La femme qui tendait l'oreille aux plantes
de Monica Gagliano

critiqué par Colen8, le 24 août 2021
( - 82 ans)


La note:  étoiles
L’ésotérisme à l’appui de la science
Le récit autobiographique de l’auteure fait alterner des « voyages » psychédéliques dans les forêts amérindiennes à l’initiative de chamanes et des expériences dûment menées dans son laboratoire australien. Ainsi son but est de :
- réconcilier une démarche scientifique diffusée par ses séries d’articles et de conférences et les savoirs ancestraux acquis de façon empirique par les peuples premiers,
- sensibiliser le grand public au monde des esprits végétaux et à leur formidable pouvoir pour réparer l’environnement si abimé depuis ces derniers siècles.
Ses résultats mettent en évidence des propriétés des plantes en termes d’intelligence, d’apprentissage, d’échanges d’information sonore, visuelle, électromagnétique ou chimique que les philosophes ont largement occultées en Occident depuis le rationalisme instauré par Aristote. Stupeur, sarcasmes et scepticisme ne manquent pas d’accompagner les découvertes en partie ésotériques de Monica Gagliano dont elle encourage néanmoins la poursuite pour sauver l’humanité en aidant la planète.
Lien vers son site de chercheuse en intelligence biologique (en anglais) : https://www.monicagagliano.com/