Olivia Joules ou l'imagination hyperactive de Helen Fielding

Olivia Joules ou l'imagination hyperactive de Helen Fielding
( Olivia Joules and the overactive imagination)

Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique

Critiqué par Solesta, le 21 juin 2004 (Inscrite le 21 juin 2004, 34 ans)
La note : 9 étoiles
Moyenne des notes : 7 étoiles (basée sur 6 avis)
Cote pondérée : 6 étoiles (24 719ème position).
Discussion(s) : 1 (Voir »)
Visites : 5 120  (depuis Novembre 2007)

Encore une réussite pour Helen Fielding

Helen Fielding s'aventure sur un nouveau terrain, le thriller, après ses célèbres aventures de "Bridget Jones".... et ce n'est pas pour me déplaire !
L'auteur nous entraine sur les traces de la belle blonde et très intelligente Olivia Joules, journaliste pour le "Sunday times" et "Elan". De Miami au Soudan, en passant par Los Angeles et les Caraïbes, l'héroïne nous conduit sur la piste du terrorisme international et d'Al- Qaida. Journaliste de charme et agent secret dans l'âme, Olivia ne recule devant rien pour obtenir ce qu'elle veut... et les hommes ne lui résistent pas.
Encore une belle réussite pour H. Fielding, qui prouve une fois de plus qu'elle mélange à la perfection humour, aventures et amour...
A lire absolument !!

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4 étoiles

Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 1 mai 2010

J'ai adoré les Bridget Jones mais là je ne sais pas ce qui s'est passé, j'ai eu un mal fou à me mettre dans l'histoire. Cependant, il reste quand même des moments drôles comme Helen Fielding sait si bien les créer. Malgré tout, je ne garderai pas un super souvenir de cette lecture. Dommage car je me faisais une joie de retrouver cette auteure si attachante.

Inclassable

7 étoiles

Critique de Mademoiselle (, Inscrite le 29 mars 2004, 36 ans) - 18 février 2006

Helen Fielding revient avec une héroïne fantasque à l’imagination débordante. Elle invente le roman d’espionnage façon fashion victime. Le début est un peu mou mais arrivé à la moitié on ne peut plus le lâcher. Si Helen Fielding crée une suite, ce sera une bonne chose.
Je le recommande aux fans de Sophie Kinsella : Olivia m’a fortement rappelée Becky.

Le principe N°12.

7 étoiles

Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 56 ans) - 6 octobre 2005

Rachel Pixley assiste au décès de sa famille, fauchée sous ses yeux par un chauffard. Devenue orpheline, elle abandonne son nom au profit de celui d'Olivia Joules, et met en place ses nouveaux principes de Vie :

1. Pas de panique. On s'arrête, on respire, on réfléchit.
2. Personne ne fait attention à toi; les autres sont égocentriques, tout comme toi.
3. Ne jamais changer de coiffure avant un évènement important.
4. Rien n'est jamais aussi génial ou aussi désastreux qu'on le croit. Relativiser.
5. Ne pas faire aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse. Par ex. : ne pas tuer.
6. Acheter une chose qui plait en y mettant le prix plutôt que la première camelote venue.
7. Peu de choses ont vraiment de l'importance : en cas de doute, se demander ; "Est-ce que c'est vraiment important ?"
8. La clé du succès, c'est de savoir tirer parti de ses erreurs.
9. Etre honnête, sympa, aimable.
10. N'acheter que les vêtements qui te donneraient envie de faire un petit pas de danse.
11. Faire confiance à son instinct plutôt qu'à son imagination hyperactive.
12. En cas de désastre, vérifier qu'il s'agit bien d'un désastre en procédant comme suit : a) Penser "Oh ! et puis merde", b) Essayer de voir le côté positif et, à défaut, le côté comique.
Si aucune des méthodes ci-dessus ne donne de résultats, alors c'est peut-être un vrai désastre. Auquel cas, se reporter aux principes 1 et 5.
13. Ne pas considérer le monde comme un lieu sûr où règne la justice.
14. Accepter parfois de se laisser porter par le courant.
15. Ne jamais rien regretter. Se dire qu'il n'aurait pas pu en être autrement; compte tenu de ce que l'on est et de l'état du monde à ce moment là. La seule chose que l'ont peut changer étant le présent, il ne reste plus qu'à tirer les leçons du passé.
16. Si on commence à regretter une chose et à se dire "J'aurais dû faire ci ou ça...", s'empresser d'ajouter : "Oui, mais j'aurais pu me faire écraser par un camion, ou sauter sur une torpille balancée par les japonais."

Et c'est en lui suivant exactement, qu'elle va se retrouver mêlée à une rocambolesque histoire, avec psychopates terroristes et gratin Hollywoodien... Le tout étant fort improbable, un sacré ton en dessous de Bridget Jones, mais tout à fait agréable à lire, sans rien en attendre d'autre...


Pas mal du tout!!

8 étoiles

Critique de Jersey (, Inscrite le 26 septembre 2004, 34 ans) - 17 février 2005

"Olivia Joules ou l'imagination hyperactive" n'est certes pas à la hauteur de "Bridget Jones", mais il n'empêche que Helen Fielding nous procure encore un bon moment de distraction. L'humour est différent de celui de Bridget Jones, l'héroïne n'est pas souvent confrontée aux situations ridicules comme son ainée, mais l'intrigue est intéressante et comme l'a dit Kreen78, la fin est originale, géniale....

Un peu déçue...

8 étoiles

Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 45 ans) - 15 février 2005

Je m'attendais à mieux. J'avoue que l'histoire est bien, mais il n'est pas écrit dans le même esprit délirant que pour les 2 Bridget Jones.
L'intrigue est réussie, mais ce que je préfère par-dessus tout, c'est la fin, la dernière folie imaginative d'Helen Fielding. Ce passage avec la cérémonie des Oscars m'a vraiment plu.

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  Message pour Solesta 2 Marz 15 février 2005 @ 18:49

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