Détective Conan, tome 6
de Gōshō Aoyama

critiqué par Koolasuchus, le 10 janvier 2012
(Laon - 34 ans)


La note: étoiles
La vérité sous le masque
Sixième tome du jeune détective Shinichi Kudo alias Conan Edogawa redevenu enfant suite à l’absorption d'un poison expérimental par les membres d'une organisation mystérieuse lors d'une enquête. Afin d'éviter d'être repéré il se cache chez sa petite amie Ran Mouri, allant jusqu'à aller à l'école pour détourner les soupçons tout en donnant un discret coup de main au père de Ran, détective privé incapable.

Ce tome est divisé en quatre parties, dans la première nous assistons à la résolution du mystère ayant commencé dans le précédent tome. En effet Conan fut enlevé par une femme disant être sa mère et qui connait sa véritable identité, nous saurons enfin qui elle est réellement ainsi que le mystérieux individu masqué qui l'accompagne, surprise garantie.
La deuxième enquête plus "classique" se passe dans la demeure d'un riche PDG, Kogoro, le père de Ran fut engagé par ce dernier pour une enquête, seulement lorsqu'il vient pour communiquer les résultats de cette enquête accompagné de Ran et Conan ils le trouvent assassiné, transpercé par un sabre, à Conan de découvrir le meurtrier.
Dans la troisième partie Conan et quelques-uns de ses camarades de l'école primaire montent le club des "Détectives juniors", leur première enquête consiste à retrouver un chat, rien de dangereux sauf quand le chat est retrouvé en même temps qu'un cadavre, cadavre qui a disparu lorsque la police arrive sur les lieux.
Enfin dans la dernière enquête Conan, Ran et Kogoro assiste a une Fête du printemps, lors de cette fête ils font connaissance d'un homme leur demandant de le prendre en photo, la police arrive alors pour le prévenir que son ami , resté à l'hôtel, a été assassiné et que c'est également le premier suspect sauf qu'il a un alibi en béton. La résolution de cette enquête se fera dans le tome suivant...

Toujours aussi complexes et déroutantes, ces enquêtes feront un régal de ceux qui aiment les mystères bien corsés.