J’avoue que j’ai dû me forcer à terminer ce livre. Je n’arrivais pas à voir les liens. Celui entre la première partie et la seconde, entre l’univers de la rue et l’orphelinat. En fait, je crois qu’il s’agit de portraits ?
L’écriture est froide, dénuée de toute tendresse ou d’humour. Les dialogues sont presque absents. C’est un livre gris et assommant. Une bonne représentation du lieu et de l’époque j’imagine. Mais quel ennui pour le lecteur…
Aaro-Benjamin G. - Montréal - 56 ans - 14 octobre 2010 |