Et bien, moi, je n’ai pas du tout aimé.. Rien ne m’a amusé dans ce livre..
Il véhicule ce que les hommes occidentaux pensent des eskimos, à savoir que les femmes se donnent à n’importe qui et que l’hospitalité réside à donner sa femme à l’invité, qu’ensuite elles abandonnent l’enfant dont on ne sait pas qui est le père pour s’en aller vivre de nouvelles aventures..
L’enfant qui a 5 ou 6 pères possible est élevé par eux qui se chargent de trouver une vieille femme comme nourrice car le gamin ne digère pas la nourriture. La nourrice se charge de mâcher la viande avant de régurgiter dans la bouche du nourrisson...
Des histoires de vols de chiens, de maltraitance d’animaux, de renards en particulier, on tue l'ours sans se préoccuper de l'animal.. Oui, je comprends il faut bien vivre.. Mais je n’ai pas pu le supporter. J'aimerais avoir l'avis de l’éthologue Boris Cyrulnik sur le sujet, lui qui démontre que les animaux souffrent comme nous..
Les personnages du roman n’ont aucune consistance, ils sont uniquement préoccupés par eux-mêmes et de leur survie, et je n’ai pu m’attacher à aucun. Ce livre m'a mis très mal à l'aise et j'ai stoppé ma lecture à la moitié.. c'était devenu insupportable et très ennuyeux...
Darius - Bruxelles - - ans - 2 janvier 2014 |