Funérailles
de Richard Montanari

critiqué par Gab2008, le 3 décembre 2009
(brest - 44 ans)


La note:  étoiles
Que dire...
Présentation de l'éditeur
Du conte de fées au cauchemar, il n'y a qu'un pas. Il suffit d'une seule nuit, d'une seule lune. Au bord de la rivière Schuylkill, une jeune femme semble reposer, sagement allongée. Mais la belle ne dort pas : amputée des deux pieds, le ventre souillé d'un mystérieux dessin, la princesse a définitivement quitté le monde des vivants...
A Philadelphie, Noël approche et, avec lui, son cortège de flics en service. Byrne, impliqué jusqu'au cou dans une vilaine bavure, et Bahano, arrachée à ses festivités familiales, passent un fichu réveillon. Point de cadeaux sous leur sapin mais une ribambelle de soucis : une vieille affaire de pédophilie, le meurtre d'un policier à la retraite et puis cette femme mutilée, qui n'est pas la dernière. Mise en scène ? Quelque part dans la région, la magie de Noël semble inspirer un maniaque, réécrivant un par un ses contes favoris, en lettres de sang...



Quel bonheur de retrouver Byrne et Balzano, personnages attachants (présents dans les 4 romans). des rebondissements, roman noir, bien écrit... je vous le conseille fortement
Quelque peu récurrent 7 étoiles

Même si on retrouve avec plaisir les deux inspecteurs de la brigade criminelle de Philadelphie, Kevin Byrne et Jessica Balzano, Montanari n'apporte rien de nouveau par rapport aux deux précédents.

Un nouveau et énième tueur en série sévit dans les rues de Philadelphie, décidément cette ville en regorge, et les mises en scène macabres se situent toutes au bord de la Schuylkill, une des deux rivières avec le Delaware qui traverse la ville. Récoltant les indices au compte-goutte, les deux inspecteurs remontent la piste et découvrent avec horreur les cadavres semés par le tueur.

Malgré un scénario quelque peu récurrent, c'est bien écrit et le suspense est une fois de plus le point fort du roman. On notera également que la pseudo-bavure de Byrne amène un peu de piment supplémentaire à une histoire peu originale.

Ayor - - 51 ans - 22 février 2010