Suite à une pénurie de poissons, nos deux compères partent en mer. Ils aboutissent, sans le comprendre, chez les Indiens d'Amérique et arrivent à faire croire à des Scandinaves qu'ils leur ont fait découvrir les terres d'un Nouveau monde, ce qui est fortuitement vrai. A comprendre qu'ils sont Gaulois, cela crée un quiproquo.
Les scènes loufoques se succèdent, aidées par les découvertes successives et les incompréhensions subséquentes. C'est le tout premier Astérix que j'ai lu, et il est resté, pour moi, dans les meilleurs.
Veneziano - Paris - 47 ans - 30 décembre 2009 |