Troisième tome d’IWGP, rave d’une nuit d’été ne m’a pas déçu, loin de là même. Tout ce qui fait le charme de cette série « policière » se retrouve dans ce volet, style percutant, vif, Ishida ne fait pas de chichis et nous plonge directement au cœur des histoires de ce quartier singulier de Tokyo qu’est Ikebukuro.
A la différence des deux tomes précédents une seule et unique histoire occupe notre lecture sur le thème des raves et des drogues de synthèse plongeant Makoto au cœur d’un univers qui lui était jusque là étranger.
Tout comme dans les tomes précédents j’ai particulièrement apprécié l’atmosphère de ce livre et la description de cet Edo, de cette jeunesse quelque peu désemparée, je pense particulièrement au personnage d’Eddy.
Bref le plaisir de retrouver Makoto est toujours là, on se laisse toujours aussi facilement embarquer dans ses histoires et ses enquêtes, j’en redemande !
Sundernono - Nice - 41 ans - 11 septembre 2012 |