Les Contes de la Saint-Glinglin
de Robert Escarpit

critiqué par Clo7, le 21 novembre 2001
(Charleroi - 24 ans)


La note:  étoiles
Fables de la semaine des quatre jeudis
Galahan O'Galahan était moine mais il avait la mémoire si courte qu'il oubliait tout. Le Père Limpinpin était alchimiste et préparait des potions magiques. Tartempion était un garçon si banal que tout le monde utilisait son nom pour appeler une autre personne.
Le guilleudou était un oiseau, un petit moineau des champs qui pendant la guerre de cent ans avait fait son nid dans un grand chêne... Oui mais quels rapports avec « à la saint-glinglin», «à tire-larigot», « prendre la poudre d'escampette », « à la bonne franquette » ? Robert Escarpit qui est à la fois un praticien de l'humour et de la littérature de jeunesse souligne l'ambivalence des expressions selon qu'on s'attache au mot ou à la chose. Il donne à chaque expression une explication. fantaisiste
En lisant ce livre, vous saurez tout sur ces expressions qui viennent on ne sait d'où. Un ouvrage de contes magiques et féeriques qui vous feront entrer « les deux pieds dans le même sabot » dans le monde fabuleux du langage.