Cosmos
de Michel Onfray

critiqué par Antihuman, le 29 juillet 2017
(Paris - 40 ans)


La note:  étoiles
Plein de rien
Bizarre qu'à notre époque pourtant très analphabète on ne compte plus sur le spectre médiatique ces petits profs pleins de réprimandes culturelles - à commencer sur ce site web... Ils ne sont de toute façon pas difficiles à débusquer car veaux, vaches, cochons (ou chiens méchants à moutons, pour rester dans le vocabulaire orwellien) leur discours est sensiblement le même du moment qu'ils diffusent le même message normaliste déguisé soit sous un costume réactionnaire, soit sous une conscience politique de joueur de foot ou de bobo vegan méchanchonniste, ou alors amateurs de light comme leurs ex-grand-mère Rika voire de morale parisienne qui fera d'eux des Casanova de club échangiste. Bref, que chacun garde la place qu'on lui a donné et le monde ne tournera que mieux, bon sang. Donc Monsieur, trois jus de tomate s'il vous plaît et fissa, sinon je porte plainte !

Exactement comme ce Michel Onfray et le titre de son livre; "COSMOS", que n'aurait sérieusement pas renié une vieille star franchouillarde telle que cet Alain Belon. Encore il y a peu j'ai entendu sur France Culture cette éminence pleine de bienveillance envers lui-même pester contre les tueurs et les violeurs qui, d'après lui, seraient le Mal absolu. Ah bon ? Ou alors ces gens seraient-ils ces dangereux antisociaux qui n'achètent pas tes livres et qui ne bouffent pas en écoutant tes inepties ?

Merci Michel, mais un jour quelqu'un fera de tes lapalissades son glaive et ce sera ta fin. J'entends d'ailleurs venir un de ces célèbres zozoteurs politiques qui pourrait bien faire de toi une de ses figures de proue ! Attention !!

Comment se fait-il d'ailleurs que ce génie-là ne soit pas déjà président; à inscrire sur nos tables de lois sa cuistrerie et son bon sens matérialiste tout droit sorti d'un manuel scolaire du XIXème. Comment se fait-il que Molière ne ressuscite pas à la vue de ce Bourgeois Gentilhomme plus vrai que son modèle.

Bref, comment se fait-il que cet énième imposteur au souffle lourd et au ventre mou ne soit pas déjà au Panthéon...