Le chien-chien à sa mémère
de André Baillon

critiqué par Catinus, le 10 septembre 2014
(Liège - 72 ans)


La note:  étoiles
Toutes pauvrettes, toutes simplettes
Douze nouvelles d’André Baillon, des histoires toutes simples, toutes pauvrettes, souvent émouvantes, un peu tristounettes, avec de l’humour aussi. Beaucoup ont pour cadre la première guerre mondiale. Pointons particulièrement : « Nelly Bottine « et « Les yeux du père François «


Extrait :


- « - Dufau ? Il s’est tué ! « Ah ! Bon Dieu ! Ensuite, ils expliquèrent tous à la fois : oui, la balle en plein dans le ventre. On attache une ficelle à une gâchette du fusil, l’autre bout à son pied.