un ? appela-il d'une voix peu rassurée.
Il ne reçut aucune réponse et se retourna vers la glace. Et là il resta pétrifié devant ce qu'il vit dans le reflet : le Père McGruisick était là dans le miroir, tout de noir vêtu, assis sur la chaise au fond de la chambre, dans le dos de Shophner. Il n'avait plus son petit sourire bon enfant, mais souriait de toutes ses dents, des dents anormalement longues, pensa Shophner, qui sentit une peur sauvage et inexplicable montait en lui.
– Mon... mon Père, qu'est-ce que vous faites chez moi ?... Shophner se mit à bafouiller. Je, c'est po...
– Je vois que votre peau va mieux, mon petit ! lui répondit le curé d'une voix très perçante.
Shophner le regarda, effaré de sa présence en ce lieu si privé que nulle personne autre que Shophner n'avait jamais occupé.
Puis il se souvint de tout : le rendez-vous à l'Eglise, le cierge, les oiseaux, le... Le sang dans ses veines se mit à battre plus fort.
– Et oui petit, on s'était mis d'accord non ? Maintenant tu vas faire ce que tu as promis de faire, et tout de suite. Il est 4h32 du matin, alors dépêche-toi.
Shophner sentit une goutte de sueur longue comme une langue dévaler le creux de ses épaules et descendre jusqu'à ses fesses. Il regarda le père McGruisick dont les yeux avaient rétréci dans leurs orbites et il sentit de nouveau la pièce tourner autour de lui...
– Tu as du boulot petit, ne perds pas ton temps, et n'oublie pas que si tu ne fais ce que je t'ai dit de faire, tu retrouveras tes peaux mortes, mais en pire. Il se pourrait même qu'elles meurent toutes cette fois, alors dépêche-toi petit...
Shophner se retourna, mais le curé n'était plus là. Les rideaux ne bougeaient plus.

Il arriva à son travail, enfila un uniforme au cas où, puis partit en direction du cimetière voir ce qu'il y avait de frais en stock. Il avait creusé trois trous la semaine précédente, dont deux étaient fraîchement remplis. Deux tombes de pauvres remarqua-t-il. La première était celle d’une enfant de 6 ans, une certaine Vanessa James, ce qui expliquait les décorations criardes et presque joyeuses qui ornaient la surface de terre nue. Cela conviendra parfaitement se dit Shophner, qui avait tout sauf envie de déplacer une dalle en marbre de cent cinquante kilos puis de se coltiner quatre-vingt cinq kilos de bidoche en décomposition à transbahuter dans le noir. Une gamine c’est moins lourd pensa-t-il.
Il alla chercher dans le local technique une pelle, un long couteau et un pied-de-biche. Il n’alluma pas la lumière, connaissant parfaitement l’emplacement des divers outils. En repartant vers la tombe de la petite Vanessa, il entendit un bruit venant du fond du cimetière, dans la partie réservée aux cryptes et aux petites maisons de vacances comme il les appelait. Encore des mômes en train de fricoter avec les esprits se dit-il sans y prêter attention. Il s’arrêta brusquement et regarda ce qu’il avait dans les mains : " une pelle, un couteau... Mais qu’est-ce que je fais avec ces machins dans les mains en pleine nuit ?… » Soudain il se rappela ce qu’il devait faire, et pourquoi il devait le faire. Il se toucha le front de sa main libre, et sentit sous ses doigts une douceur formidable. Pas de peaux mortes. Il sourit devant ce prodige et repartit en direction de la petite tombe, l’esprit embrumé de belles idées lumineuses.
Au fond du cimetière, une étrange vague noire se mit à scintiller contre le mur d'enceinte, comme une mer de sang noire. Un océan de centaines de corbeaux au ramage ténébreux prêt à inonder la nuit. Soudain le flot de volatiles se fissura et disparut derrière les ombres des tombeaux.
Shophner avait commencé à creuser.
Trois quarts d'heure plus tard, il exhuma le petit cercueil du trou. Il le posa dans l'allée puis se servit du pied de biche pour faire sauter le couvercle. Il se pencha sur la petite boîte en bois brut bon marché et hésita. " Mais qu'est-ce que t'es en train de foutre bon dieu ?" Il se demanda encore ce qu'il faisait là en pleine nuit, dans ce cimetière qu'il connaissait très bien mais qui en pleine nuit lui aurait normalement foutu une sacrée frousse.
Sentant une présence dans son dos, il se retourna vivement.
– Qui est là ? Il entendit alors un bruit étouffé et regarda dans le fond du cimetière. Il plissa les yeux mais ne distingua rien dans la pénombre. Il se rendit compte que ce qu'il était sur le point de faire était absurde et qu'il ferait mieux de...
Un bruissement d'ailes lourdes mit fin à ses pensées. Un corbeau grand comme un aigle vint se poser sur la croix plantée derrière la fosse où dormait jusqu'à il n'y a pas si longtemps la petite Vanessa James. Le corbeau assura sa prise sur la croix en fer puis regarda vers Shophner.
Il entendit une voix se glisser dans sa tête, coulant le long de son oreille et se dirigeant vers ses yeux et sa bouche. Une voix brûlante et glacée aux contours éraflés. Le corbeau ouvra son bec comme s'il voulait parler, mais la voix résonnait directement dans le crâne de Shophner, qui tomba à genoux sous la douleur sourde, les mains compressées sur ses oreilles.
Il reconnut au premier mot la voix du Père McGruisick.
– Et bien mon ami, on se débine ? On a plus de courage tout d'un coup ? On veut une jolie peau mais l'on n’est pas capable d'assumer ses responsabilités, c'est ça ? La voix s'insinuait toujours plus profondément en lui, cherchant le cœur, ou peut-être plus profond encore, là où l'âme est tapie, en sécurité.
Shophner tenta de répondre mais la douleur était telle qu'il ne pouvait articuler un mot. La voix soudain rejaillit plus puissante qu'avant, le faisant vaciller et presque perdre connaissance.
– Tu vas te grouiller, petite merde, tu vas me sortir ce petit corps laiteux, et tu vas faire ce que je t'ai dit, tu vas bien le faire, puis tu vas tout enterrer, comme c'était avant, et tout sera fini. La voix devint mielleuse sur la fin, ce qui soulagea un peu la douleur sourde dans la tête de Shophner.
Le corbeau, toujours planté sur la croix, croassa, moqueur. La voix se retira de son esprit. Il se laissa glisser sur le sol, gémissant, les mains toujours collées sur les oreilles. Le volatile s'envola dans les ténèbres et la douleur disparut aussitôt. Il se releva avec difficultés et regarda autour de lui. La nuit s'était assombrie, il ne distinguait presque plus les tombes des rangées alentours. Il se retourna et, décidé, fit sauter une à une les attaches du couvercle du cercueil. Puis il fit glisser le couvercle qui ne tenait plus que par une attache.
– Salut gamine ! dit-il avec un curieux sourire.
La petite Vanessa n'avait plus rien d'une enfant, si ce n'est son ensemble blanc à fleurs roses qui contrastait horriblement avec sa peau boursouflée tirant sur le gris. Shophner rapprocha son visage de celui de la petite et posa un baiser sur sa joue gonflée de formol.
Puis il prit le long couteau et fit ce que le Père Mcgruisick, ou le corbeau, il ne savait plus, lui avait demandé de faire.


L'homme se tut.
– Qu'avez-vous fait au cadavre de Vanessa James ? demanda la voix dans le haut parleur.
L'homme sourit et se leva. Il se dirigea vers la caméra dans le coin de la pièce et fixa l'objectif de toutes ses forces, la tête levée. Son sourire inquiétant s'élargissait de plus en plus.
Derrière la glace sans tain, un homme en costume gris anthracite demanda au technicien qu'on arrête l'enregistrement.
Un homme en blouse blanche rentra dans le studio un gobelet de café fumant à la main.
– Six ans qu'il ne dit rien. Jamais il n'a avoué ce qu'il a fait.
L'homme au costume observa le docteur qui sirotait son café brûlant.
– Vous en voulez un ? demanda le docteur.
– Non merci, j'ai dû en boire douze litres depuis que je suis ici.
– Closworth n'est pas un centre comme les autres, affirma le docteur tout en se tournant vers Shophner qui faisait maintenant face aux deux hommes de l'autre côté de la glace sans tain.
– Combien en a-t-il tué ? demanda l'homme en costume.
– Je vous rappelle qu'il n'a jamais tué personne, Monsieur Finch. La police de Clausburry a recensé cinquante trois enfants exhumés et dépecés comme des bêtes pendant l'année qui a précédé son arrestation.
– Dépecés ? s'étonna Finch.
– Oui, il les déterrait la nuit et leur découpait la peau avec soin. Puis il la tirait comme on tire une chaussette d'un pied et il ramenenait le tout chez lui dans de grands sacs poubelles.
– Et... qu'est-ce qu'il en faisait ?
– La police a retrouvé de grosses marmites pleines de graisses, de la peau cuite en faite. Apparement il les cuisinait et les mangeait. Un régime à base de peaux d'enfants morts. Pas ragoûtant hein ?
– Il mangeait la peau des morts, dit Finch pour soi-même à voix-basse. Et en ce qui concerne le prêtre, est-ce qu'on l'a retrouvé ?
– Aucun curé du nom de McGruisick n'a jamais existé.
– Peut-être avait-il un faux nom ?...
– Non je ne pense pas, affirma le docteur en souriant tristement.
– Qu'est-ce qui vous fait penser ça ?
– Les peaux mortes.
Finch le regarda fixement, attendant la suite.
– Russ Shophner n'a jamais eu aucun problème de peau. Pas de peaux mortes. Son employeur nous le confirma ainsi que sa mère que nous avons retrouvée peu de temps après son arrestation.
Finch se tourna vers la vitre sans tain et observa Shophner, qui s'était rassis sur la chaise.

Il promena nerveusement ses doigts sur son visage, sur sa peau. Il en avait plein partout il le savait. Ses mains en étaient recouvertes. Il n'avait pas tenu ses engagements et ça allait lui retomber dessus. L'Autre allait venir un de ces jours le cherchait et le punir. Il redoutait ce jour plus que tout au monde.
Le temps était long ici, ils l'avaient enfermé parcequ'ils ne comprenaient pas. Ils ne comprenaient rien à rien. En plus il maigrissait à vue d'œil. La bouffe n'était vraiment pas terrible ici...

FIN

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Monique 27/07/2004 @ 09:19:03
"Message à Thomasdesmond, Cercle & Co
Cet espace n’a pas de vocation publicitaire
et tu ajoutes une nouvelle fois le lien pour accéder à ton site ! Alors il faut le dire comment ?
Bon globalement, moi je répète que je ne suis pas adepte de ce genre de littérature, point final.

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:08:27
ce n'est PAS un message publicitaire !!! je n'ai rien à vendre, rien à gagner, j'offre juste la possibilité à des gens qui aiment ce genre de littérature (j'avais quand même annoncé la couleur dans le titre du thread non ?...) de lire gratuitement d'autres histoires...

désolé...

Monique 27/07/2004 @ 10:16:49
j'avais quand même annoncé la couleur dans le titre du thread non ?...
"THREAD" ???? translation please... et tous les auteurs cités, si on n'est pas déjà mordu ça ne dit rien, non ! rien du tout. Alors il ne faut pas croire que tout était si clair au départ, loin de là !! Enfin, pour moi. Et puis, la "couleur", du noir et du rouge, pas plus... Avis perso

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:42:32
thread : sujet / post

je ne comprends pas le pourquoi de tant d'animosité.

Faites comme si j'avais rien dit, effacez mon message et puis on en parle plus...

Sibylline 27/07/2004 @ 10:44:32
Thomas, je pense que tu devrais bien aimer t’exprimer sur le forum « Vos écrits » qu’on a ici. Tu serais au bon endroit pour placer tes textes d’abord, et puis aussi pour « jouer » avec d’autres qui aiment écrire, en participant à des écritures. Va voir sur le forum général « Avis à la population » de Tistou.
Participe ici, tu seras bien reçu, mais ne fais pas la pub pour ton site. C’est ça qui gène.
Bon courage

PS : Je n’ai pas le temps maintenant, mais je vais lire ton texte, je t’en dirais deux mots

PPS : moi non plus, je ne suis pas adepte du style que tu aimes, mais « vivre et laisser vivre », telle est ma devise.

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:50:16
J'écris des histoires genre fantastique / épouvante / terreur dans un style proche de celui de stephen king, dean koontz, graham masterton... Je n'ai pas l'impression que ce genre de littérature soit apprécié dans les environs, donc je vais passer mon chemin.

Quant à la pub, si encore j'avais un roman à vendre ou qu'il y ait des pubs qui me rapportent de l'argent sur mon site, je comprendrai mais là... Faut pas de tromper de débat... Mon but était uniquement de partager mes humbles écrits c'est tout.

Avec un accueil (monique, pas toi) aussi agressif, tu comprendras que ça ne donne plus trop envie de poster ici...

Bonne continuation à tous !

thomas

Sibylline 27/07/2004 @ 10:52:38
Tu as tort.
Refléchis à ce que je te dis: tu as tort.

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:55:14
Peut être que j'ai tort mais tu ne peux pas dire que l'accueil de monique ait été des plus tolérants ?...

Je veux bien postais mes écrits ici mais si personne n'aime ce style... Ce forum a l'air plus basé sur des thèmes d'écriture classique non ?

thomas

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:55:33
Peut être que j'ai tort mais tu ne peux pas dire que l'accueil de monique ait été des plus tolérants ?...

Je veux bien poster mes écrits ici mais si personne n'aime ce style à quoi bon... Ce forum a l'air plus basé sur des thèmes d'écriture classique non ?

thomas

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:57:02
et au fait...

Peux-tu préciser ta pensée et me dire en quoi j'ai tort (simple curiosité, j'écris sans animosité ne t'inquiète pas) ?

thomas

Yali 27/07/2004 @ 10:57:59
Ce n’est pas de l’animosité Thomas, mais c’est difficile de mettre des gants dans des posts ;-). Tu est le bienvenu, tes textes itou (je te précise que je suis l’auteur du premier message qu Mo a relayer à la bonne place). Ce que nous voulons éviter à tout prix c’est que cet espace se fasse portail, c’est-à-dire qu’il redirige vers l’extérieur, alors que sa vocation est de canaliser. Toi tu ne fais pas de la pub, mais si nous laissons faire, qu'en sera-t-il du prochain lien ?
Je ne suis pas fan de ce genre de littérature, (bien que ta prose comporte des qualités) toutefois, je t’encourage à poursuivre tes postages, peut-être y aura-t-il des amateurs ? Et aussi à participer aux exercices, à nous lire, à critiquer, etc.
Bienvenue donc, dans le respect, et les quelques règles que nous nous sommes fixé.

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 10:59:59
Merci à toi

Quel serait ton conseil concernant le postage de mes nouvelles ? Indiquer le style fantastique, terreur ?

thomas

Sibylline 27/07/2004 @ 11:01:04
Je pense que tu devrais participer au projet actuel (voir avis à la population). Ca ferait un bon départ, un bon exercice aussi.
Il y a de la place pour tous les goûts sur ce site, il me semble. Du moment que tu respectes celui des autres, moi je respecterai le tien. On n'est pas obligé de lire ce qu'on n'aime pas. Si ça ne me plaît pas, je ne lirai pas, mais cela ne me gènera pas que tu écrives. Of course.

Sibylline 27/07/2004 @ 11:03:43
et au fait...

Peux-tu préciser ta pensée et me dire en quoi j'ai tort (simple curiosité, j'écris sans animosité ne t'inquiète pas) ?

thomas


On a toujours tort d'abandonner le terrain.

Yali 27/07/2004 @ 11:05:23
De l'idée que j'ai du "groupe", je dirais plutôt fantastique. Mais, je peux me tromper, alors le mieux c'est que tu fouilles dans les critiques sur le forum général afin de te faire une idée des lectures de CL et, peut-être d'en tenir compte dans tes choix ?

Thomasdesmond
avatar 27/07/2004 @ 11:05:51
Tu as raison...

je n'ai pas trouvé "avis à la population"???

thomas

Sibylline 27/07/2004 @ 11:07:49
Tu as raison...

je n'ai pas trouvé "avis à la population"???

thomas



Tu cliques sur forum en haut.
Tu cliques sur forum général.
Tu descends la liste et tu as "Avis à la population" pas loin.

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