La narratrice raconte ses différents Kippour et cela lui permet de raconter ses rapports avec la religion.
Le fanatisme de l’enfance et de l’adolescence s’estompe l’âge adulte venu.
Il y a alors un certain laisser aller vis-à-vis de la religion, car c’est la tradition, c’est l’image de la famille, et il faut bien partir pour s’affirmer et croire que le monde nous attend.