The Princess and the White Bear King
de Tanya Robin Batt, Nicoletta Ceccoli (Illustration)

critiqué par Nance, le 25 janvier 2011
( - - ans)


La note:  étoiles
Quelques trous
C’est un album qui est présentement seulement disponible en anglais, dessiné par mon illustratrice préférée, la grandissime Nicoletta Ceccoli, et conté par une auteure que je ne connais pas (aussi enseignante, apparemment), Tanya Robin Batt.

L’histoire est un composite de trois contes norvégiens : L’ours roi blanc, L’ours noir de Norraway et L’est du soleil, l’ouest de la lune. La plus jeune et hardie de trois princesses rêve d’une couronne que personne au château n’est capable de reproduire aussi magnifique. En marchant dans la forêt, un ours lui fait un marché, de lui appartenir en échange de la couronne. Là va commencer ses aventures...

Le conte a beaucoup de relents du mythe grec de Cupidon et Psyché, que j’aime beaucoup, mais je trouvais ici que ça n’allait pas, qu’il y a plusieurs points qui clochent. D’accord, elle audacieuse et n’a pas peur, mais ce n’est pas expliqué pourquoi elle accepte le marché sans poser de question et puis, dans les dessins après, où est la couronne que l’ours lui a donné ? Ou est-ce qu’elle a fait ce marché pour rien ? À moins que ce ne soit que pour l’aventure, enfin, j’ai trouvé ça un peu bizarre. Je réfléchis trop ? Les illustrations de Nicoletta Ceccoli sont toujours aussi esthétiques, mais j’ai souvent décroché de l’histoire.