L'inconnue du 17 mars
de Didier Van Cauwelaert

critiqué par Pascale Ew., le 13 juin 2021
( - 56 ans)


La note:  étoiles
Trop tiré par les cheveux
A la veille du confinement, Lucas, SDF à Paris depuis presqu’un an, est percuté par une voiture. Cet ancien professeur de français a démissionné après un incident qui l'a révolté et son mariage n’a pas résisté à ce choc. Après son accident, il est emmené dans le domaine de son enfance – un château dont ses parents étaient les gardiens et qui est abandonné depuis un drame - par son premier amour de jeunesse, pour s’y confiner. Une mission va lui être confiée face à la pandémie...
J’ai l’impression que Didier van Cauwelaert devient de plus en plus farfelu et fantaisiste. Dans ce roman, il a ajouté un peu beaucoup de couches de surréalisme, mais celle de trop, pour moi, c'est le complotisme (tout y passe : chloroquine, puce implantée via le vaccin, etc.) ! Ça fait vraiment beaucoup ! Ce roman est court et se lit très vite. Je ressors de cette lecture avec un avis très mitigé.