La ronde : Une histoire en dix chapitres
de Birgit Weyhe

critiqué par Coper, le 28 novembre 2018
( - 40 ans)


La note:  étoiles
Grosse déception...
Présentation de l'éditeur :

Pour relier les dix chapitres de ce livre, qui balaie l'histoire du XXe siècle, de la première guerre mondiale jusqu'à aujourd'hui, et dont l'intrigue se porte successivement sur trois continents, Europe, Amérique et Afrique, un petit objet, qui passe de main en main, témoin muet dont le parcours erratique unit secrètement les destins évoqués par ces dix récits. Une médaille de baptême en or, neuf fois offerte, perdue, trouvée ou vendue, qui finira miraculeusement par se retrouver entre les mains de Marie Laurent, arrière-petite-fille de la propriétaire initiale. Inspirée dans sa structure de la pièce homonyme d'Arthur Schnitzler, La Ronde entrelace avec une remarquable efficacité narrative une dizaine de destins singuliers, souvent tragiques ou douloureux, parcours à la fois banals et emblématiques de l'histoire du XXe siècle. Dans chacun de ces courts portraits, Birgit Weyhe parvient à donner à ses personnages une densité étonnante, et aborde avec subtilité une grande diversité de thèmes, notamment la complexité des rapports familiaux. Si les événements historiques déterminent les individus, Birgit Weyhe montre aussi l'importance des qualités propres à chacun dans la construction de leur vie. La richesse de son répertoire graphique - qui va jusqu'à une forme d’expressionnisme, dans le traitement de la guerre notamment - insuffle une grande force émotionnelle à l'ensemble. Originale dans sa forme, rigoureusement construite, La Ronde est une fresque puissante qui peut se lire comme une méditation sur le hasard et la liberté.


Je n’ai pas accroché du tout...
Le scénario est pourtant intéressant mais je trouve les dessins très vilains graphiquement et cela dessert complètement l’ouvrage.