Ailleurs c'est ici.
La mère a une place toute particulière dans la littérature : Proust, Gary, Bazin et bien d'autres ont fait d'elle un astre autour de qui tout gravite.
Richard Russo s'en va donc mesurer son écriture à ce sujet sensible. Il dit tenir une promesse ou rendre un hommage, ou même rechercher la résilience... c'est selon.
Je ne vais pas dire que je me suis ennuyé de cette lecture mais je n'y ai pas vraiment trouvé de grand plaisir. On est loin de l'aspect passionnel l'Empire Whiting ou de l'homme presque parfait.
Un bon livre sans plus.
Monocle - tournai - 65 ans - 3 avril 2017 |