La vie crumble
de Valérie McGarry

critiqué par Cuné, le 29 octobre 2004
( - 56 ans)


La note:  étoiles
toujours aux pommes, le crumble !
Virginie a 34 ans, un mari, 2 enfants, un boulot, des copines, etc... ça vous rappelle quelque chose ? Ben oui, tout est à l'avenant. Sur un ton léger et humoristique, Valérie McGarry nous narre une historiette d'une banalité affligeante. Avec happy end, ne lésinons pas sur les clichés. Et c'est bien dommage, parce que la plume n'est pas si sotte, et en dehors de 2, 3 grossieretés tout à fait hors de propos, elle nous donne envie de la lire. C'est tout le problème de la littérature trentenaire ces temps-ci : ils n'ont rien à nous raconter, alors ils racontent leur vie, en l'embellissant ou à la sauce Zola... et c'est chiant.

2,5 / 5

Née en 1968, Valérie MCGarry est de nationalité française. Elle a travaillé dans la publicité pendant dix ans. Après La vie crumble et L'horloge bio, elle vient de signer son dernier roman, Le sac, chez Jean-Claude Lattès (2004). Elle vit aujourd'hui à Paris.
Bof bof bof... 2 étoiles

Honnêtement ce livre n'a qu'un intérêt très limité. Pour ce qui est de la chick lit mieux vaut rester dans les classiques.

MEloVi - - 39 ans - 30 avril 2014


Sans plus 5 étoiles

Je me suis carrément ennuyée durant la première moitié. Un peu moins pendant la deuxième, mais il reste que j’aurais parfaitement pu me passer de ce livre.

Écrit sous la forme de journal intime, ce roman raconte l’histoire d’une séparation sur un ton humoristique. La première moitié se consacre donc aux problèmes de couple (monotonie, lassitude, discussions), et la seconde, à ce qui survient après la rupture. Pour ma part, l’humour ne m'a pas beaucoup touchée, de même que toutes les situations ou les réflexions que j’ai senti destinées à permettre aux lec(trices) de s’y reconnaître et d’en rire.

En fait, j’ai eu l’impression que ce roman était plutôt destiné à une autre tranche d’âge que la mienne, ce qui explique peut-être mon désintérêt envers cette pauvre Virginie qui n’arrive pas à atteindre le mythe de la superwoman et qui décide elle-même de s’appeler Bobonne ! Mais je reconnais tout de même une pointe d’intérêt vers la fin, pour connaître le dénouement de l’histoire.

Gabri - - 37 ans - 20 juillet 2007