Deborah, la femme adultère
de Régine Deforges

critiqué par Bernard2, le 2 décembre 2010
(DAX - 75 ans)


La note:  étoiles
On révise le Nouveau Testament
Que l’on ait lu la Bible ou pas, on connaît tous cette phrase concernant Deborah : « Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre ».
Régine DEFORGES entreprend de nous raconter cette histoire, en y ajoutant, comme elle le précise, des faits et gestes issus de son imagination. On aurait pu en conséquence s’attendre à une vision originale, voire très différente de ce que nous laisse habituellement comprendre la Bible. Les livres remettant en cause ces fameuses « vérités d’Evangile » ne manquent pas !
Hélas, cette part laissée à l’imagination de l’auteur est très faible, et même squelettique. On a surtout ici une reformulation du Nouveau testament, pratiquement mot pour mot, sans la moindre réflexion complémentaire, sans imagination. On peut presque parler de plagiat…
Pour réviser son Nouveau Testament, on peut lire ce livre. Pour espérer avoir de nouvelles sources de réflexion, voire de contestation, il faudra chercher ailleurs.