Encore un très bon tome, plein d'auto dérision notamment sur les avis divers autour d'Alésia et de Gergovie.
A côté de ça on apprécie la complicité toujours plus forte entre Astérix et Obélix avec une petite scène de "bouderie" qui renforce l'attachement porté aux héros (bien qu'elle ne dure pas).
Bien entendu les personnages secondaires ne sont pas en reste et si les auvergnats restent finalement un peu trop en retrait, on se délecte de ces romains ivrognes et/ou tire-au-flanc et du dépit de Jules César.
C'est aussi dans ce onzième volume que l'on découvre un peu plus Bonnemine la femme du chef, Abraracourcix ayant lui aussi une place de choix dans cet album.
Enfin la cure subie par ce dernier puis celle de nos deux héros occasionnent de bon moments de rigolade !
Ngc111 - - 39 ans - 7 février 2011 |