Les six compagnons à Scotland Yard
de Paul-Jacques Bonzon

critiqué par Kalie, le 27 février 2013
(Sarthe - 54 ans)


La note:  étoiles
Une série culte pour la jeunesse
La série « Les six compagnons », créée par Paul-Jacques Bonzon, a diverti plusieurs générations de lecteurs de la Bibliothèque verte. Cette bande de jeunes lyonnais à laquelle se joignent une fille, Mady et Kafi, un chien au flair redoutable, vivent des aventures policières mouvementées. Malgré le nombre, chacun garde sa spécificité au sein du groupe. « Les six compagnons à Scotland Yard », publié en 1968, est le 14ème roman de la série.

Tout commence lorsque nos héros découvrent, près de l’aérodrome de Lyon-Bron, un anglais blessé près d’une voiture renversée au bord d’un talus. L’homme est vivant mais partiellement amnésique. Est-ce un banal accident de la route ? En trouvant divers indices, comme cette montre fabriquée à Londres, les jeunes gens en doutent. Montre qui manifestement n’appartient pas à la victime. Les six compagnons sont persuadés que l’homme n’était pas seul. Dans ce cas où est passé l'autre ? C’est le début d’une aventure qui conduira nos gones de Lyon à Londres jusque dans les bureaux de Scotland Yard.

Comme la plupart des titres de la série, celui-ci bénéficie d’une écriture soignée et assez détaillée (les rues de Londres) à même de satisfaire le public visé. A noter qu’aujourd’hui, la Bibliothèque rose réédite la série dans une version modernisée et simplifiée…