Redrum
de Jean-Pierre Ohl

critiqué par Yeaker, le 27 avril 2020
(Blace (69) - 50 ans)


La note:  étoiles
Bonne trame, mais mauvais livre
Un cinéphile rejoint l’ile d’où est originaire sa famille pour un colloque consacré à Kubrick son idole. Le colloque organisé par un millionnaire qui a inventé la sauvegarde, un enregistrement où chacun peut rendre visite à la personne sauvegardée et interférer avec elle, même décédée. Son propre père salarié du millionnaire a contribué à sa création.
Stephen Gray retrouve sur l’ile d’autres cinéphiles passionnés, dont son ex femme Ruth dont il est toujours amoureux et son ami Laszlo. Tout est organisé par Némos le milliardaire pour que chacun soit plongé dans l’univers cinématographique qu’il préfère afin de vivre une expérience unique, sauf que Némos a un projet pour Stephen.

Il y a là tous les éléments pour qu’un amateur de ciné comme moi se régale et les premières pages sont prometteuses, mais très vite l’auteur part dans un délire brouillon pseudo spirituel qui tourne en rond au détriment du cinéma. Les dialogues sonnent faux, le thème brouillon, quoi que vous cherchiez, ce n’est pas dans ce livre que vous le trouverez.