La 37ème heure
de Jodi Compton

critiqué par Tanneguy, le 13 septembre 2008
(Paris - 84 ans)


La note:  étoiles
Un premier roman prometteur
Sarah Pribeck, inspecteur à Minneapolis-St Paul ( the twin cities ) affectée aux personnes disparues sera amenée à enquêter sur la disparition de son propre mari, policier lui-même, qui s'évanouit dans la nature au moment d'être affecté au FBI.

Le roman est une sorte de carnet de route de Sarah Pribeck, qui nous décrit dans le détail toutes les opérations auxquelles elle participe ; elle nous fait part également de ses états d'âme, de ses fantasmes issus du passé compliqué qu'elle doit assumer. Tout ceci fait un policier agréable à lire et nous éclaire parfois sur la vie quotidienne dans ce milieu modeste de la middle-class de la middle-Amérique.

Guettons la prochaine parution, où l'éditeur nous promet un retour de l'héroïne