La lionne du boulevard
de Alexandra Lapierre

critiqué par Flyingcow, le 13 juillet 2005
(Paris - 49 ans)


La note: étoiles
Celeste sort ses griffes...
Quatrième de couverture
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Dans le paris d’Alexandre Dumas, de Baudelaire et de Napoléon III, une pauvre ouvrière brise les chaînes de sa misère pour devenir la plus célébre courtisane de l’époque.
Après deux années d’une enquête minutieuse et passionnée, Alexandra Lapierre reconstitue le prodigieux destion de cette “Lionne du boulevard” dont le Tout-Paris de la politique, de la finance, et de la littérature s’arrachait la compagnie, les faveurs et l’amour.

Mon avis
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Celeste est une jeune fille qui a un caractère bien trempé. Elle est pauvre et donc victime de nombreuses humiliations. A 15 ans, elle tombe amoureuse d’un homme qui va s’en servir comme d’une vulgaire catin et va lui briser ses illusions. A partir de cet instant, Celeste ne tombera jamais plus amoureuse, elle apprendra a se servir des hommes, a les délester de leur argent sans jamais leur donner son amour, son corps oui.

Celeste passera sa vie a courir après le succés, la reconnaissance, la respectabilité. Pour ça elle va travailler ses lacunes. Elle va s’instruire, elle va apprendre a manipuler, elle va cotoyer les plus grands. Elle va retomber dans la misère aussi… Elle sera la courtisane la plus courtisée, la plus aimée, mais finallement, elle elle n’aimera jamais… L’histoire est bien menée, on ne s’ennuie pas, mais quelle vie triste en fait… toute une vie sans amour ?