j'ai aussi beaucoup aimé
j'ai commencé Westlake un peu à l'envers, et puis j'en ai lu beaucoup, dans le désordre. Le premier fut "Le Couperet", que j'hésite à qualifier de polar, tellement il joue sur la banalité du crime (très bien glaçant). Quant à "Au pire qu'est-ce qu'on risque", oui, vraiment bien ficelé, et pris dans les ficelles, moi, qui n'avais jamais lu de polars. De la même farine : "Faites moi confiance". Ce n'est pas moi qui le dis. C'est Westlake.
Leonie - strasbourg - 62 ans - 9 janvier 2005 |